Babylone: Origine de la fête
de l'épiphanie et des "rois" mages Adoration des mages Des mages venus d'Orient, conduits par
l'étoile à Bethléhem, demandent
à voir celui qui serait le roi des Juifs et apportent
de l'or pour honorer Jésus comme roi (symbole de
vertu) . L'encens correspondait à sa
divinité [résine blanche] et était
symbole de prière. La myrrhe [gomme aromatique], signe de
souffrance, indiquait que Jésus était aussi
homme et donc destiné à mourir. Il s'agirait d'astrologues venus
d'Iran, attirés par un phénomène
astronomique signifiant, pour eux, la naissance d'un
personnage illustre. Leur nombre n'est pas donné :
le chiffre 3 a été adopté vers 450 par
Origène et Léon le Grand. Le titre de rois leur a
été donné par influence d'un passage
des psaumes : " les rois de Tharsis offriront
l'encens. Une tradition remontant au VIIe
siècle les nomme Balthazar [déformation de
Belshatsar, Daniel], Melchior et Gaspard. Au XVe siècle, ont leur
attribue chacun une race différente : Melchior :
blanc, Balthazar : noir, Gaspard : Jaune (culte devenu
populaire en 1164, année où leurs reliques ont
été déposées à Cologne,
et où Jean de Hildesheim, prêtre Rhénan,
écrivit leur légende. Épiphanie (du grec " apparition " ou
manifestation). Fête d'origine orientale (vers 325),
fixée au 6-1 (en France le dimanche après le
1-1). L'Orient célèbre, le
6-1, à la fois la naissance de Jésus, son
baptême, miracle de Cana, les 3 premières
"manifestations du Christ " (épiphanies ou
théophanies) au monde. Le 6-1, qui se rattache aux
fêtes du solstice d'hiver, a pu être choisi pour
se substituer à la naissance du dieu Aïon
(parfois identifié avec Hélios, le soleil)
enfanté d'une vierge. En Occident, où l'on
célébrait la naissance de Jésus le
25-12, on fêta le 6-l la manifestation du Christ aux
nations païennes, symbolisée par la venue des
mages à Bethléem. La fête de la galette (ronde et
dorée), dont on fait attribuer les parts par un
enfant caché sous la table (le petit roi ou
l'Enfant-soleil), pourrait se rattacher au culte solaire
préchrétien (en Normandie, on s'adresse
à l'enfant caché sous la table en lui disant:
Phoebe Domine". Seigneur Phébus). (Quid.fr) ajouté le
7/1/2003
Un bon chrétien est-il
nécessairement écologiste? Pour aider à la
réduction de la pollution, on fait appel à des
groupes religieux, quels qu'ils soient. Cependant, les
critiques émettent des réserves quant à
l'alliance d'environnementalistes avec des gens de
foi. Les défenseurs de
l'environnement désirent l'aide d'organisations
religieuses pour persuader les Américains à
consommer moins d'énergie et ainsi réduire la
pollution. C'est un message d'auto-restriction. Les
opposants affirment déjà que cette alliance
peut être impie. Paul Gorman, du partenariat religieux
national pour l'environnement, déclare que les
croyants ont une directive à suivre: "Chacun a pour
mission de prendre soin de la création de Dieu et...
