Nouvelles d'Israël

11 / 1994
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La communication de l'avenir est Israélienne

Après des années d'efforts, des ingénieurs israéliens de la société «Motorola Israël» ont réussi à mettre au point un système de transmission aussi petit que bien conçu, nommé «Radio de l'avenir».

Ce système, qui répond également au nom de «MIRS» (= Motorola Integrated Radio System) n'est pas destiné à équiper les foyers ni les automobiles. Il s'agit d'un système sans fil qui combine en un seul appareil quatre dispositifs différents: radio, téléphone mobile, sémaphones pouvant recevoir des messages alphanumériques, et modem radio permettant de transmettre des données informatiques ou des télécopies de qualité parfaite.

Ce système intelligent, dont la taille ne dépasse pas celle d'un petit téléphone portable, garantit une qualité de transmission de la parole et d'émission inouïe grâce à une technologie numérique que Motorola fait fabriquer pour le monde entier par des scientifiques juifs, dans sa filiale israélienne.

Aux Etats-Unis, le «MIRS» est déjà en service à Los Angeles et à San Francisco. Dans l'avenir, il permettra de communiquer d'une côte à l'autre du continent américain. L'an prochain, des systèmes similaires seront également installés au japon, en Chine, au Canada et en Israël. ZL

Commentaire

Il n'est pas étonnant que la mise au point de ce nouveau moyen de communication soit l'oeuvre de scientifiques israéliens. En informatique comme ailleurs, Israël ne cesse de creuser l'écart sur le plan mondial. Nous signalions déjà dans notre numéro de novembre de l'«Appel de Minuit» que le premier constructeur mondial de circuits intégrés «Intel» avait confié la finition de ses produits à Israël. Ce pays devient donc le seul au monde où va se concentrer la production mondiale de microprocesseurs Intel. Cette évolution répond à la Parole, car dans le royaume de l'Antichrist qui nous attend, le Seigneur du monde dressera les tentes de son palais en Israël (voir Daniel 11, 41 et 45), d'où il exercera son pouvoir provisoire. Les deux témoins arrivant à Jérusalem seront eux aussi vus par le monde entier (voir Apocalypse 11, 9-10.13). Le fait que tous les chemins mènent inéluctablement en Israël et à Jérusalem ne souffre aucun doute. Dès lors, comment s'étonner que Jérusalem accueille (ou s'apprête à accueillir) le dernier cri de la technologie, y compris en matière de communications? Nous, les croyants de la nouvelle Alliance, savons que tout doit se jouer en Israël et à Jérusalem sous la conduite de l'Antichrist, en vue de la domination du monde. En fin de compte, l'unique objet des soi-disant négociations de paix entre Israël et ses voisins consiste à décider qui aura le pouvoir décisionnel sur et à Jérusalem. Ce communiqué nous montre donc une nouvelle fois que Dieu est sur le point d'accomplir Sa Parole. CM

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Nouvelles d'Israël

06 / 1994
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Du pétrole le long des cotes d'Israël?

Lors d'un forage sur la côte près de la ville de Herzlija, on a découvert, à une profondeur de 3000 mètres, des signes de l'existence d'une couche de gaz. Ils pourraient signifier la présence d'une nappe de pétrole. Le forage a débuté en février et devrait atteindre une profondeur de 6000 mètres. C'est la plus grande et la plus chère entreprise de ce genre jamais effectuée en Israël. Le budget prévu s'élève à environ 20 millions de dollars. Le forage se base sur des recherches géologiques qui laissent supposer l'existence dans la région d'une immense réserve de pétrole.

COMMENTAIRE

Nous croyons fermement qu'il se trouve également du pétrole en Israël; il est, en effet, écrit en Deutéronome 33, 24: «Béni soit Aser entre les enfants d'Israël! Qu'il soit agréable à ses frères, et qu'il plonge son pied dans l'huile!» L'examen de diverses cartes et de textes d'exégètes nous révèle que la tribu d'Aser se situe bien au nord d'Herzlija. Israël devrait donc chercher du pétrole davantage dans le nord du pays, et il réussira certainement! Mis à part l'accomplissement de la sûre promesse divine relative à l'existence d'«huile» dans la tribu d'Aser, il est difficilement concevable que Dieu ait donné tant de pétrole aux pays arabes et qu'Il n'en ait offert aucune réserve à Son propre peuple.

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C.M.


Nouvelles d'Israël

08 / 1994
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Essai réussi pour le missile «Chetz»

Le nouvel essai du missile «Chetz» qui a eu lieu à la mi-juin s'est soldé par un succès. Le «Chetz», un missile anti-missile, a atteint et détruit en vol un autre engin qui simulait une attaque sol-sol par missile à tête chimique.

