Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

LES SOINS DE DIEU

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Celui dont parle notre récit était un homme de trente-cinq ans environ, atteint d'une maladie de poitrine, qui, comme chacun lésait, ne pardonne guère, surtout quand il s'agit d'un pauvre ouvrier que la misère a forcé d'entrer à l'hôpital. C'est là que je le vis, sur la demande d'une personne qui m'était jusqu'alors complètement étrangère, mais qui, ayant appris que je visitais les malades des hôpitaux, me pria de m'occuper de celui-ci.

Cette manière, aussi providentielle qu'inattendue, dont je fus conduite auprès d'un homme qu'on m'avait représenté comme ne croyant point en Dieu, me fit penser que le Seigneur avait une œuvre à faire chez lui, et j'eus la confiance qu'il me donnerait la force dont j'avais besoin, pour lui annoncer l'Évangile.

Je trouvai que, sans être franchement incrédule, il était très indifférent; son idée était que Dieu, s'il existait, était trop grand et trop au-dessus de nous pour s'intéresser à nous. Il n'avait jamais lu la Bible, car, chose étrange pour un homme intelligent, relieur de son métier et excellent ouvrier, il ne savait point lire.

Je me présentai de la part de M. S***, et, voyant qu'il avait du monde avec lui, je me retirai à l'écart, après lui avoir dit le but de ma visite, jusqu'à ce que tous fussent partis, excepté sa femme et ses enfants. Ceux-ci m'entourèrent bientôt, et comme je leur témoignai de l'intérêt, leur mère m'ouvrit son cœur comme si elle m'eût toujours connue. Elle m'apprit que son mari, déjà malade depuis longtemps, après avoir épuisé leurs ressources, s'était décidé à entrer à l'hôpital, et que, bien qu'il parût mieux, elle n'était pas sans inquiétude sur l'issue de sa maladie.

Elle m'apprit aussi qu'elle était née de parents chrétiens, mais qu'elle avait oublié Dieu jusqu'à ce jour.

À présent, dans la détresse, surtout voyant son mari si malade, les enseignements de ses vieux parents lui revenaient à l'esprit.

Elle condamnait les erreurs de son mari, mais comment pouvait-elle, après avoir vécu comme lui, approuvant sa conduite par son silence, lui présenter cette vérité méconnue qu'un jour viendrait, prochain peut-être, où ils auraient à rendre compte à Dieu, au Dieu qu'ils avaient oublié et qui, pourtant, dit-elle avec émotion, «a donné son Fils pour nous sauver».

Oh! madame, je vous remercie d'être venue pour lui parler de son âme, et je remercie Dieu de vous avoir envoyée.

En m'approchant de Robert, je me disais que cet homme si plein de vie et d'énergie devait être moins malade qu'on ne m'avait dit.

Eh bien, mon ami, lui dis-je, comment vous trouvez-vous ici?

Mais, pas mal, madame; je me trouve même trop bien, à tous les points de vue, quand je pense à ma pauvre femme et à nos enfants.


C'est une triste chose, madame, quand celui qui doit gagner le pain de la famille manque.

Mon ami, lui dis-je, il y a quelqu'un qui peut prendre soin de votre famille, si vous, vous ne le pouvez pas. C'est Celui qui, étant dans ce monde, prit des petits enfants dans ses bras et les bénit; mais je crains que vous ne le connaissiez pas: c'est Jésus, le Fils de Dieu.

Je ne voudrais pas vous dire quelque chose d'inconvenant, madame, répondit-il, mais pour moi, en effet, je ne crois pas qu'il y ait un Dieu qui s'inquiète de nous. J'ai eu de la chance dans mes affaires pendant la première partie de ma vie; ma famille a eu de tout en abondance; maintenant, je suis malheureux; je ne sais ce que l'avenir me réserve; mais le pire, c'est que l'épreuve qui m'atteint frappe plus encore ma femme et mes enfants; mais si Dieu sait tout cela, je ne puis pas croire qu'il s'en occupe.

