Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Israël

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L'HISTOIRE SE RÉPÈTE-T-ELLE?


Escalade mondiale de l'antisémitisme


Dans la foulée de plusieurs semaines de violence en Israël et dans les territoires palestiniens, des actes antisémites se sont produits un peu partout dans le monde. Des experts parlent des attaques les plus dures contre des institutions juives depuis les pogroms du national-socialisme pendant la fameuse «nuit de cristal». La Jerusalem Post Radio cite le porte-parole du Centre Simon Wiesenthal: «C'est la guerre contre les Juifs.» Et d'exhorter le président US Bill Clinton à s'en prendre avec détermination à l'escalade de la violence à l'égard des juifs. En beaucoup d'endroits, des extrémistes ne font pas la distinction entre l'État israélien et les communautés juives. On a connaissance, depuis le 1er octobre, de 200 attaques contre des institutions juives, dont notamment celle tue par les médias, visant la synagogue de Damas. La moitié environ de toutes les agressions se sont produites en France. Des experts de la sécurité attribuent ce fait au grand nombre d'immigrés arabes. En voici quelques cas: 

– À Tachkent, la capitale de l'Ouzbékistan, des musulmans ont brûlé un rouleau de la Thora le jour du Yom Kippour.

– Aux USA, il y a eu également des attaques contre des institutions juives. Ainsi, dans le quartier de New York du nom de Riverdale, on a lancé des bombes incendiaires sur la «Adath Israel Synagogue». À Brooklyn, des antisémites ont profané une synagogue par une croix gammée. Le jour du Rosh Hashanah, un Juif orthodoxe a été frappé de coups de couteau. À Harrisburg, dans l'État US de Pennsylvanie, une école juive a été la cible de vandales. La principale synagogue de la ville a été attaquée la nuit du Yom Kippour.

– En Allemagne, pour le seul mois d'août, 1.112 délits ont été commis sur fond radical de droite, de xénophobie et d'antisémitisme – environ le double de la moyenne mensuelle. C'est ainsi qu'à Düsseldorf, lors d'une manifestation, une synagogue a été la cible d'une attaque. À Essen également, des Arabes ont essayé d'endommager une synagogue.

– En France, ces dernières semaines, plusieurs centaines d'attentats ont été commis contre des établissements juifs. Des explosifs ont été lancés contre des synagogues et autres entreprises; une synagogue à l'ouest de Paris a été presque entièrement détruite. Plus de quatre millions de musulmans vivent dans le pays, et environ 750.000 juifs.

– En Grande-Bretagne aussi, les attaques contre des institutions juives se multiplient, et la distribution de littérature antisémite est en augmentation. Un juif orthodoxe a été victime d'un attentat à Londres. Il a été poignardé dans un bus par un Algérien et a reçu plus de vingt coups de couteau sur tout le corps. Mais actuellement, ses jours ne sont plus en danger. Un couple israélien a interrompu ses vacances à Londres par crainte d'autres attaques antisémites. – En Indonésie, un rassemblement international a été interrompu par des manifestants réclamant en choeur du sang juif. Un drapeau juif avait été trempé dans du sang. La population de ce pays compte le plus fort pourcentage islamique du monde.

– Mais aussi de l'Australie et de l'Afrique du sud nous parviennent des informations relatives à des actes antisémites.


Commentaire:

La haine à l'endroit des Juifs, à travers le monde, a atteint des proportions rarement vues. Celui qui, aujourd'hui, ne réalise pas que la Bible a raison – tout y est prédit – et qu'il est très tard à l'horloge du monde, est aveugle. Zacharie 12 et 14 ainsi que d'autres passages bibliques deviennent de plus en plus brûlants d'actualité! Nous vivons à une époque où tout s'aggrave comme jamais auparavant. Le retour du Seigneur Jésus approche à pas de géant. Voyez aussi, sur le même thème, l'article suivant. CM 

©  Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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METTRE FIN AU SIONISME


SADDAM HUSSEIN PREND LA PAROLE

Le dictateur irakien, Saddam Hussein, a prononcé de dures critiques à l'endroit des dirigeants du monde arabe et menacé Israël de destruction. Devant des professeurs d'université à Bagdad, il a, selon un communiqué du journal israélien Haaretz, critiqué l'«inertie» du monde arabe concernant la révolte en Israël. Selon lui, cette nation pratique un «massacre» sur la population arabe.

L'Irak veut maintenant «mettre fin au sionisme».

«Si les dirigeants arabes ne le peuvent pas, ils doivent nous donner un coin de terre à proximité d'Israël. Ils pourront voir alors comment nous mettons fin au sionisme», dixit Hussein. Un des politiciens les plus influents de l'Irak dispose même d'un terrain en Israël. Taraek Aziz, un chrétien, doit, selon des informations, posséder une terre non loin de la ville arabe de Kafr Kana. Il a aussi de la famille là-bas.

Commentaire:

Depuis l'Irak, c'est-à-dire l'Euphrate, une terrible guerre éclatera dans le monde entier (voir Apoc. 9, 13 et suiv.); un tiers de l'humanité périra. Quand nous entendons les discours particulièrement menaçants de Saddam Hussein, c'est comme si nous percevions le cliquetis des chaînes retenant encore les anges qui, une fois libérés, frapperont la terre entière d'affreux malheurs. Mais Dieu veillera sur les Siens ainsi que sur Son peuple Israël! CM 

 © Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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PROPOS TENUS PAR LE GRAND MUFTI DE JÉRUSALEM.


Nous n'avons encore pas sacrifié suffisamment pour être digne de libérer Al-Aqsa. Pour libérer Jérusalem, Salah-Al-Din a fait de grands sacrifices, pendant un long temps, et nous devons sacrifier jusqu'à ce que la victoire d'Allah soit complète. Notre campagne est définitivement religieuse et émane de la foi, bien que nous essayons d'éviter ce slogan. L'actuelle Intifada du monde arabe et musulman est une explosion religieuse parce qu'elle est reliée à la mosquée El-Aqsa. La terre de Palestine n'est pas seulement Jérusalem. Cette terre s'étend du Jourdain à la Méditerranée. 

Naturellement, le problème palestinien est relié à toute cette terre. Nous ne pouvons pas établir une patrie en ne libérant que Jérusalem. Il est vrai que Salah-Al-Din n'a eu de cesse que lorsque Jérusalem a été libérée mais ceci ne suggère pas que le reste de cette terre sainte doit être négligé ou abandonné.

Question: Que ressentez-vous quand vous priez pour l'âme des martyrs? 

Réponse: Je ressens que le martyr a de la chance car les anges le font monter à son mariage dans les cieux. Question: Est-ce différent quand le martyr est un enfant? Réponse: Oui. C'est difficile de l'exprimer par des mots. Il n'y a pas de doute que le martyr d'un enfant indique que la nouvelle génération remplira sa mission avec détermination. Plus jeune est le martyr, plus grand il est et plus je le respecte. Le martyr écrit son nom sur un papier avant de mourir «martyr untel...». Et dans la poche de chaque martyr nous trouvons la note avec son nom. Il se condamne lui-même au martyr préalablement à son acte. 