Cet essai était le septième et le plus déterminant de tous. Tous les participants à la construction du missile «Chetz» s'accordaient à dire qu'un nouvel échec - même imputable à des raisons purement techniques - aurait signifié l'abandon définitif de l'ensemble du projet. En effet, les deux essais précédents avaient échoué et des voix s'étaient alors élevées en Israël et aux Etats-Unis pour dire que l'investissement consacré au développement du missile «Chetz» était un gaspillage et que l'idée qui sous-tendait le développement du projet était irréalisable.

Le succès impressionnant du dernier essai garantit la poursuite du projet. Les Américains qui financent une large part des coûts de développement du missile «Chetz» se sont montrés très satisfaits et ont fait l'éloge de la capacité de l'Etat d'Israël «à mettre au point et à construire des systèmes technologiques complexes». Selon le Dr. Michael Holtcamp, coordinateur de la défense anti-missile balistique au ministère américain de la Défense, «l'industrie aéronautique israélienne fait actuellement partie des représentants les plus compétents de la communauté technologique internationale.» A l'issue de cet essai, le directeur général de l'industrie -, aéronautique israélienne, Moshe Karet, a déclaré que le développement du système opérationnel du missile «Chetz» allait débuter immédiatement. «J'espère que nous pourrons en assurer la livraison avant la fin de la décennie», a-t-il ajouté.

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Nouvelles d'Israël

07 / 1994
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Lutte anti-drogue biologique

Une équipe spécialisée de scientifiques et d'officiers de police a mis au point un programme spécial destiné à la lutte biologique contre les plants de pavot cultivés au Liban, qui permettent de produire des drogues dangereuses introduites ensuite en fraude en Israël.

Cette équipe a mis au point une espèce spéciale de graine de pavot, qui commence par germer avant de fertiliser les plants normaux, en les faisant s'autodétruire par la suite. Cette autodestruction est le fait de caractéristiques précises, implantées par des méthodes de génie génétique dans le mécanisme de floraison de la graine de pavot. Les scientifiques espèrent ainsi pouvoir déclencher une réaction en chaîne qui détruira 60 à 70% des récoltes.

Les grands champs de pavot du sud du Liban sont la première source du trafic de drogue vers Israël. Ces dernières années, celui-ci a augmenté dans des proportions incroyables, et se chiffre déjà en dizaines de tonnes par an. Selon des informations émanant des services secrets, la Syrie est profondément impliquée dans la production de stupéfiants et dans leur acheminement clandestin vers Israël. Une grande partie du trafic est dominée par des officiers supérieurs syriens à la tête desquels on retrouve Rifaat Assad, un des frères du président syrien.

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Nouvelles d'Israël

07 / 1994
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Vers un remplissage du lac Hula, jadis asséché.

Trente ans après que le processus d'assèchement du lac Hula (au nord d'Israël) se soit achevé, une grande fête a été organisée sur le site. Son objet: un projet diamétralement oppose, à savoir l'inondation d'une partie de la zone jadis mise à sec pour la transformer à nouveau en lac.

Avant qu'il ne soit complètement à sec, le lac s'étendait sur une superficie de 17.000 dunam (1 dunam = 1000 m2). L'assèchement, présenté à l'époque comme un projet nécessaire et ambitieux à l'échelon national, avait pour objectif de supprimer les risques de malaria dans la région, mais aussi de donner à la Galilée supérieure plusieurs dizaines de milliers de dunam de terres cultivables. Mais au fil du temps, il s'est avéré que l'assèchement du lac Hula était une erreur provoquant de sérieux problèmes écologiques sur l'ensemble du territoire. Il est notamment apparu que les sols censés servir à l'agriculture étaient inutilisables.

Inonder à nouveau 1000 dunam de l'ancien lac permettra de créer un projet touristique central incluant des zones de pêche et de navigation ainsi qu'une réserve naturelle. Le projet, qui s'étendra sur une durée de quatre ans environ, coûtera quelque 60 millions de shekels (soit 20 millions de dollars environ).

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NOUVELLES D'ISRAEL

Avril 1995 / P 24
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Des tomates salées 1995

Une révolution mondiale dans le domaine de la salade de légumes se réalise en Israël: des agriculteurs de la plaine Jordanienne ont produit une nouvelle sorte de tomate, qui se distingue par sa teneur en sel; ce qui rend donc superflu le salage de la salade.

Le nom du nouveau produit est "tomate de goût". Les premières récoltes ont connu beaucoup de succès sur le marché, et elles sont vendues en Angleterre et en Allemagne.

Ces tomates ont été conçues et développées par la section de recherche et du développement des colonies de la plaine jordanienne. Pour l'étape suivante, les agriculteurs se proposent de cultiver des espèces salées de concombre et de laitue.