chacun doit trouver un moyen de la mener à bien en
démontrant sa foi, parfois de manière
individuelle, parfois ensemble." Cette année, une coalition de
30 groupes évangéliques a produit la
publicité: "Quel véhicule Jésus
conduirait-il ?", embrasant ainsi de nombreuses
conversations et controverses. "Si nous aimons notre voisin et
chérissons la création divine, peut-être
devrions-nous nous poser cette question: quel
véhicule Jésus conduirait-il ?", affichait la
message contre l'utilisation superflue de carburant des
voitures de sport. Chris Horner, du Competitive
Enterprise Institute, a qualifié cette
publicité de "scandaleuse" et a vigoureusement
critiqué le recrutement de personnes de foi par les
écologistes: "Les fondements de la philosophie des
Verts sont, je pense, indéniablement
païens." Horner soutient que les
environnementalistes veulent l'argent que l'administration
Bush octroie aux initiatives religieuses: "Il est temps pour
la Maison Blanche d'évaluer la situation et de fixer
des limites pour ne pas renflouer les caisses des Verts de
millions supplémentaires." Horner ajoute: "Même si
l'Académie Nationale des Sciences rapporte que les
véhicules légers utiliseraient moins
d'essence, ils sont à l'origine de presque 2400
sinistres supplémentaires par an." (Family News/ Topinfo) ajouté
le 27/1/2003
Une jeune anglaise foudroyée
sur son piercing à la langue reste muette durant 3
jours Becky Nyang a échappé de
justesse à la Grande Faucheuse. La jeune fille a
été frappée par la foudre, son piercing
lingual ayant servi de conducteur. Brièvement soumise
à une température de 15 000 °C, elle est
restée muette pendant trois jours. Le piercing est une mode
extrêmement répandue désormais, et on
trouve même des stands pour s'en faire poser dans les
grands magasins. Les parents peuvent maintenant brandir une
autre menace que celle des infections: avec tout ce
métal dans le corps, les "piercés" sont
potentiellement plus sensibles aux "coups de foudre"
! (Sunday Telegraph) ajouté le
12/7/2003
Sur Internet, Harry Potter se
dévergonde... - FictionAlley.org, Un site
exclusivement consacré aux aventures d'Harry Potter
et compagnie (en anglais) - FanFiction.net, Le doyen des sites
de fan fiction (en anglais) - Sugarquill.net, Quand la fan fiction
vise l'excellence littéraire (en anglais) (NDLR: Je vous épargne le 4e
lien, plus graveleux) Le succès planétaire du
plus célèbre des apprentis sorciers s'amplifie
sur la Toile. Des milliers d'inconditionnels se fendent de
leurs propres épisodes sur des sites
spécialisés de "fan fiction". Sexe, violence
ou drogue, Harry Potter a vraiment tout
essayé. Vous avez peut-être lu les cinq
tomes de J. K. Rowling, mais vous n'êtes
sûrement pas au bout des aventures d'Harry Potter. Sur
Internet, le jeune apprenti sorcier fait des tours
inédits, inspirés par des écrivains en
ligne amateurs du héros des ventes en librairie.
Cette littérature abondante réserve quelques
surprises : imaginez Harry Potter, les fesses à
l'air, en train de se faire fouetter par le Pr Severus
Snape, sadique et pédophile ! Pas de doute, "vous
êtes entré dans le monde de la 'fan fiction'",
prévient "The Boston Globe". "Autant d'histoires sur
Harry, Ron et Hermione &emdash; ou n'importe quel autre
personnage cité dans les livres &emdash;, qui se
retrouvent dans des situations le plus souvent romantiques,
parfois homosexuelles et occasionnellement pornographiques."
Selon "The Washington Post", "certains auteurs rompent
délibérément avec l'univers original de
J. K. Rowling en décrivant des personnages qui se
droguent, deviennent des tueurs ou s'illustrent dans des
scènes de sexe". En fait "le phénomène de
la fan fiction n'a pas débuté avec Harry
Potter, ni avec Internet", mais la combinaison des deux n'en
est pas moins remarquable. Il y a littéralement des
milliers de sites web dédiés aux histoires
fictives d'Harry Potter. "L'un des plus populaires,
<www.fictionalley.org>, accueille plus de 15 000
histoires courtes ou chapitres, comprend 24 500 utilisateurs
inscrits et reçoit en moyenne plus de 100 nouveaux
textes chaque jour." Il y a aussi
<www.fanfiction.net>, riche de 75 000 histoires et qui
jouit aux Etats-Unis d'une des plus fortes durées
moyennes de connexion en continu. Les auteurs rivalisent d'imagination,
et certains se sont spécialisés dans les
versions salaces. Tel est le cas de "Mira". Discrète
sur sa véritable identité, "'Mira'
écrit des histoires très explicites avec des
descriptions de scènes de sexe anal ou oral"
où Harry est un héros sans tabou. Mais ce
genre d'histoires scabreuses n'est pas forcément
qualifié de pornographique, note "The Boston Globe".