Je disais vrai: vous ne connaissez pas Dieu, mais moi je le connais et je crois à sa parole, qui dit:

«Ne vend-on pas deux passereaux pour une pite, et cependant pas un seul d'entre eux ne tombe en terre sans la permission de votre Père. Les cheveux mêmes de votre tête sont tous comptés. Ne craignez donc pas, vous valez plus que beaucoup de passereaux» (Matthieu X, 29- 31).

Et ailleurs:

«Regardez aux oiseaux du ciel: ils ne sèment, ni ne moissonnent, ni n'assemblent dans des greniers, et votre Père céleste les nourrit. Ne valez-vous pas beaucoup mieux qu'eux?» (Matthieu VI, 26.)

Si Dieu dit cela, pouvez-vous croire qu'il ne se soucie pas de l'homme, de l'homme qui a une âme immortelle? Il pense à vous, croyez-le, et Il m'a envoyée aujourd'hui pour vous le dire. Il s'est aussi occupé de vos péchés, car Il hait le péché; Il sait que vous avez été éloigné de Lui et que vous êtes encore dans l'incrédulité. Laissez-moi lire dans sa parole l'histoire de son amour.

Je lus le chap. XXIII de l'Évangile de Luc, en demandant au Seigneur de bénir sa parole.

Pendant ma lecture, le malade semblait très attentif, et sa femme tenait ses yeux fixés sur lui, comme pour voir sur son visage le reflet d'une conviction intérieure.

Je fermai le livre et n'ajoutai aucun commentaire, tant je craignais d'affaiblir par mes paroles le récit divin de la scène la plus touchante de l'Évangile, et qui a déjà amené au Seigneur grand nombre de pécheurs. Il me semblait entendre le cri de cette foule altérée de sang innocent: «Ôte-le! crucifie-le»! puis la réponse patiente et pleine de grâce du Seigneur d'amour: «Père, pardonne-leur, car ils ne savent ce qu'ils font»; et la promesse faite au brigand d'être ce jour-là même dans le paradis avec le Seigneur.

En me levant pour partir, je demandai au malade si je pouvais revenir le voir pour lui lire encore quelque chose. «Je n'aurais pas osé vous le demander, madame, mais soyez assurée que vous serez la bienvenue», fut sa réponse.

À ma seconde visite, je trouvai, outre sa femme et ses enfants, deux hommes, ses amis d'atelier, qui se levèrent aussitôt. Tous semblaient m'attendre, et tous assistèrent à la lecture que je fis du chapitre III de l'Évangile de Jean. Quand je le quittai, il me demanda lui-même de revenir, ce que je fis bientôt avec plaisir. Ce fut ma troisième visite.

Est-il possible, madame, s'écria-t-il, que vous veniez de si loin pour me voir, moi qui n'ai cependant en rien mérité cette faveur?

Oui, mon ami, je viens exprès pour vous.
 Vous aviez pensé que Dieu ne s'occupait pas de vous; eh bien, c'est justement Dieu qui m'envoie vous voir et vous parler de ce qui est pour vous la chose la plus importante: le salut de votre âme.

Après tout, dit-il d'une voix tremblante, peut-être ai-je été insensé toute ma vie et ai-je offensé Dieu en croyant que nous étions trop insignifiants pour qu'il s'intéressât à nous.

Oui, Robert, répondis-je, Dieu vous aime et Jésus a dit lui-même:

«Dieu a tellement aimé le monde, qu'il a donné son Fils unique au monde, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais ait la vie éternelle.»


Je causai peu ce jour-là avec le malade, la salle étant pleine de visiteurs allant et venant auprès de leurs parents ou amis, ce qui troublait notre entretien. Je relus avec lui, sur sa demande, le chapitre III de l'Évangile de Jean, insistant sur l'amour de Dieu et sur la nécessité de la mort de Christ pour répondre aux exigences de la sainteté de Dieu et aux besoins du pauvre pécheur, et je le quittai convaincue que le Saint-Esprit avait commencé son œuvre.

