Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

LES DEUX CHEMINS

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Notre dessein, dans ce petit écrit, est de diriger votre attention sur un sujet de la plus grande importance, Lisez-le avec impartialité, et ne le méprisez pas  ; car vous ne pouvez pas prouver que les choses qu'il contient soient fausses ou indifférentes.

Quels que soient votre âge ou votre position, ce sujet vous touche de près, puisqu'il s'agit des deux fins de la vie et DES DEUX CHEMINS QUI Y CONDUISENT.

Ces deux buts sont aussi éloignés l'un de l'autre que le ciel l'est de l'enfer, qu'un état de bonheur éternel l'est d'une misère éternelle.

Le premier nous est représenté dans la Bible sous les couleurs les plus attrayantes :

c'est le paradis (Luc, XXIII, 43 Jésus lui répondit : Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis.)  ;

un rassasiement de joie, et des plaisirs pour jamais (Ps. XVI, 11 Tu me feras connaître le sentier de la vie ; Il y a d’abondantes joies devant ta face, Des délices éternelles à ta droite.),

des choses que l'œil n'a point vues, que l'oreille n'a point ouïes, et qui ne sont point montées au cœur de l'homme (1. Corinth., II, 9 Mais, comme il est écrit, ce sont des choses que l’oeil n’a point vues, que l’oreille n’a point entendues, et qui ne sont point montées au coeur de l’homme, des choses que Dieu a préparées pour ceux qui l’aiment.),

un état dont les maux positifs de la vie, la faim (Apoc. l., VII, 16 ils n’auront plus faim, ils n’auront plus soif, et le soleil ne les frappera point, ni aucune chaleur.),

le deuil et les larmes (Apoc., XXI, 4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.),

la fatigue (Hebr., IV, 9 Il y a donc un repos de sabbat réservé au peuple de Dieu.),

la maladie (Ésaïe, XXXIII, 24 Aucun habitant ne dit : Je suis malade !),

les séparations (1 Thess., IV 17 Ensuite, nous les vivants, qui serons restés, nous serons tous ensemble enlevés avec eux sur des nuées, à la rencontre du Seigneur dans les airs, et ainsi nous serons toujours avec le Seigneur.),

la mort (Apoc., XXI, 4 Il essuiera toute larme de leurs yeux, et la mort ne sera plus, et il n’y aura plus ni deuil, ni cri, ni douleur, car les premières choses ont disparu.),

seront à jamais exclus  ; et ce ne sont là que quelques-uns des traits du tableau que l'Écriture fait de la félicité du ciel.


Quel contraste avec la description du lieu de la misère !

Il est appelé l'étang de feu et de soufre (Apoc., XX, 10 Et le diable, qui les séduisait, fut jeté dans l’étang de feu et de soufre, où sont la bête et le faux prophète. Et ils seront tourmentés jour et nuit, aux siècles des siècles.),

un ver qui ne meurt pas, et un feu qui ne s'éteint pas (Marc, IX, 48 si ton oeil est pour toi une occasion de chute, arrache-le ; mieux vaut pour toi entrer dans le royaume de Dieu n’ayant qu’un oeil, que d’avoir deux yeux et d’être jeté dans la géhenne, où leur ver ne meurt point, et où le feu ne s’éteint point.),

une flamme où l'on désire en vain une goutte d'eau pour rafraîchir sa langue (Luc, XVI, 24, 26 Il s’écria : Père Abraham, aie pitié de moi, et envoie Lazare, pour qu’il trempe le bout de son doigt dans l’eau et me rafraîchisse la langue ; car je souffre cruellement dans cette flamme. Abraham répondit : Mon enfant, souviens-toi que tu as reçu tes biens pendant ta vie, et que Lazare a eu les maux pendant la sienne ; maintenant il est ici consolé, et toi, tu souffres. D’ailleurs, il y a entre nous et vous un grand abîme, afin que ceux qui voudraient passer d’ici vers vous, ou de là vers nous, ne puissent le faire.),

une peine éternelle (2 Thess., I, 8, 9 lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du ciel avec les anges de sa puissance, au milieu d’une flamme de feu, pour punir ceux qui ne connaissent pas Dieu et ceux qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus. Ils auront pour châtiment une ruine éternelle, loin de la face du Seigneur et de la gloire de sa force...),

les ténèbres dehors, où il y a des pleurs et des grincement de dents. (Matt., VIII, 12 Mais les fils du royaume seront jetés dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.  ; XIII, 50 Il en sera de même à la fin du monde. Les anges viendront séparer les méchants d’avec les justes, et ils les jetteront dans la fournaise ardente, où il y aura des pleurs et des grincements de dents.).