Question: Est-ce pour cela que les mères crient de joie lorsqu'elles apprennent la mort de leur fils?

Réponse: Elles sacrifient volontairement leur enfants pour la liberté. C'est une grande démonstration du pouvoir de la foi. La mère participe à la grande récompense du Jihad pour libérer El-Aqsa. J'ai parlé à un jeune qui disait: je veux épouser la belle femme aux yeux noirs du paradis. Le lendemain il mourut en martyr. Je suis sûr que sa mère était remplie de joie par son mariage céleste. 

Question: Que ressentez-vous à propos des juifs? 

Réponse: J'entre à la mosquée EL-Aqsa la tête haute et au même moment je suis rempli de rage envers les juifs. Je n'ai jamais salué un juif. Je ne le ferai jamais. Ils ne peuvent même pas rêver que je le fasse. Les juifs n'osent pas m'emm.... car ce sont les créatures les plus lâches qu'Allah ait jamais créé. 

Extraits des propos du Grand Mufti de Jérusalem et de la Palestine, Sheik Ikrima Sabri, nommé à cette fonction par ARAFAT

(hebdomadaire égyptien Al-Ahram Al-Arabi) ajouté le 27/11/2000

© Voxdei


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UNE JÉRUSALEM ARABE ET UNE ISRAÉLIENNE?


Peu de temps avant le début des agitations, le Premier ministre Ehud Barak s'est déclaré d'accord pour tolérer qu'une partie de Jérusalem soit déclarée capitale de l'État palestinien. C'est ce que le quotidien Jérusalem Post a publié. C'est la première fois dans l'histoire de l'État d'Israël qu'un chef de gouvernement adopte une telle position. Barak avait toujours déclaré que Jérusalem resterait à jamais la capitale indivisible d'Israël. Le journal a cité ces mots de Barak: «il y aura Jérusalem et El Kuds, l'une à côté de l'autre, comme deux capitales.»El Kuds (AI-Quds) est le nom arabe de Jérusalem-Est.

Selon le Jérusalem Post, Barak a laissé ouverte la question de savoir si, par El Kuds, il fallait entendre toute la partie arabe de Jérusalem-Est. Les Palestiniens la revendiquent depuis longtemps comme capitale de leur futur État, mais les gouvernements israéliens avaient jusqu'ici rejeté cette idée. Le sommet pour la paix au Proche-Orient en juillet dernier, aux USA, avait échoué sur cette question de la capitale. Barak a insisté sur ce point auprès du Jérusalem Post, à savoir qu'aucun Premier ministre israélien ne signerait un accord qui accorderait aux Palestiniens ou à un groupe islamique la souveraineté sur le mont du Temple situé dans la vieille ville.

Commentaire:

Barak est allé plus loin que ses prédécesseurs: il a offert aux Palestiniens ce qu'aucun Premier ministre avait admis avant lui. Quelle fut la réaction de l'autre côté? Encore et toujours de nouvelles exigences. La paix avec les Palestiniens n'est pas possible! Pour ces derniers, il n'y aura de paix que quand tous les Juifs auront été jetés à la mer. CM 

© Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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LA HAINE D'ARAFAT À L'ÉGARD DE BARAK


UN ABÎME DE MÉFIANCE

Pour Yasser Arafat, une chose est claire depuis des mois: le Premier ministre Ehud Barak qui ambitionnait de mettre fin au conflit au Proche-Orient une fois pour toutes «est pire que son prédécesseur, (Benjamin Netanyahou)». Le chef palestinien ne fait pas un mystère de son aversion pour l'ancien général. Toujours tout à nouveau, il affirme ne pas faire confiance à son vis-à-vis.

Par ses exigences maximales sans cesse réitérées (le retrait israélien de tous les territoires occupés, la souveraineté palestinienne sur tout Jérusalem-Est, le droit au retour des réfugiés palestiniens en Israël), Arafat s'est mis dans une situation où il n'y a pas de place pour des compromis. Qu'il ait encore le contrôle de ses policiers armés, des milices du Fatah et d'autres groupes armés, seuls quelques-uns de ses proches le savent peut-être. Arafat a réaffirmé sa position à l'égard de Barak après le sommet arabe du Caire. Lorsque Barak repoussa la déclaration finale dudit sommet et qu'il réagit en prononçant une pause dans le processus de paix, la réponse d'Arafat faite à Gaza en anglais sans citer directement son vis-à-vis fut selon Jerusalem Post: «Notre peuple continue sa marche sur Jérusalem, la capitale de notre État palestinien indépendant. Qu'il (Barak) le veuille ou non; qu'il aille au diable!»

Commentaire:

Imaginons ce qui arriverait, si Barak proférait des propos semblables à l'égard d'Arafat: le monde entier pousserait des cris de protestation et se demanderait quelle mouche a piqué le Premier ministre pour prononcer de telles paroles! Mais comme ces mots viennent du chef de l'OLP, Yasser Arafat, on n'y fait pas trop allusion. Pratiquement toute la presse du monde entier se met à mentir et prend parti contre Israël, Il est donc de toute importance que les véritables chrétiens se tiennent derrière Israël. Une mission essentielle de ce journal est de répandre la vérité concernant Israël et d'interpeller le plus grand nombre possible de personnes! CM 

© Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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LE SABBAT NOIR

Israël sous la violence

Au début d'octobre, tout Israël a vécu un «sabbat noir». Quand il est apparu que les Palestiniens voulaient tout miser sur la «carte des combats», le Premier ministre Ehud Barak, le soldat le plus décoré de l'État d'Israël, a eu des consultations plus intensives encore avec l'armée. La décision fut prise d'évacuer temporairement le tombeau de Joseph près de Naplouse. Déjà lors de troubles précédents, ce lieu était devenu un véritable piège; et au cours de la première semaine d'octobre, un soldat israélien y mourut exsangue du fait qu'aucun secours ne put lui être porté. En outre, quelques Palestiniens, pour qui cette enclave juive est comme une écharde dans la chair, y ont laissé leur vie. En accord avec les Palestiniens, Israël décida l'évacuation provisoire de cet endroit. À peine les soldats israéliens s'étaient-ils retirés que les Palestiniens, parmi lesquels des politiciens, détruisirent le tombeau et la synagogue. Celui qui pensait que c'était là la plus grave information de la journée, se trompait royalement.

Peu de temps après, on apprit que trois soldats israéliens, parmi lesquels un Bédouin, avaient été enlevés par le Hezbollah à la frontière internationale avec le Liban. Des feux de joie furent allumés dans ce pays; la Syrie marqua son approbation en gardant le silence; et il semblait en Israël que la guerre avait éclaté sur tous les fronts. Tandis que l'État hébreu analysait la situation, des efforts désespérés furent entrepris au plan diplomatique. Les circonstances de l'enlèvement sont restées obscures jusqu'à ce jour.

