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07-01-2003
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Babylone: Origine de la fête de l'épiphanie et des "rois" mages

Adoration des mages

Des mages venus d'Orient, conduits par l'étoile à Bethléhem, demandent à voir celui qui serait le roi des Juifs et apportent de l'or pour honorer Jésus comme roi (symbole de vertu) .

L'encens correspondait à sa divinité [résine blanche] et était symbole de prière.

La myrrhe [gomme aromatique], signe de souffrance, indiquait que Jésus était aussi homme et donc destiné à mourir.

Il s'agirait d'astrologues venus d'Iran, attirés par un phénomène astronomique signifiant, pour eux, la naissance d'un personnage illustre.

Leur nombre n'est pas donné : le chiffre 3 a été adopté vers 450 par Origène et Léon le Grand.

Le titre de rois leur a été donné par influence d'un passage des psaumes : " les rois de Tharsis offriront l'encens.

Une tradition remontant au VIIe siècle les nomme Balthazar [déformation de Belshatsar, Daniel], Melchior et Gaspard.

Au XVe siècle, ont leur attribue chacun une race différente : Melchior : blanc, Balthazar : noir, Gaspard : Jaune (culte devenu populaire en 1164, année où leurs reliques ont été déposées à Cologne, et où Jean de Hildesheim, prêtre Rhénan, écrivit leur légende.

Épiphanie

(du grec " apparition " ou manifestation). Fête d'origine orientale (vers 325), fixée au 6-1 (en France le dimanche après le 1-1).

L'Orient célèbre, le 6-1, à la fois la naissance de Jésus, son baptême, miracle de Cana, les 3 premières "manifestations du Christ " (épiphanies ou théophanies) au monde.

Le 6-1, qui se rattache aux fêtes du solstice d'hiver, a pu être choisi pour se substituer à la naissance du dieu Aïon (parfois identifié avec Hélios, le soleil) enfanté d'une vierge.

En Occident, où l'on célébrait la naissance de Jésus le 25-12, on fêta le 6-l la manifestation du Christ aux nations païennes, symbolisée par la venue des mages à Bethléem.

La fête de la galette (ronde et dorée), dont on fait attribuer les parts par un enfant caché sous la table (le petit roi ou l'Enfant-soleil), pourrait se rattacher au culte solaire préchrétien (en Normandie, on s'adresse à l'enfant caché sous la table en lui disant: Phoebe Domine". Seigneur Phébus).

(Quid.fr) ajouté le 7/1/2003

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27-01-2003
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Un bon chrétien est-il nécessairement écologiste?

Pour aider à la réduction de la pollution, on fait appel à des groupes religieux, quels qu'ils soient. Cependant, les critiques émettent des réserves quant à l'alliance d'environnementalistes avec des gens de foi.

Les défenseurs de l'environnement désirent l'aide d'organisations religieuses pour persuader les Américains à consommer moins d'énergie et ainsi réduire la pollution. C'est un message d'auto-restriction. Les opposants affirment déjà que cette alliance peut être impie.

Paul Gorman, du partenariat religieux national pour l'environnement, déclare que les croyants ont une directive à suivre: "Chacun a pour mission de prendre soin de la création de Dieu et... chacun doit trouver un moyen de la mener à bien en démontrant sa foi, parfois de manière individuelle, parfois ensemble."

Cette année, une coalition de 30 groupes évangéliques a produit la publicité: "Quel véhicule Jésus conduirait-il ?", embrasant ainsi de nombreuses conversations et controverses.

"Si nous aimons notre voisin et chérissons la création divine, peut-être devrions-nous nous poser cette question: quel véhicule Jésus conduirait-il ?", affichait la message contre l'utilisation superflue de carburant des voitures de sport.

Chris Horner, du Competitive Enterprise Institute, a qualifié cette publicité de "scandaleuse" et a vigoureusement critiqué le recrutement de personnes de foi par les écologistes: "Les fondements de la philosophie des Verts sont, je pense, indéniablement païens."

