Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Environnement

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LA PLANÈTE BLEUE

Vue du ciel, notre planète doit sa teinte spécifique à l'eau, mais qu'en est-il de près? Les paroles d'Apocalypse 8, 11 sont-elles envoie de réalisation? Verrons-nous bientôt le tiers des mers changé en sang, et le tiers des créatures marines périr? Verrons-nous bientôt le tiers des fleuves et des sources d'eaux changé en absinthe, et faire mourir ceux qui en boivent. Il y a peu, la catastrophe de Tchernobyl (absinthe en russe) avait pollué nombre de cours d'eau et de lacs européens, dont celui de Lugano, où la vente des poissons avait été interdite pendant quelques mois.

«Depuis le début de la civilisation, les hommes polluent leur eau. Comme nous sommes devenus aujourd'hui beaucoup plus nombreux à en utiliser la même quantité – et nos exigences ayant crû, les problèmes de manque et de contamination sont devenus sérieux», écrivait le directeur exécutif du Programme pour l'Environnement de l'ONU. Puis, citant l'eutrophisation des lacs, la contamination des eaux souterraines par les engrais, la pollution des cours d'eau par les métaux lourds, la salinisation et l'acidification des eaux de surface, il conclut: «Rendre plus de personnes conscientes de ce qui arrive à leur réserves d'eau est peut-être le moyen le plus efficace pour en ralentir la pollution.»

La seule espérance serait donc de ralentir la pollution des eaux. Ce problème semble sans issue à l'instar de nombreux autres: famine, surpeuplement, épuisement des ressources, conflits ethniques, etc. Devant l'immensité de la tâche et l'inertie de ceux qui tirent bénéfice de la situation, il y a de quoi se décourager. Nous pouvons être reconnaissants envers ceux qui font leur possible pour sauver des vies.

Mais ne trouve-t-on pas ici également le rejet de l'autorité divine. L'ONU a choisi les années quatre-vingt-dix comme «décennie internationale pour la réduction des désastres naturels». Voilà les dimensions de l'orgueil humaniste onusien. Orgueil qui croit que l'Homme, représenté par l'ONU, peut régler tous les problèmes de la planète. L'actualité nous démontre l'inanité de cette prétention. 

Dans la situation apparemment désespérée de notre planète, nous pouvons discerner un signe de la grâce divine. Dieu laisse le monde aller au bout de ses illusions et de ses ressources, pour juger son orgueil, lui donner l'occasion de réfléchir sur sa conduite et de revenir à Lui, à l'image du fils prodigue.

Comme chrétiens, ne nous laissons pas entraîner dans la conception humaniste et malthusienne d'un monde que Dieu aurait créé incapable de subvenir aux besoins de ses milliards d'habitants. Certaines des plus grandes pollutions sont naturelles: le volcanisme émet des quantités de gaz et de poussières qui parfois diminuent pendant plusieurs mois l'ensoleillement et la température de la planète. La concentration en sels minéraux de certains lacs y rend toute vie impossible comme à la Mer Morte. Le Créateur a prévu des cycles de régénération pour toutes les pollutions naturelles et humaines, même s'ils peuvent être fort longs et il laisse l'homme transformer sa création: I'exploitation à outrance des forêts de la Grèce antique a changé durablement la face du pays.

L'eau a une place très importante dans la Bible: le deuxième verset parle des eaux sur lesquelles planait l'Esprit de Dieu, et tout à la fin, l'eau de vie est offerte gratuitement à celui qui a soif. À plusieurs reprises, nous voyons Dieu purifier des eaux par ses serviteurs: Moïse purifie celles de Mara avec un bois désigné par l'Éternel, et Élisée celles de Jéricho avec du sel. Le rétablissement de toutes choses préfiguré par la prophétie d'Ezéchiel 47, qui voit l'eau s'écoulant du Temple régénérer la Mer Morte, est encore à venir. Mais Dieu est toujours prêt à donner une eau saine à Ses créatures, en réponse à la prière.