Comme toujours dans de tels cas, les suppositions les plus diverses circulent. jusqu'à présent, on a toujours pu se fier aux déclarations d'un homme: le chef du Hezbollah, le cheik Nasrallah. Il ne put répondre à la question d'un journaliste qui voulait savoir si les trois soldats israéliens enlevés étaient encore en vie.

Une semaine passa, et voici que l'on vit de nouveau devant les caméras cet homme qui annonça qu'un autre Israélien était en son pouvoir. Perplexité en Israël: aucun soldat ne manquait à la frontière, ni aucun réserviste. Vint alors cette confirmation: Un Israélien – que les porte-parole du gouvernement présentèrent comme un homme d'affaires, alors que le Hezbollah parlait d'un «colonel au service du Mossad» – est déclaré manquant par sa famille. Ici aussi, seuls des bruits circulent sur les circonstances exactes de l'enlèvement. L'homme dut être arrêté à Beyrouth. Ce qu'il faisait là et pour quelle raison il s'y trouvait, on ne le sait. Il n'y a que ceci de certain: l'Iran est directement impliqué dans l'affaire sous une forme ou sous une autre. 

© Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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ISRAËL SOUS PRESSION:

Déclarations nettes

Marwan Barguti, le chef de l'organisation de la jeunesse du Fatah d'Arafat, a annoncé entre-temps la poursuite de la «nouvelle Intifada» contre les Israéliens. Les armes ne seraient utilisées «que pour de l'autodéfense». Il salua la pause dans le processus de paix proclamée par le Premier ministre Ehud Barak. Cela donnerait ainsi aux Israéliens «l'occasion de réfléchir sérieusement à la Paix».

Le cheik Nasrallah, le chef du Hezbollah libanais, a pris de nouveau la parole. Selon le journal israélien Jérusalem Post, il a déclaré que son organisation voulait aider les Palestiniens à reconquérir leur pays. D'après lui, il ne peut y avoir de paix avant le retour des Juifs dans les pays d'où ils sont venus, ce qui rendrait possible la rentrée des réfugiés palestiniens dans leur ancienne Patrie.

Au cours d'une session spéciale à New York, l'assemblée plénière des Nations unies a condamné, par 92 voix contre six, «l'usage excessif de la violence» Par l'année israélienne vis-à-vis des civils palestiniens. Israël et les USA ont, comme il fallait s'y attendre, voté contre. Six États membres de VUE, parmi lesquels l'Allemagne et la Grande-Bretagne, se sont abstenus. 

© Nouvelles d'Israël Novembre 2000


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GUERRE POUR LE MONT DU TEMPLE

JÉRUSALEM. POINT NÉVRALGIQUE

La lutte pour la souveraineté sur le Mont du Temple, qui, ces derniers mois, a fait l'objet d'âpres négociations, a connu une escalade à la fin de l'année du calendrier juif sous forme de violents affrontements. Le détonateur en a été la visite sur ledit mont d'Ariel Sharon, le chef du Likoud. Le politicien s'y est rendu avec une délégation de députés de son parti afin d'affirmer la souveraineté israélienne sur ce lieu. L'atmosphère s'est rapidement teintée de forte agressivité. Quelques députés arabes s'étaient joints aux musulmans réunis pour prier. On en vint à de durs échanges d'arguments entre les membres arabes et juifs du parlement. L'un d'eux, un juif, déclara n'être venu là que pour se trouver sur l'emplacement de son ancien temple. Et les parlementaires arabes de l'interrompre immédiatement: «Il n'y a pas de temple ici, mais il y a une mosquée. Disparaissez!»

Le lendemain, aussitôt la prière du vendredi terminée, le Mont du Temple connut une escalade dans la violence, manifestement attisée par les autorités de l'Autonomie palestinienne (AP). Les harangues chauffèrent à blanc l'ambiance chez les Palestiniens. La situation devint explosive, et les forces de sécurité israéliennes furent finalement amenées à ouvrir le feu. Selon des sources israéliennes, ces durs affrontements sur le Mont du Temple et dans ses environs immédiats coûtèrent la vie à au moins sept Palestiniens et en blessèrent des centaines. Il y eut aussi des blessés parmi les forces de sécurité juives.

Dans la bande de Gaza, en Judée et en Samarie, des unités de l'armée israélienne furent attaquées. Dans les rangs des agresseurs, il y avait également des forces de sécurité de l'AP, qui n'hésitèrent pas à tirer sur les soldats israéliens. Ceux-ci durent parfois repousser la foule déchaînée par des tirs ciblés. Ces affrontements firent beaucoup de victimes chez les Palestiniens, même des enfants qui devaient peut-être servir de bouclier humain. Le deuxième jour du nouvel An juif ne connut pas d'accalmie. Tous les efforts de médiation, également ceux consentis par le Président Clinton, échouèrent. Les débordements gagnèrent même la population arabe d'Israël, tout particulièrement en Galilée. Les Arabes vivant là, tous des citoyens israéliens, furent excités par le parti arabo-musulman pour la «Défense du Mont du Temple contre les Juifs». De nombreuses routes de la région furent bloquées, des forêts incendiées et, en beaucoup d'endroits, des autos juives furent la cible d'agressions. Ces actes de violence eurent lieu lors de la fête du nouvel An juif Rosh Hashanah, jour où de nombreuses personnes se rassemblent dans des synagogues pour la prière et le recueillement en guise de préparation au Yom Kippour, le Grand jour des pardons. Sans aucun doute, cette fête du nouvel An et le début de l'année juive 5761 constitueront un tournant, car 52 ans après la fondation de l'État, voici que ces jours de fête des Israéliens sont marqués par la lutte pour leurs droits dans le pays de leurs pères.

Commentaire:

Ce fut une grave faute de la part des Israéliens de laisser l'administration du Mont du Temple aux musulmans après la guerre des Six Jours, faute qui a finalement conduit à cette escalade dans la violence. Des parallèles peuvent s'établir dans notre vie. Si nous abandonnons sans lutter des domaines précis à l'Ennemi et si, nous réveillant soudain, nous voulons les récupérer, nous serons confrontés aux plus graves difficultés, l'Adversaire n'acceptant pas la chose sans réagir. Nous devons considérer ce tout nouveau développement d'un point de vue spirituel prophétique. Nous ne devons nullement prononcer des jugements hâtifs sur le comportement de Sharon et d'Israël. En tant que chrétiens, nous devons soutenir cette nation dans son combat. Le Seigneur Lui-même interviendra finalement en faveur de Son peuple de l'alliance. CM 

© Nouvelles d'Israël Octobre 2000


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ISRAËL SUR LE CHEMIN DE LA GUERRE?