J'étais profondément touchée de voir que Dieu avait ôté la plus grande barrière en faisant entrevoir à Robert que peut-être Satan et son propre cœur l'avaient trompé sur le caractère de Dieu et sur le sien propre.

Quand je pus retourner, je trouvai le malade très préoccupé de ce qui l'avait impressionné lors de ma visite précédente: il avait oublié Dieu, vécu dans le péché et avait été victime de la tromperie de Satan.

Vous m'avez montré, dit-il, que Dieu s'occupe de tout et de chaque individu; si cela est, II n'a dû voir en moi que du mal, et je ne mérite que d'être chassé à toujours de devant Lui, puisque ses yeux sont trop purs pour voir le mal.

Oui, répondis-je, cela est vrai; mais le Seigneur Jésus est mort pour répondre aux exigences de la nature de Dieu et ôter le péché de devant ses yeux, ET AUSSI POUR LAVER LE PÉCHEUR, ET LE RENDRE PROPRE À HABITER EN LA PRÉSENCE DE DIEU.


Le sang de Jésus-Christ nous purifie de tout péché.

Oui, mais comment détruire ce que j'ai fait?


Ce que j'ai fait ne peut être défait; il faudrait que je recommence ma vie entière, et encore, pourrais-je effacer le passé?

Écoutez ce que dit Dieu:

«Quand vos péchés seraient comme le cramoisi, ils seront blanchis comme la neige, et quand ils seraient rouges comme le vermillon, ils deviendront blancs comme la laine» (Ésaïe I, 18).

Vous ne pouvez effacer votre passé, mais le sang de Christ le peut... DIEU REGARDE AU SANG DE CHRIST QUI EFFACE TOUT PÉCHÉ, fût-il celui du plus coupable pécheur qui se confie en lui. C'est là la valeur de ce précieux sang, Robert.

Ses yeux étaient fixés sur moi. Ouvrant de nouveau ma Bible, je lui demandai s'il avait entendu parler de la Pâque des enfants d'Israël et de leur délivrance d'Égypte, et, sur sa réponse négative, je lus les chapitres XI et XII de l'Exode, en les expliquant aussi simplement que possible.

Quand j'arrivai au vers. 13: «Lorsque je verrai le sang, je passerai par-dessus», et que j'essayai de lui faire comprendre que ce n'était pas la bonté des Israélites, mais le sang sur les portes de leurs maisons qui les mettait en sûreté, et que c'était une figure de ce que le sang de Christ fait pour nous, nous mettant d'abord à l'abri du jugement de Dieu, il tressaillit, fixa ses yeux sur la muraille comme s'il voyait quelque chose, et, à mon grand étonnement, il s'écria:

Oui, je vois, je vois tout cela. C'était donc là la Pâque et la figure de la manière dont Dieu peut passer sur nous, quoique pécheurs. Oui, je vois les maisons, et le sang, et l'ange destructeur en flammes de feu au milieu de l'obscurité. Je commence à comprendre, cette scène me l'explique tout à fait.

Alors, voyant ma surprise, il ajouta:

«Je vous demande pardon, madame, mais j'ai vu cette scène représentée au théâtre, à Paris, pendant le carême, il y a déjà quelques années. Ah! le diable ne pensait pas, cette nuit, que Dieu se servirait de la méchanceté de l'homme pour faire voir clairement à un pauvre pécheur la voie du salut. Je n'avais plus pensé à cette soirée. Je ne savais pas que cette scène fût tirée de la Bible, jusqu'à ce que vous ayez lu ces chapitres, et alors elle s'est représentée si vivement à mon esprit, rendant tout si clair, — le jugement, — le moyen de salut, — le sang, la seule sécurité, partout ailleurs la mort, — que j'ai cru être encore là où je l'avais vue il y a longtemps. Je suppose qu'un Égyptien aurait été en sécurité, s'il avait été dans une maison sur laquelle reposait le sang?