Il existe un terme dans le jargon de l'Internet pour
qualifier un contenu qui traite de relations homosexuelles :
"slash". Liza, doctorante en lettres dans l'une des plus
prestigieuses universités américaines, est
également prolixe en histoires "slash" qui mettent en
scène l'homosexualité d'Harry Potter. Et le
quotidien de Boston de s'interroger : "Pourquoi les femmes
écrivent-elles des histoires fantaisistes sur des
hommes couchant avec des hommes ?" Une façon de
prendre ses distances, un acte féministe ou bien
lié au fait qu'il n'y a pas de personnages
féminins significatifs, tente d'expliquer un
professeur du MIT. Reste que la fièvre de la fan
fiction soulève l'épineuse question des droits
d'auteur. Ces écrivains en ligne "affirment que leurs
Ïuvres représentent l'émergence d'une forme
d'art qui tire avantage des perspectives offertes par
Internet". D'autres auteurs mettent en avant leur
créativité afin d'"explorer des thèmes
plus mûrs". Un argumentaire que réfutent les
maisons d'édition de livres, de disques ou de films,
qui considèrent que "les Ïuvres de fan fiction
relèvent plus du plagiat que de l'art et demandent
aux opérateurs des sites web de les retirer", note
"The Washington Post". En fait, la législation est
assez lâche sur ce sujet. "Les lois sur le copyright
protègent les Ïuvres dérivées, mais ne
disent pas clairement si l'utilisation de noms, de
personnages ou d'histoires entre dans cette
catégorie. D'un autre côté, la loi
protège également l'utilisation loyale par le
public d'Ïuvres signées pour en faire un compte rendu
ou une critique dans la presse." En réalité, les choses
sont moins contradictoires qu'il n'y paraît. Et
l'auteur, par la voix de ses agents, "se dit flattée
par le phénomène authentique de fan fiction",
rapporte le "Post", mais "s'inquiète de contenus
pornographiques clairement contre-indiqués pour les
enfants". PhR (Courrier International) ajouté
le 5/7/2003
Une agence de l'ONU admet enfin que
le préservatif n'est pas suffisant pour
protéger du SIDA ! NDLR: Quel constructeur automobile,
après avoir finalisé son nouveau
modèle, aurait l'autorisation de le mettre en
circulation si celui-ci était défectueux dans
"seulement" 10% des cas ? Même à 0.1%, celui-ci
retournerait dans les ateliers ! On a manipulé
l'opinion publique et le fléau s'est répandu.
Etait-ce à dessein ? USA : Enfin même l'ONU,
après avoir ravagé le monde par une action
concertée de promotion et de distribution de
préservatifs "pour protéger contre le Sida",
semble commencer à admettre l'évidence
même. L'agence UNAIDS de l'ONU,
officiellement chargée de la lutte mondiale contre le
Sida, ayant à sa disposition des moyens financiers
énormes, vient de publier une étude
déclarant que "le préservatif ne
protège pas du Sida en 10 % des cas". C'est un début, même si
d'autres études ont prouvé
l'inefficacité de ce morceau de caoutchouc dans 50%
des cas, sans parler de son inefficacité effrayante
contre les autres maladies sexuelles. Ainsi sont balayés 20 ans de
fausse littérature, berçant les jeunes du
monde dans la conviction d'avoir, avec le
préservatif, une protection absolue contre le Sida.
M.Edward Green de l'université
Harvard, département Santé Publique, commente
: "Un taux d'échec de protection de 90 % n'est pas
suffisant pour une maladie fatale". Et encore : "La manière comment
les préservatifs sont distribués en Afrique et
d'autres pays sous-développés est comme s'ils
protégeaient à 100 %. Les Condoms ont des noms comme Shield
(bouclier) ou Protector, donnant l'impression d'une
sécurité à 100 %." M. Vinanc M.Nantulya, un conseiller au
président d'Ouganda, avertit : "Quand nous disons aux
jeunes "Si vous utilisez des préservatifs, vous
êtes protégés", nous sommes en fait en
train de propager l'épidémie." Il faut se rappeler que l'Ouganda a
appliqué une politique anti-Sida très
différente. On a insisté sur l'abstinence
sexuelle d'abord, et la fidélité ensuite.