Patrouille israélienne attaquée

Lors d'une attaque menée le 18 novembre dernier contre le poste de garde d'une plantation de la colonie juive Kfar Darom dans la bande de Gaza, un soldat israélien a été tué et un échange de coups de feu en a grièvement blessé deux autres. L'agresseur arabe a été abattu. Les soldats étaient en patrouille lorsque cet homme de trente ans s'approcha des militaires à travers les serres et ouvrit le feu. Selon des informations du Jerusalem Post, il s'agissait d'un officier du «service de sécurité» palestinien. Mais entre-temps, des cercles du Fatah du chef de l'OLP, Yasser Arafat, ont revendiqué la responsabilité de l'agression. D'après une information de Israël Radio (Kol Israël), l'Autonomie palestinienne (AP) a promu, à titre posthume, le terroriste de deux grades. Sur la une d'un journal officiel de l'AP, il est écrit que cet homme doit être loué pour son courage. Cette attaque terroriste s'est produite moins de 24 heures après qu'Arafat eut lancé un appel à s'abstenir de tout acte de violence dans les territoires de l'AP.

Coups de feu sur un diplomate à Amman Le 19 novembre, un dimanche matin, le vice-consul de l'ambassade israélienne en Jordanie a été blessé lors d'un attentat perpétré à Amman, la capitale du pays, Comme les médias israéliens nous en informent, l'attaque s'est produite vers 8.30 heures, alors que le diplomate se rendait à son ambassade. Les coups de feu le visant avaient manifestement été tirés d'une auto qui passait là. Il subit des blessures aux mains et aux jambes. Lors d'une session du cabinet, le Premier ministre Ehud Barak qualifia cette agression de «très grave escalade». Le prince jordanien Hassan exprima ses regrets auprès de l'ambassadeur israélien et promit son plein soutien pour que soit tiré au clair cet incident.


Attaque d'un bus scolaire

Le lendemain, le 20 novembre donc, un attentat à la bombe fut commis le matin près de Gush Katif dans la bande de Gaza contre un bus transportant des écoliers israéliens; cette action tua deux occupants et en blessa douze autres, dont certains grièvement. Parmi ces blessés, il y avait cinq enfants et une femme enceinte. Selon des milieux militaires, un engin balistique, ressemblant au type d'explosifs employés par les terroristes du Hezbollah dans l'ancienne zone de sécurité au Sud-Liban, à perforé le car blindé. Dans ce bus, accompagné de plusieurs véhicules de l'armée, se trouvaient environ trente enfants et adultes. Les investigations de l'armée israélienne ont révélé qu'au moins trois terroristes participaient à cet attentat. Il y a quelques semaines seulement, un Palestinien armé avait commis au même endroit un attentat suicide.


Israël riposte

Le Premier ministre Ehud Barak a qualifié le dernier attentat de cette sanglante série de «profond choc et d'acte terroriste grave». Le cabinet de sécurité convoqué par lui a tenu les miliciens du Tanzim du Fatah militant pour responsables de cette attaque, et non pas le groupe radical du Djihad, comme l'AP le prétendait. Pendant la session furent décidées des mesures de représailles qui furent exécutées le lundi soir. Des hélicoptères israéliens tirèrent sur des cibles dans la ville de Gaza. Selon Israël Radio (Kol Israël), neuf objectifs ont été bombardés, parmi lesquels le quartier général des milices du Tanzim. et du Fatah ainsi que le bâtiment du «service de sécurité préventive», sur le compte duquel a été porté l'attaque de Kfar Darom. D'après d'autres communiqués, d'autres lieux ont été visés à proximité de Rafiah. Le même soir, le gouvernement israélien confirmait ces actions de représailles. Selon le vice-ministre de la Défense, Ephraïm Sneh, toutes les cibles avaient été choisies avec soin par le cabinet de sécurité; et contrairement aux attaques de représailles précédentes, aucun avertissement n'avait été lancé cette fois. Il déclara en outre que la trace des derniers attentats remontait directement au chef de l'OLP, Yasser Arafat. Il est aussi apparu que la distribution du courant électrique avait été coupée. D'après des témoins oculaires, la ville avait été plongée dans l'obscurité peu de temps avant l'attaque. À cause des nouvelles violences, le gouvernement israélien, qui se trouvait sous de fortes pressions, décida de passer à des représailles.


Premières réactions

Le côté palestinien nia avec véhémence toute participation à l'attaque du bus scolaire. Un important représentant de l'AP fit remarquer que l'endroit où l'attaque s'était produite est situé dans le territoire contrôlé par Israël, et que ce dernier est responsable de sa sécurité. Quand Yasser Arafat fut informé de l'attaque, il réagit par une grosse colère à la non-observation de ses derniers ordres, à savoir l'interdiction de tirer dans les territoires de l'Autonomie. Mais les milieux gouvernementaux israéliens on fait savoir qu'Arafat, en libérant des terroristes islamiques radicaux des prisons palestiniennes, avait pratiquement donné le feu vert pour des agressions sur des cibles israéliennes. Hassan Asfour, un membre du cabinet de l'AP, accuse Israël d'avoir choisi la «voie de la guerre» avec ses coups de représailles: «Ces attaques sont la preuve que le gouvernement israélien est composé de meurtriers qui ont choisi la guerre comme moyen pour imposer leur politique. Ces actions coûteront très cher, et Barak doit commencer à compter les morts du côté israélien. Le peuple palestinien ne se laissera pas mettre à genoux.»

Le rappel dans son pays de l'ambassadeur d'Égypte en Israël est probablement une autre conséquence des ripostes israéliennes. Au ministère des Affaires étrangères israélien, on s'est montré surpris de cette mesure d'autant plus que la semaine précédente, une rencontre entre l'ancien président israélien Ezer Weizman et le chef du gouvernement égyptien, Moubarak, avait eu lieu, et que tout portait à croire que les tensions entre les deux pays allaient en diminuant. Mais le ministre égyptien des Affaires étrangères donna à entendre qu'il voulait débattre des derniers événements avec l'ambassadeur, car au sommet islamique, qui s'est tenu dernièrement, on aurait recommandé de rompre les relations diplomatiques avec Israël. L'avenir nous dira si l'ambassadeur égyptien a été rappelé uniquement pour des consultations ou pour un temps indéterminé.

Commentaire:

Israël devait réagir. Cette action de représailles était tardive. jusqu'alors, il n'avait, la plupart du temps, fait que riposter; il n'avait pas activement réagi. Que beaucoup parlent d'une action «démesurée» d'Israël, la chose est claire. Le monde est toujours contre cette nation. Mais il est très important d'étouffer le mal dans l'oeuf. Même si Israël a laissé la situation trop se dégrader, ce principe a sa valeur ici: Mieux vaut une fin dans la peur qu'une peur sans fin. Malheureusement, les Palestiniens ne semblent comprendre aucun autre langage. Qu'Israël ait maintenant montré les dents, cela se conçoit. Et il y a ceci qui correspond aux dires mensongers d'Arafat que ses gens clament bien fort, à savoir qu'ils n'avaient rien à voir avec l'attaque contre le bus israélien, où deux personnes ont été tuées.

