Glanures

 

Matière à réflexion

Dieu nous accepte tels que nous sommes, mais il ne nous laisse pas ainsi. Il nous transforme.

Celui qui refuse de reconnaître ses torts en ajoute encore et empêche toute réconciliation.

Calomnies et mensonges sont les armes de celui qui se sait coupable, mais qui ne veut pas le reconnaître.

Beaucoup se privent de maintes bénédictions, parce qu'ils ne supportent pas la vérité.

Beaucoup de méfiance et de haine disparaîtraient si l'ouverture à la vérité se faisait.

Sans la vérité toute communion périclite.

Quiconque discerne la main de Dieu dans l'affliction, voit cette affliction se transformer en bénédiction et il en rendra grâce.

Sans la vérité il ne saurait y avoir de paix.

Là où se trouve la vérité le mensonge doit fuir. S'il est maintenu, il y aura d'ardus conflits.

Celui qui ne se laisse pas vaincre par la vérité, sera vaincu par l'erreur.

Le diable n'a que l'avant-dernier mot. C'est Dieu qui aura toujours le dernier.

La conscience est une sirène qui signale le danger.

Ce n'est pas la science, mais la conscience qui manque à beaucoup de personnes.

Dieu nous a donné la conscience comme une sorte de «chien de garde de notre vie intérieure».

La nourriture de la foi, c'est la Parole de Dieu.

Celui qui crie à Dieu du fond de l'abîme chantera bientôt sur les hauteurs.

Le monde dans le coeur est plus dangereux que le monde qui nous entoure.

Il y a deux choses qu'il faut désapprendre, parce qu'elles troublent notre vie: - les désirs passionnés - les craintes obsessionnelles.

Dans les choses de Dieu, la vérité doit l'emporter sur la majorité.

La foi vient de l'écoute de la Parole de Dieu. Celui qui ne l'écoute pas ressemble à un sourd assistant à un concert.

Agis comme si c'était aujourd'hui ton dernier jour.

 

La Bonne Nouvelle No 2 / 2001

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