Cher lecteur, pourriez-vous vous dire sans émotion qu'il vous faudra arriver un jour à un de ces deux états ?

Pourriez-vous être indifférent sur le choix que vous devez faire de l'un d'eux ?

Désirez-vous savoir vers lequel vous tendez ?

Vous pouvez le savoir en examinant les deux chemins qui conduisent à ces deux séjours, dont je viens de faire des descriptions si différentes.


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LE PREMIER, CELUI QUI CONDUIT À LA VIE, n'attire pas le grand nombre ; il est appelé le chemin étroit, à cause des obstacles que ceux qui y marchent ont à surmonter (Matt., VII, 13, 14 Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.).

Si vous voulez y entrer, il faut commencer par SOUMETTRE VOS PENSÉES AUX DÉCLARATIONS DE LA BIBLE ; il faut croire ce que ce Livre vous apprend, savoir que :


vous êtes pécheur (Rom., III, 9-23 nous avons déjà prouvé que tous, Juifs et Grecs, sont sous l’empire du péché, selon qu’il est écrit : Il n’y a point de juste, Pas même un seul ; Nul n’est intelligent, Nul ne cherche Dieu ; Tous sont égarés, tous sont pervertis ; (3-12) Il n’en est aucun qui fasse le bien, Pas même un seul ;... tous ont péché et sont privés de la gloire de Dieu,)

exposé à la colère de Dieu, à cause de vos transgressions (Rom., I, 18 La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, car ce qu’on peut connaître de Dieu est manifeste pour eux, Dieu le leur ayant fait connaître.)  ;

et, si vous comparez vos pensées et votre conduite avec la loi de Dieu, telle qu'elle nous est donnée dans les dix Commandements, vous sentirez la vérité de tout ce que l'Écriture nous enseigne sur ce sujet.

Il vous faut aussi recevoir les déclarations qu'elle contient sur la miséricorde de Dieu et sur le pardon qu'il accorde à tous ceux qui viennent à lui par la foi au Sauveur qui a été crucifié pour les pécheurs (Rom., III, 24-26 ils sont gratuitement justifiés par sa grâce, par le moyen de la rédemption qui est en Jésus-Christ. C’est lui que Dieu a destiné, par son sang, à être, pour ceux qui croiraient victime propitiatoire, afin de montrer sa justice, parce qu’il avait laissé impunis les péchés commis auparavant, au temps de sa patience, afin, dis-je, de montrer sa justice dans le temps présent, de manière à être juste tout en justifiant celui qui a la foi en Jésus.).

Jésus-Christ est appelé le chemin aussi bien que la vérité et la vie (Jean, XIV, 6 Jésus lui dit : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.)  ; un chemin nouveau qui mène à la vie (Hébr., X, 19, 20 — Ainsi donc, frères, puisque nous avons, au moyen du sang de Jésus, une libre entrée dans le sanctuaire par la route nouvelle et vivante qu’il a inaugurée pour nous au travers du voile, c’est-à-dire, de sa chair,).

Vous éprouverez que faire une confession sincère de votre état de pécheur, et recevoir avec reconnaissance le salut gratuit par la croix de Christ, sont des choses très opposées à l'orgueil de votre cœur et à votre penchant à vous appuyer sur votre propre justice (Rom., X, 3 ne connaissant pas la justice de Dieu, et cherchant à établir leur propre justice, ils ne se sont pas soumis à la justice de Dieu.) ;)

Mais le plus grand obstacle que vous rencontrerez dans cette route, c'est qu'il est :

le chemin de la sainteté (Ésaïe, XXXV, 8 Il y aura là un chemin frayé, une route, Qu’on appellera la voie sainte ; Nul impur n’y passera ; elle sera pour eux seuls ; Ceux qui la suivront, même les insensés, ne pourront s’égarer.),

de la repentance (Actes, XVII, 30 Dieu, sans tenir compte des temps d’ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu’ils aient à se repentir, parce qu’il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice, par l’homme qu’il a désigné, ce dont il a donné à tous une preuve certaine en le ressuscitant des morts...),

de la prière (1 Thess., V, 17 Priez sans cesse.),

et que vous y serez appelé à chercher les choses qui sont en haut (Col., III, 1, 2 Si donc vous êtes ressuscités avec Christ, cherchez les choses d’en haut, où Christ est assis à la droite de Dieu. Affectionnez-vous aux choses d’en haut, et non à celles qui sont sur la terre.) et à renoncer à vous-même (Marc, VIII, 34 Puis, ayant appelé la foule avec ses disciples, il leur dit : Si quelqu’un veut venir après moi, qu’il renonce à lui-même, qu’il se charge de sa croix, et qu’il me suive.).