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NOUVELLES D'ISRAEL

No 1 Juillet 1981

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Construction d'un canal de la Méditerrannée à la Mer Morte 1981

Israël et l'Egypte anticipent

D'une part, Israël a projeté de construire un canal depuis la Méditerrannée jusqu'à la Mer Morte:

" le coup d'envoi pour la construction du grand canal d'eau, partant de la Méditerrannée à la Mer Morte, qui dans 15 ans devrait couvrir la moitié des besoins d'électricité en Israël, a été donné par le gouvernement. Pour éviter des conflits politiques, les terrassiers sont obligés de commencer leurs travaux près de Massada du côté de la Mer Morte, l'extrémité Est du canal, car d'après le plan actuel, l'extrémité ouest se trouve dans la bande de Gaza, à peu près à 7 km de la future frontière égyptienne. Israël veut garder cette partie de territoire sous son contrôle, car elle joue un rôle stratégique important.

Un devis estimatif a été établi selon lequel le coût du projet serait de 800 millions de dollars. Neeman disait: "Nous examinons toute une série d'offres d'investisseurs privés, mais nous n'avons pas encore pris de décision. Les premiers 100 000 dollars doivent venir de fonds de construction".

D'autre part, les Egyptiens ont amorcé un projet de construction de route, en voici le rapport:

2 Si tout se déroule comme prévu, il y aurait dans l'été 1981 une possibilité de passer du Caire à Jérusalem par la route terrestre. Le fait est que le tunnel "Ahmed Hamdi"; premier tunnel sous le canal de Suez, a été percé comme prévu à la fin de l'année 1980. Il ne reste plus que les installations de la lumière, de la ventilation et des systèmes de sécurité.

Le tunnel a deux voies à son entrée à 10 km au nord de Suez. Sa longueur est de 1750 mètres et il se situe jusqu'à 40 mètres sous l'eau. Le projet, dont les frais s'élèvent à près de 50 millions de dollars, est réalisé par un consortium anglo-égyptien".....

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Nouvelles d'Israël

01 / 1983

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De nouvelles découvertes scientifiques israéliennes

De James Lewis

Grâce aux recherches et au développement scientifiques, Israël devient, à vue d'oeil, un pionnier de la technologie ultra-moderne. Des rayons laser permettant aux médecins de pratiquer une opération sans hémorragie; des voitures actionnées au moyen d'un extrait de sucre de canne au lieu d'essence; une méthode d'utilisation de l'énergie solaire, par laquelle la consommation d'électricité est réduite de 50%; voilà quelques-unes des nombreuses réalisations de la science israélienne. En outre, Israël est en tête d'une série de projets scientifiques humanitaires, tels que la recherche d'un médicament contre le cancer.

«Nécessité est mère d'invention»

Des produits de qualité

Du carburant et de l'électricité meilleur marché

Rayons laser et crevettes

Cancer - l'approche juive de ce problème

Contre la stérilité des femmes

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Nouvelles d'Israël

09 / 1983

E. Oysermann

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La révolution technologique d'Israël

Malgré l'absence, cette année, de quelques pays importants à l'exposition technologique de Tel Aviv, on s'était à peine aperçu de ce manque qui fut compensé par la présence d'environ 270 autres exposants. Il y avait beaucoup d'Israéliens capables de concurrencer la plupart des productions technologiques de pointe.

Le nombre des participants à l'exposition avait augmenté de 40 pour-cent malgré le désistement d'au moins cinq exposants principaux comme l'Australie, l'Italie, le Canada, la France et la Belgique. Les seuls pays étrangers qui collaborent encore sont les USA, l'Allemagne de l'Ouest et la Grande-Bretagne. Cette dernière ne se présente qu'avec un stand d'information.

Pour cette raison, l'exposition offrait une bonne occasion d'examiner les acquisitions israéliennes très remarquables. A ce sujet, un exposant s'exprima ainsi: «Pour nous, cette exposition est une sorte d'examen général de la capacité future d'Israël dans les industries scientifiques.» En 1970, il y avait moins de 10 industries scientifiques en Israël. Aujourd'hui, on en compte 500 - ce qui fait BD scientifiques de la recherche et du développement sur 10 000 habitants contre 25 en Amérique, 24 au Japon et 13 en France!

Une série de robots israéliens, les premiers du genre en Israël, fut le principal objet d'attraction.

Un modèle spécial est commandé par un système optique, et a une voix synthétisée électronique. C'est un mini-robot développé pour les ingénieurs, les enseignants des écoles et les universités techniques. Il peut mémoriser jusqu'à 53 positions.

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