Nous aussi devons immédiatement résister dans notre vie de foi face à l'Adversaire menaçant; plutôt que de simplement riposter, nous devons le chasser. Jésus doit être le Seigneur de notre vie; Lui seul doit avoir de la place chez nous. CM 

© Nouvelles d'Israël Décembre 2000


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LE PENTAGONE VEUT LA TECHNOLOGIE D'ISRAËL

Le ministère de la Défense américain envisage d'acheter trois des systèmes provenant d'Israël, qui sont actuellement testés au niveau de leur applicabilité à l'année. Il s'agit d'un système électronique d'informations pour les troupes de terre, de systèmes de photos et de capteurs pour l'aviation et de vêtements de protection spéciaux pour les pilotes et les militaires de la marine. Les technologies sélectionnées font partie de onze projets développés dans des industries d'armement situées en dehors des USA, projets que le Pentagone songe à utiliser dans les forces américaines. D'autres projets de la technologie israélienne – comme, par exemple, l'adaptation aux modèles américains des projectiles Merkava pour blindés, une montre atomique de haute précision ainsi que des capteurs automatiques à infrarouge pour l'aviation – sont cofinancés par le ministère de la Défense américain. En raison de certaines dispositions légales, l'armée américaine ne peut se procurer des éléments d'armement à l'étranger que si les technologies des USA ne correspondent pas aux besoins des forces années et si les produits extérieurs dépassent en qualité ceux fabriqués dans le pays.

Le système d'informations israélien peut enregistrer l'existence et l'origine de signaux radioélectriques par des fréquences extrêmement basses. Par le système de photos et de capteurs, qui travaille à l'aide de ses propres batteries, des images peuvent être envoyées à de longues distances par n'importe quel temps et à toute heure du jour et de la nuit. Le Pentagone teste actuellement des vêtements de protection en provenance de cinq pays: Israël, l'Allemagne, la Suède, l'Angleterre et la France. Des séries d'essais ont prouvé que les tenues fabriquées en Amérique ne sont pas valables en cas d'attaques par armes chimiques et biologiques. 

© Nouvelles d'Israël Décembre 2000


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LE DROIT AU RETOUR DES PALESTINIENS

Le droit au retour des Palestiniens

 

Le pays que J'ai juré de donner à mon peuple (Exode 33: 1) Ne me rappelant plus que Dieu avait véritablement «juré» de donner la terre à Israël, et après vérification comme on faisait à Bérée, j'ai donc vu que le verbe «donner», en rapport avec la Terre Promise – et comme don de Dieu à Son peuple, Israël – apparaît 150 fois dans la Bible, depuis Abram (Genèse 12: 7) jusqu'à l'époque du retour de l'exil (Néhémie 9: 36). C'est effectivement un vrai serment que Dieu a fait: «Séjourne dans ce pays-ci, dit l'Éternel à Isaac: Je serai avec toi et Je te bénirai, car Je donnerai toutes ces contrées à toi et à ta postérité, et Je tiendrai le serment que J'ai fait à Abraham, ton père» (Genèse 26: 3) 

C'est une vérité biblique qui demeure et que les hommes ne peuvent supprimer: la terre de Canaan a été promise à Israël, pour qu'il la possède toute entière et Dieu ne reviendra jamais sur Ses promesses, malgré la désobéissance d'Israël: 

«Voici, Je les (les enfants d'Israël) rassemblerai de tous les pays où Je les ai chassés, dans ma colère, dans ma fureurÉ Je les ramènerai dans ce lieu et je les ferai habiter en sécuritéÉ Je prendrai plaisir à leur faire du bien et Je les planterai véritablement dans ce pays, de tout mon coeur et de toute mon âme.» (Jérémie 32: 37-41) 

Les Palestiniens ont-ils droit à leur terre, en Israël? C'est une question qu'on ne peut éluder. Question légitimité: si les Palestiniens disent vouloir descendre des Cananéens, ils n'ont aucun droit, puisque Dieu leur a dénié ce droit. Canaan descendait de Cham (Ham), fils de Noé, et ce dernier l'avait maudit; ils furent d'ailleurs condamnés à être détruits, à cause de leurs péchés (Deut.20: 17). Si les Palestiniens se disent issus des Philistins, ils n'ont droit qu'à Gaza et «sa bande». De plus, les Philistins sont descendants de Mitsraïm (Gen.10: 14). Ils sont donc de la même famille que les Égyptiens. 

 

Mais les choses sont aujourd'hui plus compliquées. 

Question «droit au retour»: Israël est-il vraiment responsable du déplacement des Arabes? 

1) La fuite des Palestiniens arabes s'inscrit dans un contexte historique: la décision arabe de s'opposer à la résolution des Nations Unies du 29 nov 1947, proposant la création d'un État juif et d'un État arabe en Palestine. Les Arabes ont volontairement refusé un État et une terre qui leur étaient proposés. 

2) L'Histoire nous apprend aussi que les Arabes palestiniens sont partis de leur plein gré, lorsqu'Israël s'est défendu contre les armées arabes réunies. Ce sont les chefs arabes qui ont exigé aux habitants de «la Palestine» de partir, leur disant: «Fuyez maintenant de peur qu'Israël vous tue, de toute façon, nous allons rejeter à la mer les Israéliens, et alors vous reviendrez vous réinstaller.» 

Par contre les leaders israéliens invitaient ces derniers à ne pas quitter leurs maisons.

Exemple à Haïfa (appel des Israéliens aux Arabes en 1948): «Pendants des années, nous avons vécu côte à côte en sécurité, dans la fraternité. Ne succombez pas à la peur! Ne détruisez pas vos foyers de vos propres mains! Ne vous affligez pas par un malheur par une évacuation inutile!» 

Golda Meir elle-même était sur la plage de Haïfa, suppliant les Arabes de ne pas s'en aller!

Témoignage arabe palestinien: «Ce sont nos chefs qui sont responsables de la fuite et de l'abandon des villages, car ils ont répandu des rumeurs exagérant les crimes commis par les juifs, les décrivant comme des atrocités afin d'exciter les Arabes. Il ont inspirés la peur et la terreur dans le coeur des Arabes jusqu'à ce qu'ils fuient et abandonnent leurs foyers et leurs biens à l'ennemi.» 

Autre témoignage arabe: «Les gouvernements arabes nous ont dit: Sortez pour que nous puissions entrer. Nous sommes sortis mais ils ne sont pas entrés.»

3) Beaucoup d'Arabes palestiniens se sont enfuis par peur de représailles: «Ils étaient terrorisés (témoignage de G. Meir) à la pensée de passer pour des traîtres à la cause arabe.» 

Cet exil volontaire fut appelé par Haïm Weizmann: une «simplification miraculeuse»!

4) Sachons en dernier lieu que la Jordanie est peuplée en grande partie de Palestiniens, qui sont plus «chez eux» dans un pays de culture arabe. 

Si donc on est un tant soit peu objectif concernant la situation en Israël, on évitera de reporter la faute sur les «méchants sionistes» qui ne veulent pas donner de terre aux «pauvres Palestiniens», qui étaient selon eux les véritables habitants de la Palestine. On le sait, la situation est plus complexe, mais on doit dénoncer ce prétendu «droit au retour», qui n'est que le fruit de l'inconséquence des Arabes. 