Horner soutient que les environnementalistes veulent l'argent que l'administration Bush octroie aux initiatives religieuses: "Il est temps pour la Maison Blanche d'évaluer la situation et de fixer des limites pour ne pas renflouer les caisses des Verts de millions supplémentaires."

Horner ajoute: "Même si l'Académie Nationale des Sciences rapporte que les véhicules légers utiliseraient moins d'essence, ils sont à l'origine de presque 2400 sinistres supplémentaires par an."

(Family News/ Topinfo) ajouté le 27/1/2003

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12-07-2003
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Une jeune anglaise foudroyée sur son piercing à la langue reste muette durant 3 jours

Becky Nyang a échappé de justesse à la Grande Faucheuse. La jeune fille a été frappée par la foudre, son piercing lingual ayant servi de conducteur. Brièvement soumise à une température de 15 000 °C, elle est restée muette pendant trois jours.

Le piercing est une mode extrêmement répandue désormais, et on trouve même des stands pour s'en faire poser dans les grands magasins. Les parents peuvent maintenant brandir une autre menace que celle des infections: avec tout ce métal dans le corps, les "piercés" sont potentiellement plus sensibles aux "coups de foudre" !

(Sunday Telegraph) ajouté le 12/7/2003

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05-07-2003
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Sur Internet, Harry Potter se dévergonde...

- FictionAlley.org, Un site exclusivement consacré aux aventures d'Harry Potter et compagnie (en anglais)

- FanFiction.net, Le doyen des sites de fan fiction (en anglais)

- Sugarquill.net, Quand la fan fiction vise l'excellence littéraire (en anglais)

(NDLR: Je vous épargne le 4e lien, plus graveleux)

Le succès planétaire du plus célèbre des apprentis sorciers s'amplifie sur la Toile. Des milliers d'inconditionnels se fendent de leurs propres épisodes sur des sites spécialisés de "fan fiction". Sexe, violence ou drogue, Harry Potter a vraiment tout essayé.

Vous avez peut-être lu les cinq tomes de J. K. Rowling, mais vous n'êtes sûrement pas au bout des aventures d'Harry Potter. Sur Internet, le jeune apprenti sorcier fait des tours inédits, inspirés par des écrivains en ligne amateurs du héros des ventes en librairie. Cette littérature abondante réserve quelques surprises : imaginez Harry Potter, les fesses à l'air, en train de se faire fouetter par le Pr Severus Snape, sadique et pédophile ! Pas de doute, "vous êtes entré dans le monde de la 'fan fiction'", prévient "The Boston Globe". "Autant d'histoires sur Harry, Ron et Hermione &emdash; ou n'importe quel autre personnage cité dans les livres &emdash;, qui se retrouvent dans des situations le plus souvent romantiques, parfois homosexuelles et occasionnellement pornographiques." Selon "The Washington Post", "certains auteurs rompent délibérément avec l'univers original de J. K. Rowling en décrivant des personnages qui se droguent, deviennent des tueurs ou s'illustrent dans des scènes de sexe".

En fait "le phénomène de la fan fiction n'a pas débuté avec Harry Potter, ni avec Internet", mais la combinaison des deux n'en est pas moins remarquable. Il y a littéralement des milliers de sites web dédiés aux histoires fictives d'Harry Potter. "L'un des plus populaires, <www.fictionalley.org>, accueille plus de 15 000 histoires courtes ou chapitres, comprend 24 500 utilisateurs inscrits et reçoit en moyenne plus de 100 nouveaux textes chaque jour." Il y a aussi <www.fanfiction.net>, riche de 75 000 histoires et qui jouit aux Etats-Unis d'une des plus fortes durées moyennes de connexion en continu.