En parfaite sécurité, car Dieu ne dit pas:


Quand je verrai les Israélites, mais: Quand je verrai le sang, je passerai par-dessus.

Je vois, je vois: le sang d'un agneau était suffisant pour mettre à l'abri les Israélites, quoique, dans cette grande nation, il dût sûrement y avoir de méchants hommes; le sang du Fils de Dieu doit être suffisant pour me sauver, quoique je sois entièrement mauvais. Quand je serai mieux, il faut que j'aille à une école du soir pour apprendre à lire. J'aimerais tellement pouvoir lire la Bible, car je pense à tant de choses pendant la nuit, lorsque je ne peux pas dormir, et cela serait un si grand secours de pouvoir lire la Bible moi-même. Mais, béni soit Dieu, je vois le chemin et je m'abrite sous son sang.

En sortant ce jour-là, je demandai à la «sœur» de la salle quelles étaient les espérances de guérison pour Robert. À mon chagrin et à ma surprise, elle répondit: «Aucune. Les docteurs pensent que, non seulement il n'y a point d'espérance, mais que son temps est même compté et qu'il pourrait s'en aller subitement.»

Est-ce possible? m'écriai-je. Je ne l'aurais pas cru si malade, et je suis sûre qu'il ne le pense pas lui-même.

En effet, et sa femme non plus, quoiqu'elle considère son état comme plus grave que lui ne le fait. Je suis sûre qu'il faudrait le lui dire, car il n'est peut-être pas préparé à mourir. Je l'ai essayé plusieurs fois, mais je ne puis pas. Nous nous intéressons tous beaucoup à lui; il est si patient et reconnaissant, et il ne donne point de peine, car il prend toujours le bon côté des choses, ce qui fait que, comme vous le dites, personne ne le croirait si malade. J'aimerais que vous lui dissiez la vérité.

Je promis de le faire, mais pas ce même jour. Je pensai qu'il valait mieux le laisser méditer paisiblement sur la grandeur du salut de Dieu et sur l'excellent sacrifice qui le lui avait obtenu. Je n'avais point d'anxiété à son égard, sachant qu'il se reposait sur le sang de Christ et sur l'amour de Dieu.

Lorsque je revis Robert, il était très paisible et avide de ce qui était pour lui le pain de vie, la parole de Dieu. Je lui avais apporté un texte peint tout entier en lettres majuscules qui lui causa une grande joie: «Car Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, le Juste pour les injustes, afin qu'il nous amenât à Dieu.»

Je le lui lus un grand nombre de fois, très lentement, jusqu'à ce qu'il pût déchiffrer les mots lui-même, et depuis ce jour il le garda près de lui sur son lit. «Il a souffert pour m'amener à Dieu, dit-il, et Dieu était la dernière personne que je désirasse rencontrer. Toute ma vie j'avais pensé qu'il ne s'inquiétait pas du monde, mais l'abandonnait à son sort, et cependant son Fils a souffert pour que je puisse le connaître. C'est merveilleux!»

Il me demanda de lui lire de nouveau l'histoire de la Pâque. Je le fis et lui présentai, en rapport avec cela, 1 Corinthiens V, 7: «Christ, notre Pâque, a été sacrifié pour nous.»

Presque toutes les paroles de la Bible étaient nouvelles pour lui. Jusqu'alors il les avait considérées comme des fables de vieilles femmes, mais il avait été profondément touché par la merveilleuse histoire de la croix et des souffrances du Fils de Dieu. Puis l'Esprit de Dieu avait agi sur lui, lui donnant de voir toujours plus fortement son péché et sa folie, jusqu'à ce qu'enfin le plan entier du salut de Dieu devînt clair pour lui comme répondant parfaitement à son état de ruine et à ses besoins.