Il faut ajouter à cela que maintenir les populations palestiniennes dans un état de pauvreté, fait partie de la même tactique mensongère que proclamer un prétendu droit au retour. 2000 Palestiniens, gravitant tous dans des sphères d'autorité autour de Yasser Arafat bénéficient seuls de la manne de millions de dollars de la part des États-Unis, des Européens et même des Israéliens. Il est bénéfique de laisser le peuple dans le dénuement afin que l'opinion internationale s'émeuve. Mais c'est une autre question. 

Israël arrive à un tournant majeur qui est effectivement de retrouver son Dieu et de s'attacher à Ses promesses. Lui seul peut lui donner la solution. Il est cruellement important de prier pour que de vrais leaders israéliens qui placent leur confiance en l'Éternel – le Dieu d'Israël – soient élus, et cela, avant qu'une vraie guerre se déclenche, suite à tous ces problèmes non résolus.

(Shalom Israël) ajouté le 19/01/2001

 

Croire et ne pas croire 

rapporté par «Jan Willem van der»


C'est ainsi que l'Éternel donna à Israël tout le pays qu'il avait juré de donner à leurs pères; ils en prirent possession et s'y établirent. L'Éternel leur accorda du repos tout autour, comme il l'avait juré à leurs pères; aucun de leurs ennemis ne put leur résister, et l'Éternel les livra tous entre leurs mains. (Josué 21: 43-44) 


Promesses divines 

Peut-on imaginer si les Musulmans avaient des paroles et des promesses d'Allah concernant la terre d'Israël, dans le Coran, ainsi que les Juifs les possèdent dans le Tanach (Bible juive)? Comment les Musulmans utiliseraient de tels versets, se réclamant de la divine autorité à la face du monde, pour obtenir la terre de «Palestine»!

Mais il n'y a rien de tout cela dans le Coran pour prétendre une quelconque possession léguée par une autorité divine en faveur de l'Islam. Dans le Tanach, par contre, il y a de nombreuses paroles écrites dans des termes les plus clairs, «Je jure de te donner le pays comme une possession éternelle», dit Dieu! 

Que c'est regrettable de voir que ceux qui dirigent les négociations de paix en Israël soient des hommes en général non-croyants ou athées, qui ne veulent pas être confrontés aux promesses bibliques «d'un autre âge» tirées du Tanach et données par les Gentils, mettant l'accent sur le droit à leur cause. Que feraient les Musulmans si jamais le Coran avait stipulé qu'Allah avait promis solennellement de leur donner le pays de Palestine? On ne peut penser qu'ils ne fassent pas référence à de telles saintes et puissantes promesses, si seulement ils les avaient! 

«Le camp de la paix» repose donc sur les épaules de ceux qui croient plus sage de ne pas mentionner ces promesses divines – Yossi Beilin, Yossi sarid, Amnon Lipkin Sharak, Shimon Perez, Uri savir, et beaucoup d'autres. Ce serait difficile d'imaginer ces hommes citant les paroles de Dieu tirées du Tanach, pour défendre leur cause. Ils seraient très embarrassés (par rapport aux chrétiens, ces Païens) de prendre au sérieux ces promesses archaïques – comme point de départ des négociations! 

Les Musulmans, s'ils avaient les mêmes injonctions d'Allah, ne feraient pas une telle erreur. Ils tiendraient pour responsable, et menaceraient du Jihad et de la terreur, le monde entier pour les terribles conséquences d'une résistance à la volonté d'Allah. Et le monde, malade, faible et décadent, tomberait devant leurs arguments et il le fait aujourd'hui, par crainte. 


Un sol sacré appartenant aux Arabes?

«Je n'abandonnerai aucune parcelle de notre sol sacré arabe» avait dit Anouar El Sadate.

«Un sol sacré appartenant aux Arabes?» La terre du Sinaï où Dieu avait conduit Son peuple, Israël, et accordé Son alliance, là où Il lui avait donné Ses dix Commandements, soudainement devenue sacrée pour l'Égypte, elle, qui, n'a jamais rien fait dans cette péninsule! Mais, ça a marché. On n'a pas dit à Sadate: «Arrêtez avec ces boniments sur votre soi-disante terre sacrée arabe, nous sommes au vingtième siècle.» Non, on (le monde) a tout accepté, simplement parce que c'était dit avec une telle conviction! 

C'est aujourd'hui la faiblesse des Israéliens. Ils pensent, selon une façon de pensée tordue, qu'il n'est pas sage de faire référence aux origines divines liées à cette terre. Mais les Arabes qui n'ont aucune parole divine relatif à ce pays qu'ils ont envahi par l'épée de Mahommet, eux, ils parlent comme si cette terre leur avait été donnée et promise par un oracle d'Allah dans le Coran, alors que le Coran ne mentionne même pas Jérusalem! 

Néanmoins, ils le font et personne dans le monde leur dit: «mais vous avez conquis ce pays par la force avec Omar El-Kathib et les autres. Ce pays ne vous a jamais appartenu.» Non, le monde gobe leurs incroyables revendications sans rien dire, parce que c'est dit avec un tel sérieux.

Est-ce que les responsables islamiques feraient l'erreur d'envoyer des Musulmans non-croyants à la table des négociations pour la paix? Jamais! Mais le peuple d'Israël, lui, permet d'être représenté à Oslo, Sharm El Sheikh, à Camp David, principalement par des hommes qui ne croient pas que les promesses du Tanach sont les fondements qui leur permettraient de justifier leurs désirs d'une véritable paix pour ce pays, que Dieu leur a donné. Car c'est bien Dieu qui leur a donné cette terre! 

Je suis en colère lorsque j'entends à propos de la famille Cohen de Kfar Darom, que leurs trois enfants auront à passer le reste de leur vie, amputés de leurs membres naturels! Je suis en colère ce matin, quand j'apprends ce nouvel attentat qui a touché les parents d'un cher ami à Ofrah et des enfants qui, lorsqu'ils vont se réveiller de leurs blessures à l'hôpital, n'auront pas de parents pour prendre soin d'eux et pleurer avec eux.


La Palestine rachetée dans le sang

Pourquoi les Musulmans arrêteraient les tueries et les massacres qu'ils pensent «saints» pour leur cause? «La Palestine doit être rachetée dans le sang», disent-ils. Pour Allah et l'Islam, ils sont volontaires pour se sacrifier et pour tuer les Juifs, et ainsi les éliminer – spécialement les Juifs croyants – de «leur terre». Ça a marché au Liban; ça marchera dans «les territoires» (comme ils sont appelés): les Israéliens, particulièrement les Juifs athées, se retireront comme ils l'ont fait au Liban, sacrifiant leurs meilleurs fils et filles – les habitants des implantations, Juifs croyants – comme ils ont sacrifié les Libanais du Sud-Liban qui avait combattu et résisté avec eux. Cela prouvera au monde entier que la terreur et le meurtre, spécialement lorsqu'ils sont commis religieusement, en faveur d'Allah, ont leur efficacité. 