Les auteurs rivalisent d'imagination, et certains se sont spécialisés dans les versions salaces. Tel est le cas de "Mira". Discrète sur sa véritable identité, "'Mira' écrit des histoires très explicites avec des descriptions de scènes de sexe anal ou oral" où Harry est un héros sans tabou. Mais ce genre d'histoires scabreuses n'est pas forcément qualifié de pornographique, note "The Boston Globe". Il existe un terme dans le jargon de l'Internet pour qualifier un contenu qui traite de relations homosexuelles : "slash". Liza, doctorante en lettres dans l'une des plus prestigieuses universités américaines, est également prolixe en histoires "slash" qui mettent en scène l'homosexualité d'Harry Potter. Et le quotidien de Boston de s'interroger : "Pourquoi les femmes écrivent-elles des histoires fantaisistes sur des hommes couchant avec des hommes ?" Une façon de prendre ses distances, un acte féministe ou bien lié au fait qu'il n'y a pas de personnages féminins significatifs, tente d'expliquer un professeur du MIT.

Reste que la fièvre de la fan fiction soulève l'épineuse question des droits d'auteur. Ces écrivains en ligne "affirment que leurs Ïuvres représentent l'émergence d'une forme d'art qui tire avantage des perspectives offertes par Internet". D'autres auteurs mettent en avant leur créativité afin d'"explorer des thèmes plus mûrs". Un argumentaire que réfutent les maisons d'édition de livres, de disques ou de films, qui considèrent que "les Ïuvres de fan fiction relèvent plus du plagiat que de l'art et demandent aux opérateurs des sites web de les retirer", note "The Washington Post". En fait, la législation est assez lâche sur ce sujet. "Les lois sur le copyright protègent les Ïuvres dérivées, mais ne disent pas clairement si l'utilisation de noms, de personnages ou d'histoires entre dans cette catégorie. D'un autre côté, la loi protège également l'utilisation loyale par le public d'Ïuvres signées pour en faire un compte rendu ou une critique dans la presse."

En réalité, les choses sont moins contradictoires qu'il n'y paraît. Et l'auteur, par la voix de ses agents, "se dit flattée par le phénomène authentique de fan fiction", rapporte le "Post", mais "s'inquiète de contenus pornographiques clairement contre-indiqués pour les enfants".

PhR

(Courrier International) ajouté le 5/7/2003

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01-07-2003
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Une agence de l'ONU admet enfin que le préservatif n'est pas suffisant pour protéger du SIDA !

NDLR: Quel constructeur automobile, après avoir finalisé son nouveau modèle, aurait l'autorisation de le mettre en circulation si celui-ci était défectueux dans "seulement" 10% des cas ? Même à 0.1%, celui-ci retournerait dans les ateliers ! On a manipulé l'opinion publique et le fléau s'est répandu. Etait-ce à dessein ?

USA : Enfin même l'ONU, après avoir ravagé le monde par une action concertée de promotion et de distribution de préservatifs "pour protéger contre le Sida", semble commencer à admettre l'évidence même.

L'agence UNAIDS de l'ONU, officiellement chargée de la lutte mondiale contre le Sida, ayant à sa disposition des moyens financiers énormes, vient de publier une étude déclarant que "le préservatif ne protège pas du Sida en 10 % des cas".

C'est un début, même si d'autres études ont prouvé l'inefficacité de ce morceau de caoutchouc dans 50% des cas, sans parler de son inefficacité effrayante contre les autres maladies sexuelles.

Ainsi sont balayés 20 ans de fausse littérature, berçant les jeunes du monde dans la conviction d'avoir, avec le préservatif, une protection absolue contre le Sida.

M.Edward Green de l'université Harvard, département Santé Publique, commente : "Un taux d'échec de protection de 90 % n'est pas suffisant pour une maladie fatale".

Et encore : "La manière comment les préservatifs sont distribués en Afrique et d'autres pays sous-développés est comme s'ils protégeaient à 100 %.

Les Condoms ont des noms comme Shield (bouclier) ou Protector, donnant l'impression d'une sécurité à 100 %."

M. Vinanc M.Nantulya, un conseiller au président d'Ouganda, avertit : "Quand nous disons aux jeunes "Si vous utilisez des préservatifs, vous êtes protégés", nous sommes en fait en train de propager l'épidémie."

Il faut se rappeler que l'Ouganda a appliqué une politique anti-Sida très différente. On a insisté sur l'abstinence sexuelle d'abord, et la fidélité ensuite.