Et maintenant, me dit-il, je me réjouis de pouvoir aller dire à tous mes compagnons ce que Dieu a fait pour moi. Je pense souvent combien notre maison sera différente de ce qu'elle était, car ma femme n'aura pas de repos maintenant qu'elle n'ait trouvé, pour elle-même, ce que Dieu m'a accordé. Nos deux aînés sont de bons écoliers et ils nous feront la lecture jusqu'à ce que je le puisse moi-même.

Je restai silencieuse une minute ou deux, puis je lui dis:

«Que penseriez-vous, Robert, si le Seigneur vous appelait bientôt à Lui?»

II parut surpris. — Pensez-vous que je ne me rétablisse pas? fut sa demande.

Non, je crois que le Seigneur vous rappela avant longtemps. Aimeriez-vous aller près de Lui?

Après un moment de silence:

Le Seigneur sait mieux ce qui me convient, répondit-il, et je ne veux plus avoir de doutes à son égard. Je croyais qu'il me laisserait retourner là où je l'avais déshonoré pour que je pusse vivre pour Lui quelque temps. Pour moi, je suis en sécurité, le sang est sur ma maison, et je désire aussi d'être avec Lui; mais je pense à ma femme et à mes petits enfants. Qui prendra soin d'eux?

Il y a un passage de la Bible qui dit:


«Laisse tes orphelins, et je leur donnerai de quoi vivre, et que tes veuves s'assurent sur moi»
(Jérémie XLIX, 11).

Est-ce que Dieu dit cela? Alors Il le fera et je les Lui confierai. Les docteurs disent donc que je suis perdu?

Oui, Robert, et la sœur pensait qu'il fallait vous le dire, de crainte que vous ne fussiez pas prêt; mais vous l'êtes, n'est-il pas vrai?

Oui, Dieu soit béni, en sûreté par le sang de l'Agneau de Dieu. Mais vous reviendrez me lire dans la Bible, n'est-ce pas? Je voudrais connaître davantage, car je sais seulement que Dieu prend soin de moi et qu'il m'a sauvé.

Je le revis encore bien des fois avant qu'il fût retiré de ce monde. Jamais un doute n'assaillit son âme. «Dieu regarde au sang,» disait-il sans cesse à sa femme. Il lui annonça qu'il ne rentrerait pas dans sa demeure terrestre, et il la supplia de venir le rejoindre auprès du Seigneur Jésus et d'amener tous leurs enfants. «Aucun d'eux ne doit être laissé en arrière, Marthe, aucun. Élève-les pour Dieu. Il prendra soin d'eux et de toi.»

II vécut encore cinq semaines, pendant lesquelles il eut la joie de voir sa femme se reposer aussi, pour le temps et l'éternité, sur la parole de Dieu et l'œuvre de Christ, puis arriva le jour où il fut «absent du corps, présent avec le Seigneur». Sa fin arriva subitement. Il n'était pas plus mal que d'habitude lorsque je l'avais quitté en lui disant: «Le Seigneur pourrait venir et nous prendre tous ensemble maintenant», et sa réponse avait été, avec un sourire: «Ce serait bon

Le lendemain matin, je recevais un billet m'annonçant qu'il attendait près du Seigneur le jour dont nous avions parlé en dernier lieu, alors que

«le Seigneur lui-même, avec un cri de commandement, une voix d'archange et la trompette de Dieu, descendra du ciel; et les morts en •Christ ressusciteront premièrement; puis, nous, les vivants qui demeurons, nous serons ravis ensemble avec eux dans les nuées, à la rencontre du Seigneur en l'air; et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur» (1 Thess. IV, 16, 17).


Lecteur, ce jour sera-t-il pour vous un jour de joie et de bonheur?

Posez-vous à vous-même cette solennelle question, et ne prenez pas de repos jusqu'à ce que vous puissiez dire comme mon ami malade: «Ce serait bon.»


 
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