Les Israéliens ne voient-ils pas qu'en refusant les promesses du Tanach – la Parole de Dieu – ils facilitent à leurs ennemis l'aboutissement de leurs revendications, comblant finalement le vide laissé par les Israéliens eux-mêmes. C'est ainsi qu'à cause de leur faiblesse ou manque de conviction spirituelle, ils attirent les actes d'agression. Les capitulations et les compromis d'Ehud Barak, pendant que se déroulent des massacres, n'apporteront pas la paix mais attireront plutôt davantage encore de violence, jusqu'à la capitulation totale d'Israël en faveur d'Allah. 

«Ils» tueront et massacreront et ils auront en fin de compte ce qu'ils veulent, de la part de ces Juifs incroyants, pendant que les familles juives, qui croient en la parole de Dieu, paieront le prix, ils paieront même doublement...

(Shalom Israël) ajouté le 19/01/2001

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FUTURE DESTRUCTION DE L'ESPLANADE DES MOSQUÉES?

rapporté par «Nouvel Ordre Mondial»

En ce moment, en Israël, on parle beaucoup d'une possible destruction des sites sacrés islamiques situés sur le Mont du Temple. Il y a en effet de nombreux groupes religieux extrémistes qui se préparent à faire exploser l'esplanade des mosquées. 

Deux anciens chefs de la sécurité israélienne ont déjà prévenu le gouvernement de ce danger qui pourrait avoir des conséquences dévastatrices. 

Dans ce cas là, une guerre globale entre le monde arabe et Israël serait plus qu'envisageable.

(BBC News/NOM) ajouté le 21/01/2001

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ISRAËL DOIT PARTAGER SA TERRE (déclaration de M. Clinton) 

rapporté par «A. Vuilleumeir»

Le président Clinton a déclaré dimanche que la terre d'Israël est également la terre des Palestiniens et qu'il n'y a aucun autre choix que la division de cette terre en deux états. Il s'est adressé au peuple d'Israël devant une assistance en grande partie juive à un forum politique juif. Il a encore déclaré: «vous avez à peine eu un jour de paix depuis que votre état a été créé. Votre rêve d'avoir une patrie est devenue une réalité mais quand le peuple juif est revenu sur leur terre depuis 1 siècle, il a découvert que leur terre était également leur terre, la patrie de deux peuples. La réalité est dure. Il n'y a aucun autre choix que la division de votre terre en deux états pour deux peuples. Si elle se produit aujourd'hui ou après un carnage, elle se produira.»

Il y a presque 4'000 ans, Dieu a déclaré à Abraham «Je donne ce pays à ta postérité, depuis le fleuve d'Égypte jusqu'au grand fleuve, au fleuve d'Euphrate.» Genèse 15:18.

Il y a presque 3'500 ans, Dieu a déclaré à la nation d'Israël «J'établirai tes limites depuis la mer Rouge jusqu'à la mer des Philistins, et depuis le désert jusqu'au fleuve Euphrate» Exodes 23:31. Ces engagements sont pour toujours et sont pour Israël uniquement. Pas d'autres peuples ont reçu la promesse de Dieu d'obtenir la terre d'Israël. (Tzemach News Service)

(Tzemach News Service) ajouté le 15/01/2001

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MENACES DE L'IRAK CONTRE ISRAËL

rapporté par «Samuel»

La concentration de forces militaires d'Irak qui avait été constatée sur la frontière syrienne il y a quelques semaines était le fruit d'un accord entre le dictateur de l'Irak Sadam Hussein et le président syrien Bachar Assad. 

Cette opération avait pour but de signaler à Israël qu'une riposte militaire sur la Syrie, en représailles aux attaques du Hezbolla au Sud-Liban, risquerait d'engendrer une guerre dans laquelle la Syrie s'engagerait avec le soutien de l'Irak. Apres avoir découvert l'accord entre les deux pays, les États-Unis ont mis Damas en garde et ont recommandé aux Syriens de ne pas se lancer dans un conflit qui risquerait d'embraser toute la région. 

Le déplacement des forces irakiennes s'est fait en deux étapes: la première en octobre ou quatre divisions avaient été envoyées sur la frontière syrienne. Ces troupes ont ensuite été rappelées dans leur pays et l'Irak a alors prétendu qu'il n'avait été question que d'un grand exercice d'enrôlement. Après un certain temps, l'Irak avait dirigé une nouvelle division militaire dans la région. Parallèlement, Sadam Hussein avait une fois de plus proféré des menaces a l'encontre d'Israël et avait déclaré qu'il n'attendait que le feu vert des pays arabes pour passer à l'action et détruire complètement l'État d'Israël. 

(Arutz7) ajouté le 25/01/2001

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PROCHE-ORIENT: LUEUR D'ESPOIR / JÉRUSALEM-EST SOUS SOUVERAINETÉ INTERNATIONALE?

rapporté par «Samuel»

Israéliens et Palestiniens poursuivent leurs négociations de paix à Taba, en Égypte, laissant poindre un faible espoir de conclure un accord avant le scrutin du 6 février qui pourrait porter au pouvoir en Israël le «faucon» Ariel Sharon.

«L'atmosphère n'est pas négative et les discussions sur les réfugiés et les territoires, y compris Jérusalem, se déroulent d'une manière très sérieuse et détaillée», a confié à Reuters le ministre palestinien de l'Information, Yasser Abed Rabbo. 

«Si une telle atmosphère se maintient jusqu'à la fin de la semaine, il se peut que nous ayons une bonne surprise. Cela ne veut pas dire que nous nous soyons mis d'accord sur aucun des dossiers, mais les discussions se tiennent d'une manière approfondie et sérieuse», a-t-il ajouté. 

De son côté, le négociateur palestinien Ahmed Korei a jugé que les deux commissions mises en place – l'une traitant des frontières, de Jérusalem et des questions de sécurité, l'autre des réfugiés palestiniens – avaient eu des «discussions sérieuses». 

«Les pourparlers vont continuer durant la nuit, demain et jusqu'à vendredi, et nous verrons ce qui est possible», a dit Korei, alors que les négociateurs palestiniens prenaient la direction de la station balnéaire d'Eilat, où ont lieu les négociations nocturnes avec les Israéliens.

Le négociateur israélien Amnon Lipkin-Shahak a pour sa part estimé que la délégation palestinienne était suffisamment complète pour que les discussions traitent de la substance. 

Il doute cependant qu'un accord de paix définitif puisse être conclu avant le 6 février, jour de l'élection au poste de Premier ministre en Israël. 

En début de journée, un responsable palestinien avait souligné que les discussions pourraient déboucher sur «un accord total ou un néant total» et que les Palestiniens n'étaient pas prêts à faire des concessions dans la précipitation pour aider le premier ministre israélien Ehud Barak à battre Sharon. 

 

Jérusalem-Est sous souveraineté internationale? 

Israël a ouvert lundi ses frontières avec Gaza et la Cisjordanie à 16.000 Palestiniens ayant obtenu des permis de travail le mois dernier. 

Cet assouplissement des restrictions sur les déplacements a été annoncé en dépit de l'explosion d'une bombe au passage d'un char qui a blessé un soldat israélien près de la colonie juive de Netzarim, à Gaza. Le mouvement islamique Hamas, opposé au processus de paix, a revendiqué cet attentat. 