Notre âme n'est pas capable de revêtir ces dispositions ou de remplir ces devoirs, tant qu'elle n'a pas été régénérée par l'influence du Saint-Esprit, et que cet Esprit ne lui a pas imprimé un caractère nouveau et céleste (Rom., VII. 18, — Ce qui est bon, je le sais, n’habite pas en moi, c’est-à-dire dans ma chair : j’ai la volonté, mais non le pouvoir de faire le bien; Jean, XV, 5 Je suis le cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruits, car sans moi vous ne pouvez rien faire.).

Lorsque nous sommes devenus de nouvelles créatures, la religion spirituelle nous devient possible et douce ; les promesses que Dieu nous a faites, de nous donner la sagesse, la force et la victoire, rendent le bon chemin praticable (2 Corinth., XII, 9 Ma grâce te suffit, car ma puissance s’accomplit dans la faiblesse. Je me glorifierai donc bien plus volontiers de mes faiblesses, afin que la puissance de Christ repose sur moi.).

La paix, l'espérance et la joie qui nous y suivent, une bonne conscience et un cœur renouvelé, le rendent agréable (1 Pierre, I, 8 lui que vous aimez sans l’avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie ineffable et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi.)


***

L'AUTRE CHEMIN EST SPACIEUX ; SA PORTE EST LARGE, et est fréquenté par la foule (Matth., VII, 13,14 Entrez par la porte étroite. Car large est la porte, spacieux est le chemin qui mènent à la perdition, et il y en a beaucoup qui entrent par là. Mais étroite est la porte, resserré le chemin qui mènent à la vie, et il y en a peu qui les trouvent.)  ; c'est la voie des transgresseurs.

On y trouve des personnes de caractères très différents ;

les uns sont ouvertement incrédules, et ne songent pas à l'éternité (2 Pierre, III, 4 Où est la promesse de son avènement ? Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création.)  ;

les autres ont une apparence de religion, mais ils rejettent des vérités importantes de l'Écriture, ou retiennent injustement la vérité captive (1 Tim., I, 19 que, d’après elles, tu combattes le bon combat, en gardant la foi et une bonne conscience. Cette conscience, quelques-uns l’ont perdue, et ils ont fait naufrage par rapport à la foi; Rom., I, 18 La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive,)

Le moraliste qui dédaigne, la Parole de Dieu, et le faux chrétien qui tord les Écritures à sa propre perdition, se rencontrent dans ce sentier dangereux.

On y trouve l'ivrogne et le libertin, le menteur, le médisant, le parjure, le larron, l'envieux, l'égoïste (1 Corinth., VI, 9-11 Ne savez-vous pas que les injustes n’hériteront point le royaume de Dieu ? Ne vous y trompez pas : ni les impudiques, ni les idolâtres, ni les adultères, ni les efféminés, ni les infâmes, ni les voleurs, ni les cupides, ni les ivrognes, ni les outrageux, ni les ravisseurs, n’hériteront le royaume de Dieu. Et c’est là ce que vous étiez, quelques-uns de vous. Mais vous avez été lavés, mais vous avez été sanctifiés, mais vous avez été justifiés au nom du Seigneur Jésus-Christ, et par l’Esprit de notre Dieu.)  ;

on y voit ceux qui aiment avec ardeur l'argent, les plaisirs et la gloire qui vient des hommes, et ces multitudes infinies qui donnent leur cœur au monde, qui n'attachent leurs affections qu'aux choses de la terre, et qui sont ainsi ennemies de la croix et du service dit Rédempteur (Philipp.,III, 18,19 Car il en est plusieurs qui marchent en ennemis de la croix de Christ, je vous en ai souvent parlé, et j’en parle maintenant encore en pleurant. Leur fin sera la perdition ; ils ont pour dieu leur ventre, ils mettent leur gloire dans ce qui fait leur honte, ils ne pensent qu’aux choses de la terre.).