L'Ouganda est le seul pays africain
où la marée du Sida a pu être
renversée : il a refusé les tonnes de
préservatifs que l'USAIDS a livrées
gratuitement aux autres pays africains. (UNEC) ajouté le
1/7/2003
Les soins d'accompagnements aux
mourants: que nous enseigne la Bible ? Soins d'accompagnements, soins
palliatifs On insiste beaucoup aujourd'hui pour
développer les « soins d'accompagnements »
aux mourants, pour rendre plus facile le passage des
derniers moments. Dans notre monde sans Dieu, on ne
considère bien entendu, que les derniers moments sur
cette terre ; les moments qui suivent, le passage dans
l'éternité, sont totalement laissés aux
oubliettes. Or l'enjeu est grave puisque Luc 16, avec bien
d'autres passages de la Bible, nous dit qu'après la
mort, on passe ou bien vers un lieu de délices, ou
bien vers un lieu de tourment, éternellement.
Comment peut-on ignorer un pareil
enjeu ? C'est que la douceur recherchée pour les
derniers moments du mourant, n'est point réellement
pour le mourant, mais pour l'entourage. Une fin de vie
angoissée donne mauvaise conscience à
l'entourage : non seulement ce n'est « pas beau »,
mais ça montre la vanité et l'inanité
de toute l'atmosphère morale de notre monde et des
idées qui y courent, ses idéologies, ses modes
psychologiques, et ses religions officielles &emdash; le
monde ne veut pas perdre la face. La Bible donne un exemple significatif
de « soins d'accompagnements ». Le roi Saül
était venu consulter une femme qui évoquait
les esprits, ou nécromancienne, en
désobéissance formelle et directe à la
Parole de Dieu qui dit que c'est une abomination. Saül
apprend qu'il va mourir le lendemain (1 Sam. 28), et il en
est bouleversé au point de tomber par terre, sans
plus aucune force pour rien faire. La nécromancienne
a vu la scène, mais est bien sûr incapable
d'apporter aucune aide spirituelle, ni consolation divine,
ni préparation au passage prochain dans
l'au-delà : l'urgent aurait été de
confesser ses péchés, et de faire appel
à la grâce de Dieu pour être
pardonné (Ps. 51 et 32). Tout ce que fait cette
femme, c'est de préparer un festin pour Saül ;
elle « tue le veau gras », et l'accompagne de
pains sans levain. Qu'est-ce que cela montre ? a) le veau gras, c'était un
festin royal. Or quel en était l'impact objectivement
? Distraire Saül, lui faire oublier qu'il allait
mourir, qu'il allait passer dans l'au-delà, sans
s'être mis en règle avec Dieu quant à
ses péchés ; ses derniers heures
étaient neutralisées pour ne pas mettre sa vie
en ordre ! b) les « pains sans levain
», dans la Bible, accompagnaient les sacrifices divins,
et l'absence de levain était un type de l'absence de
tout mal, un type de la pureté nécessaire pour
se présenter devant Dieu. Cela donnait à
Saül l'illusion d'être « accompagné
des secours de la religion » ; or quelle moquerie que
ces pains, au moment où, consultant une
nécromancienne, il commettait une abomination devant
l'Éternel ! Ces « pains sans levain »
entretenaient l'illusion chez Saül, et n'étaient
qu'un camouflage de la grossièreté de ses
péchés et de sa désobéissance
à Dieu. Quel triste accompagnement de fin de vie
! Le lendemain Saül mourut dans le
péché et dans le désespoir. Les vrais soins d'accompagnements sont
ceux qui aident à trouver Dieu. Pour quelqu'un qui
n'est pas en règle avec Dieu quant à ses
péchés, ils devraient l'amener à
trouver Jésus comme Sauveur. Pour quelqu'un qui a
déjà saisi le salut en Jésus Christ, et
a trouvé ce qui ôte vraiment les
péchés, ces soins d'accompagnements devraient
l'amener à jouir de la communion de ce même
Sauveur, qui seul donne la paix et la joie. &emdash; Mais
distraire et nourrir d'illusions, c'est le pire qu'on puisse
faire dans de tels moments. De tels bons soins d'accompagnements,
les seuls valables, sont interdits dans les services
publics, ce qui souligne combien l'homme est
éloigné de Dieu. Tout est arrangé pour
que le mourant oublie l'au-delà, oublie où il
va ; cela lui ôte l'occasion de se mettre en
règle avec Dieu quant à ses
péchés, la dernière chance de chercher
et trouver le salut. Quelle tristesse ! mais quelle sinistre
prétention de soutenir que cela contribue à
l'amélioration des conditions de vie ! Que chacun réfléchisse
dès maintenant, avant qu'il ne soit trop tard. «
Souviens-toi de ton Créateur dans les jours de ta
jeunesse avant que viennent les jours mauvais » (Eccl.