Des témoins palestiniens ont rapporté qu'après l'explosion, Israël avait fermé le point de passage de Netzarim. 

La partie israélienne a donné des précisions – cartes et données démographiques à l'appui – sur les colonies juives que l'État hébreu veut annexer en Cisjordanie, dit-on de source israélienne. 

«Nous cherchons à annexer six pour cent du territoire de Cisjordanie et à louer une partie supplémentaire», a dit cette source. «Les Palestiniens tentent de réduire au maximum ce territoire, mais ils n'adoptent pas de positions maximalistes, tentant plutôt d'ouvrir des discussions sérieuses sur les propositions israéliennes».

Une source palestinienne a indiqué que le chef de cabinet de Barak, Gilead Sher, avait proposé de placer la Vieille Ville de Jérusalem – où se trouvent des lieux saints juifs, musulmans et chrétiens – sous souveraineté internationale. 

La source n'a pas précisé si les Palestiniens étaient favorables à cette idée et un responsable israélien a affirmé que le statut de Jérusalem n'avait pas encore été évoqué. 

Resté en Israël pour faire campagne, Barak a essayé de convaincre les Arabes israéliens de voter pour lui, malgré la colère provoquée dans leurs rangs par la mort de 13 des leurs depuis le début du soulèvement palestinien fin septembre. 

«Je ressens du chagrin pour la mort des 13 citoyens arabes», a déclaré Barak, ajoutant que le gouvernement respecterait les conclusions de la commission internationale d'information sur les violences, dirigée par l'ancien sénateur américain George Mitchell. 

Au moins 310 Palestiniens et 45 Israéliens ont également péri depuis le début des violences israélo-palestiniennes.

(Reuters) ajouté le 23/01/2001

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LE RETOUR DE LA PAIX SELON ARIEL SHARON

rapporté par «Nicolas»

Dans une spectaculaire interview à un hebdomadaire religieux, le chef de la droite israélienne Ariel Sharon expose sa conception de l'avenir des relations israélo-palestiniennes: une vision belliqueuse et ferme, célébrant l'arrêt de mort des accords d'Oslo. 

«Les accords d'Oslo sont morts. Point». Ainsi s'exprime l'homme qui «sait comment faire la paix», alias Ariel Sharon, candidat du Likoud au poste de Premier ministre au scrutin du 6 février prochain en Israël. C'est une interview retentissante que va faire paraître l'hebdomadaire religieux Kfar Habad, dans laquelle le chef de file de la droite israélienne enterre le processus de paix amorcé en 1993 par Shimon Peres, privilégiant à mots à peine voilés le bras de fer belliqueux avec les Palestiniens. 

«L'idée de base de ces accords était que tous les litiges devaient être réglés à la table des négociations, précise Ariel Sharon, et non par la violence. Dès lors qu'il y a violence, cela signifie très clairement que les accords d'Oslo n'existent plus». Il convient toutefois de rappeler que le leader de la droite israélienne avait mis le feu à la poudrière, lorsque le 28 septembre dernier il avait visité, avec une lourde escorte policière, l'Esplanade des Mosquées de Jérusalem, troisième lieu saint de l'Islam et emplacement antique du Temple Juif, détruit par les Romains. Sharon fait ainsi un pas de plus qu'Ehud Barak, pour qui la cessation de l'Intafada est un préalable pour reprendre langue avec Yasser Arafat: pour Sharon, il s'agit purement et simplement de la fin du mécanisme diplomatique de règlement du conflit. «Point».


Les colonies juives ne seront pas évacuées 

À l'en croire, le dossier des 150 colonies juives implantées en territoire palestinien n'avancera pas non plus sous son règne, si règne il y a. «Aucune implantation ne sera démantelée, assène-t-il, car toutes les implantations se trouvent dans des zones de sécurité qui doivent être contrôlées par Israël, et cela comprend la vallée du Jourdain», située à l'est de la Cisjordanie. Ariel Sharon se garde bien d'expliquer en quoi ces zones «doivent être contrôlées par Israël», insistant sur une conception quasi-ethnique de la répartition géopolitique du Proche-Orient. N'affirme-t-il pas que l'État hébreu n'allait pas «reconquérir les secteurs où la population arabe est majoritaire», réaffirmant le droit des Juifs à «s'y rendre pour prier sans entrave», lesquels secteurs représentent «45% de la Cisjordanie»? 

 

Tsahal fait face à une insurrection permanente 

Seules parmi les «concessions douloureuses» auxquelles il s'était dit prêt le mois dernier pour rétablir la paix, Sharon précise que cela signifiait «que nous [Israël] n'allons pas reconquérir Naplouse et Jéricho. Pour moi, réitère-t-il, il s'agit de concessions douloureuses, car ces lieux sont chers au peuple juif et je ne connais pas un peuple au monde qui soit prêt à renoncer à ses intérêts historiques et nationaux, à moins d'être vaincu dans la guerre. Or, nous avons gagné toutes nos guerres». Sans doute le chef du Likoud, en avance de 20 points dans les derniers sondages par rapport au travailliste Ehud Barak, n'a-t-il pas oublié que les Palestiniens sont en droit de raisonner à l'identique. 


La loi du plus fort pourrait se renverser 

Selon des analystes militaires, la disproportion des forces armées sur le terrain – guérilla urbaine et terrorisme aveugle contre unités militaires – ne fait pas forcément pencher la balance du côté israélien. Selon le dernier hors-série du magazine Raids, il est possible que «les foules palestiniennes marchent contre les chars de Tsahal ou envahissent pacifiquement avec femmes et enfants les colonies», ce qui pourrait bien faire basculer l'opinion et les organisations internationales du côté palestinien. Et, à l'instar de la puissante armée française en Algérie ou l'armada russe en Tchétchénie, voir le plus fort des deux belligérants perdre la guerre. 

(TF1) ajouté le 11/01/2001

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ARIEL SHARON: JÉRUSALEM CAPITALE ÉTERNELLE ET INDIVISIBLE

Au lendemain du raz-de-marée électoral en sa faveur, le Premier ministre élu Ariel Sharon s'est rendu mercredi au Mur des Lamentations à Jérusalem, qu'il a proclamée «capitale éternelle et indivisible d'Israël». 

Il est de tradition pour les nouveaux chefs de gouvernement en Israël de se rendre au Mur des Lamentations, vestige de l'ancien Temple détruit en 70 de notre ère et lieu le plus saint du judaïsme. 

«Je me rends à Jérusalem, capitale du peuple juif depuis 3.000 ans, et capitale éternelle et indivisible d'Israël avec en son centre le Mont du Temple pour toute l'éternité», a déclaré le nouveau chef du gouvernement, entouré de nombreux gardes du corps. 

La visite de M. Sharon au Mont du Temple, que les Musulmans appellent Esplanade des Mosquées, le 28 septembre dernier avait été l'un des éléments déclencheurs de la nouvelle Intifida. 

(AFP) ajouté le 7/02/2001

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