Telles sont les voies qui conduisent à des buts si différents.

Dans laquelle marchez-vous,

et vers laquelle de ces deux fins vous avancez-vous tous les Jours ?

Si vous êtes dans le chemin qui conduit à la vie, je m'en réjouis avec vous ; si, au contraire, vous êtes dans la voie large qui conduit à la misère, je vous supplie de ne pas perdre un moment pour la quitter. Le chemin du salut vous est ouvert. Cherchez-le sans retard, de peur que la main de la mort ne scelle votre malheur éternel.

Repentez-vous de vos péchés,

pliez les genoux,

et humiliez votre cœur pour demander grâce,

et mettez-vous à étudier sérieusement la Bible.

Vous y apprendrez que, quels qu'aient pu être jusqu'ici votre caractère et vos péchés, vous pouvez retourner à Dieu avec confiance.

IL Y A UNE PARFAITE CLÉMENCE POUR LES PLUS GRANDS CRIMINELS, LORSQU'ILS VIENNENT À LUI AU NOM DE SON FILS.

(1 Tim. I, 15, 16. — C’est une parole certaine et entièrement digne d’être reçue, que Jésus-Christ est venu dans le monde pour sauver les pécheurs, dont je suis le premier. Mais j’ai obtenu miséricorde, afin que Jésus-Christ fît voir en moi le premier toute sa longanimité, pour que je servisse d’exemple à ceux qui croiraient en lui pour la vie éternelle.)

Le sang de Jésus purifie de tout péché. (1 Jean I, 7 , — si nous marchons dans la lumière, comme il est lui-même dans la lumière, nous sommes mutuellement en communion, et le sang de Jésus son Fils nous purifie de tout péché.)

Quiconque croit en lui ne périra point, mais aura la vie éternelle. (Jean, III, 15)

Ne dites donc pas que vous êtes retenu par des liens de péché, que votre âme est malade, et que vous ne pouvez ni vous délivrer ni vous guérir vous-même. Le Sauveur est venu publier la liberté aux captifs (Luc, I V,18 il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres ; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le coeur brisé, Pour proclamer aux captifs la délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés, Pour publier une année de grâce du Seigneur.), et il s'offre à vous comme le grand médecin qui peut seul guérir toutes vos maladies morales et spirituelles, et vous donner une nature nouvelle et divine. (Luc, V, 31, Jésus, prenant la parole, leur dit : Ce ne sont pas ceux qui se portent bien qui ont besoin de médecin, mais les malades. — et 2 Pierre, I, 4. — Comme sa divine puissance nous a donné tout ce qui contribue à la vie et à la piété, au moyen de la connaissance de celui qui nous a appelés par sa propre gloire et par sa vertu, lesquelles nous assurent de sa part les plus grandes et les plus précieuses promesses, afin que par elles vous deveniez participants de la nature divine, en fuyant la corruption qui existe dans le monde par la convoitise,)

C'est dans ce but qu'il a promis son Saint-Esprit pour éclairer l'entendement, subjuguer la volonté, et sanctifier les affections (Luc, XI, 13 Si donc, méchants comme vous l’êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison le Père céleste donnera-t-il le Saint-Esprit à ceux qui le lui demandent.), et il vous invite à vous approcher de cette source de toute grâce.

Si quelqu'un a soif qu'il vienne à moi et qu'il boive. (Jean, VII , 37-39. — Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive. Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Écriture. Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en lui ; car l’Esprit n’était pas encore, parce que Jésus n’avait pas encore été glorifié.)

L'esprit et l'Épouse disent : Viens. Que celui qui l'entend dise aussi : Viens, et que celui qui a soif vienne aussi ;et que celui qui voudra de l'eau vive en prenne gratuitement. (Apoc, XXII, 17.)


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FUYEZ DONC LA COLÈRE À VENIR,

ET

SAISISSEZ LA VIE ÉTERNELLE.

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Cherchez dans la Bible les passages de l'Écriture Sainte que nous avons cités, et lisez aussi avec attention  :

le 1er psaume,

les versets 24 à 29 du VIIe chapitre de l'Évangile selon saint Matthieu,

le XXV chapitre de l'Évangile selon saint Matthieu tout entier ,

le IIIe chapitre de l'Évangile selon saint Jean,

le IIIe chapitre de l'Épître aux Romains ,

le II e chapitre de l'Épître aux Éphésiens,

et le VIIIe chapitre de l'Épître aux Hébreux.


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