12). Recherchons la paix du cÏur, la paix de Dieu qui peut
seule remplir les cÏurs &emdash; recherchons-la dès
maintenant, pas seulement en face du terrible et dernier
passage. Jésus dit : « Je suis le
chemin, la vérité et la vie » (Jean
14:6). (bibliquest) ajouté le
13-12-2003 dans Bioéthique
Les jeunes s'initient de plus en
plus tôt à la drogue Les jeunes s'initient de plus en plus
tôt à la drogue, soit entre 12 et 13 ans.
L'usage du cannabis a d'ailleurs
doublé au Québec depuis 10 ans, passant de 6,5
pour cent de l'ensemble de la population en 1989 à
13,5 pour cent en 1998. Ces statistiques ressortent d'un
rapport dévoilé mercredi par le Comité
permanent de lutte à la toxicomanie, intitulé
«La consommation de psychotropes, portrait et tendances
au Québec». Il s'agit en fait d'un relevé
de différentes études sur la consommation
d'alcool et de drogues, dont la plupart ont
déjà été
dévoilées. Les chercheurs ont remarqué, en
comparant un groupe de jeunes de 13 ans à un groupe
de jeunes de 16 ans, que le groupe de 13 ans rapportait
s'être initié plus tôt à la
drogue. En 2002, la drogue la plus
consommée par les jeunes de 12 à 17 ans
était le cannabis, et ce par 39 pour cent d'entre
eux. Les hallucinogènes suivent, avec 12,5 pour cent.
Les chercheurs disent cependant avoir constaté une
stabilisation du pourcentage de consommation de cannabis
chez les jeunes, récemment. En 2002, quelque 41 pour cent des
jeunes de 12 à 17 ans avaient consommé au
moins une fois de la drogue au cours des 12 derniers mois.
Alcool Pour ce qui est de la consommation
d'alcool chez les Québécois en
général, l'étude confirme que ceux-ci
boivent dans de plus importantes proportions que les autres
Canadiens, mais ils consomment de moins grandes
quantités. Ainsi, 82 pour cent des
Québécois consomment de l'alcool, contre 78,7
pour cent des Ontariens et 72,6 pour cent des
Néo-Brunswickois. La moyenne au Canada est de 78,3
pour cent. Pourtant le Québec est la
province qui compte le moins de buveurs excessifs - ce qui
est défini comme une consommation de cinq verres ou
plus en une même occasion. Ainsi, 40,9 pour cent des
Québécois avaient consommé cinq verres
et plus lors d'une même occasion, lors de
l'enquête en 2000-2001, comparativement à 42,5
pour cent des Ontariens et 47 pour cent des
Néo-Brunswickois. Le Québec est aussi la province
qui compte le moins de personnes susceptibles de devenir
dépendantes de l'alcool. Une statistique paraît
étonnante, à prime abord, concernant la
consommation d'alcool par les femmes enceintes du
Québec. Ainsi, 24 pour cent des 1115 femmes enceintes
interrogées dans le cadre de l'enquête ont
rapporté avoir consommé de l'alcool durant
leur grossesse. La proportion grimpe même à
35,5 pour cent dans la région de Québec,
à 30 pour cent en Abitibi-Témiscamingue, dans
le Bas St-Laurent et en Estrie. Michel Germain, directeur
général du Comité permanent de lutte
à la toxicomanie, invite toutefois à la
prudence, expliquant qu'il peut s'agir d'un seul verre de
vin ou d'une demi bière dans toute la durée de
la grossesse, puisque la question n'était pas
spécifique et ne portait que sur toute consommation
d'alcool en général. (Canoe.com) ajouté le
20-11-2003 dans Drogue
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