L'Ouganda est le seul pays africain où la marée du Sida a pu être renversée : il a refusé les tonnes de préservatifs que l'USAIDS a livrées gratuitement aux autres pays africains.

(UNEC) ajouté le 1/7/2003

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13-12-2003
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Les soins d'accompagnements aux mourants: que nous enseigne la Bible ?

Soins d'accompagnements, soins palliatifs

On insiste beaucoup aujourd'hui pour développer les « soins d'accompagnements » aux mourants, pour rendre plus facile le passage des derniers moments. Dans notre monde sans Dieu, on ne considère bien entendu, que les derniers moments sur cette terre ; les moments qui suivent, le passage dans l'éternité, sont totalement laissés aux oubliettes. Or l'enjeu est grave puisque Luc 16, avec bien d'autres passages de la Bible, nous dit qu'après la mort, on passe ou bien vers un lieu de délices, ou bien vers un lieu de tourment, éternellement.

Comment peut-on ignorer un pareil enjeu ? C'est que la douceur recherchée pour les derniers moments du mourant, n'est point réellement pour le mourant, mais pour l'entourage. Une fin de vie angoissée donne mauvaise conscience à l'entourage : non seulement ce n'est « pas beau », mais ça montre la vanité et l'inanité de toute l'atmosphère morale de notre monde et des idées qui y courent, ses idéologies, ses modes psychologiques, et ses religions officielles &emdash; le monde ne veut pas perdre la face.

La Bible donne un exemple significatif de « soins d'accompagnements ». Le roi Saül était venu consulter une femme qui évoquait les esprits, ou nécromancienne, en désobéissance formelle et directe à la Parole de Dieu qui dit que c'est une abomination. Saül apprend qu'il va mourir le lendemain (1 Sam. 28), et il en est bouleversé au point de tomber par terre, sans plus aucune force pour rien faire. La nécromancienne a vu la scène, mais est bien sûr incapable d'apporter aucune aide spirituelle, ni consolation divine, ni préparation au passage prochain dans l'au-delà : l'urgent aurait été de confesser ses péchés, et de faire appel à la grâce de Dieu pour être pardonné (Ps. 51 et 32). Tout ce que fait cette femme, c'est de préparer un festin pour Saül ; elle « tue le veau gras », et l'accompagne de pains sans levain. Qu'est-ce que cela montre ?

a) le veau gras, c'était un festin royal. Or quel en était l'impact objectivement ? Distraire Saül, lui faire oublier qu'il allait mourir, qu'il allait passer dans l'au-delà, sans s'être mis en règle avec Dieu quant à ses péchés ; ses derniers heures étaient neutralisées pour ne pas mettre sa vie en ordre !

b) les « pains sans levain », dans la Bible, accompagnaient les sacrifices divins, et l'absence de levain était un type de l'absence de tout mal, un type de la pureté nécessaire pour se présenter devant Dieu. Cela donnait à Saül l'illusion d'être « accompagné des secours de la religion » ; or quelle moquerie que ces pains, au moment où, consultant une nécromancienne, il commettait une abomination devant l'Éternel ! Ces « pains sans levain » entretenaient l'illusion chez Saül, et n'étaient qu'un camouflage de la grossièreté de ses péchés et de sa désobéissance à Dieu. Quel triste accompagnement de fin de vie !

Le lendemain Saül mourut dans le péché et dans le désespoir.

Les vrais soins d'accompagnements sont ceux qui aident à trouver Dieu. Pour quelqu'un qui n'est pas en règle avec Dieu quant à ses péchés, ils devraient l'amener à trouver Jésus comme Sauveur. Pour quelqu'un qui a déjà saisi le salut en Jésus Christ, et a trouvé ce qui ôte vraiment les péchés, ces soins d'accompagnements devraient l'amener à jouir de la communion de ce même Sauveur, qui seul donne la paix et la joie. &emdash; Mais distraire et nourrir d'illusions, c'est le pire qu'on puisse faire dans de tels moments.

De tels bons soins d'accompagnements, les seuls valables, sont interdits dans les services publics, ce qui souligne combien l'homme est éloigné de Dieu. Tout est arrangé pour que le mourant oublie l'au-delà, oublie où il va ; cela lui ôte l'occasion de se mettre en règle avec Dieu quant à ses péchés, la dernière chance de chercher et trouver le salut. Quelle tristesse ! mais quelle sinistre prétention de soutenir que cela contribue à l'amélioration des conditions de vie !

Que chacun réfléchisse dès maintenant, avant qu'il ne soit trop tard. « Souviens-toi de ton Créateur dans les jours de ta jeunesse avant que viennent les jours mauvais » (Eccl. 12). Recherchons la paix du cÏur, la paix de Dieu qui peut seule remplir les cÏurs &emdash; recherchons-la dès maintenant, pas seulement en face du terrible et dernier passage.

Jésus dit : « Je suis le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14:6).

(bibliquest) ajouté le 13-12-2003 dans Bioéthique

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20-11-2003
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Les jeunes s'initient de plus en plus tôt à la drogue

Les jeunes s'initient de plus en plus tôt à la drogue, soit entre 12 et 13 ans.

L'usage du cannabis a d'ailleurs doublé au Québec depuis 10 ans, passant de 6,5 pour cent de l'ensemble de la population en 1989 à 13,5 pour cent en 1998.

Ces statistiques ressortent d'un rapport dévoilé mercredi par le Comité permanent de lutte à la toxicomanie, intitulé «La consommation de psychotropes, portrait et tendances au Québec». Il s'agit en fait d'un relevé de différentes études sur la consommation d'alcool et de drogues, dont la plupart ont déjà été dévoilées.

Les chercheurs ont remarqué, en comparant un groupe de jeunes de 13 ans à un groupe de jeunes de 16 ans, que le groupe de 13 ans rapportait s'être initié plus tôt à la drogue.

En 2002, la drogue la plus consommée par les jeunes de 12 à 17 ans était le cannabis, et ce par 39 pour cent d'entre eux. Les hallucinogènes suivent, avec 12,5 pour cent. Les chercheurs disent cependant avoir constaté une stabilisation du pourcentage de consommation de cannabis chez les jeunes, récemment.

En 2002, quelque 41 pour cent des jeunes de 12 à 17 ans avaient consommé au moins une fois de la drogue au cours des 12 derniers mois.

Alcool

Pour ce qui est de la consommation d'alcool chez les Québécois en général, l'étude confirme que ceux-ci boivent dans de plus importantes proportions que les autres Canadiens, mais ils consomment de moins grandes quantités.

Ainsi, 82 pour cent des Québécois consomment de l'alcool, contre 78,7 pour cent des Ontariens et 72,6 pour cent des Néo-Brunswickois. La moyenne au Canada est de 78,3 pour cent.

Pourtant le Québec est la province qui compte le moins de buveurs excessifs - ce qui est défini comme une consommation de cinq verres ou plus en une même occasion. Ainsi, 40,9 pour cent des Québécois avaient consommé cinq verres et plus lors d'une même occasion, lors de l'enquête en 2000-2001, comparativement à 42,5 pour cent des Ontariens et 47 pour cent des Néo-Brunswickois.

Le Québec est aussi la province qui compte le moins de personnes susceptibles de devenir dépendantes de l'alcool.

Une statistique paraît étonnante, à prime abord, concernant la consommation d'alcool par les femmes enceintes du Québec. Ainsi, 24 pour cent des 1115 femmes enceintes interrogées dans le cadre de l'enquête ont rapporté avoir consommé de l'alcool durant leur grossesse. La proportion grimpe même à 35,5 pour cent dans la région de Québec, à 30 pour cent en Abitibi-Témiscamingue, dans le Bas St-Laurent et en Estrie.

Michel Germain, directeur général du Comité permanent de lutte à la toxicomanie, invite toutefois à la prudence, expliquant qu'il peut s'agir d'un seul verre de vin ou d'une demi bière dans toute la durée de la grossesse, puisque la question n'était pas spécifique et ne portait que sur toute consommation d'alcool en général.

(Canoe.com) ajouté le 20-11-2003 dans Drogue

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