Les pollutions actuelles sont les prémices de celles, cataclysmiques, d'Apocalypse 8. 

Désiré Rusovsky

© AVÈNEMENT Novembre 1994 No 77 

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PROJET DU TECHNION: PRODUIRE DE L'ÉNERGIE À PARTIR DU VENT DU DÉSERT.

«Les cheminées du vent du désert» – Tel est le nom du projet d'un genre nouveau, développé au Technion d'Haïfa. Il s'agit de produire de l'énergie bon marché et de l'eau dessalée principalement dans les régions désertiques.

Ce projet auquel travaillent depuis dix ans déjà quelque vingt scientifiques a été gardé secret pendant très longtemps. Aujourd'hui, l'attention de l'opinion publique mondiale a été attirée par les déclarations d'un porte-parole du ministre des Affaires étrangères, Shimon Pérès.

Les éléments de base du projet sont incroyablement simples: de l'eau de mer et de l'air chaud du désert. La technique en revanche est un peu plus compliquée. Elle comporte une gigantesque cheminée d'un diamètre de 400 mètres et d'une hauteur comprise entre 800 et 900 mètres (à titre de comparaison, la Tour Eiffel mesure 296 mètres de haut et l'Empire State Building de New York 378 mètres). Au cours du processus de production d'énergie, l'eau salée est pompée jusqu'à l'extrémité supérieure de la cheminée et projetée ensuite comme de l'eau de pluie à l'intérieur de celle-ci. Ces «gouttes de pluie» rencontrent de l'air chaud aspiré dans l'environnement désertique et canalisé de la base vers le sommet de la cheminée. Ce contact entre la pluie salée artificielle et le vent chaud refroidit rapidement l'air dans la cheminée si bien que celui-ci descend. Ce mouvement inverse actionne des turbines qui génèrent du courant électrique. 

Le directeur du projet, le professeur Dan Seslevsky, ancien commissaire à l'Eau d'Israël, estime qu'une cheminée de la taille prévue peut produire 2,15 milliards de kilowatts par heure, soit plus de 10% de la consommation annuelle de courant d'Israël. Selon lui, l'investissement nécessaire à la construction de cette installation ne sera pas supérieur à celui requis pour la création d'une centrale normale. En outre, cette méthode ne recourt ni au pétrole, ni au charbon et n'occasionne aucune pollution atmosphérique. L'électricité produite de cette manière coûtera 2 à 3 centimes (0, 19 FF ou 1, 17 FB) par kilowatt, c'est-à-dire nettement moins que du courant produit par une centrale au charbon.

Parallèlement, tout ce processus permet de dessaler l'eau. En effet, l'eau salée qui est vaporisée lors de la rencontre avec l'air chaud subit un processus de nettoyage et est ainsi dessalée. Les experts du Technion ne veulent pas pour l'instant dévoiler le déroulement précis de ce processus.

Selon le programme du professeur Seslevsky, une série de cheminées de production d'énergie seront construites dans la région d'Arava, l'une des plus chaudes au monde. L'eau salée requise sera prélevée par un canal reliant la mer Rouge à la mer Morte. 

Certes, le lancement du projet requiert des investissements énormes. En effet, le creusement du canal de la mer Rouge à la mer Morte est à lui seul estimé à plus de 3,12 milliards de dollars. Mais selon le professeur Seslevsky, les cheminées qui devraient être installées pourraient couvrir tous les besoins en électricité d'Israël et même de Jordanie.

Les scientifiques qui ont vérifié ce projet l'ont qualifié «d'audacieux et de simple à la fois». On estime qu'à l'avenir, il sera possible de construire ce type de cheminées de production d'énergie dans les régions désertiques de l'hémisphère nord et de l'hémisphère sud. Elles seraient en mesure de produire des quantités d'électricité cinquante fois plus importantes que les besoins de l'humanité tout entière.

© Nouvelles d'Israël 08 / 1993


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RÉCHAUFFEMENT PLANÉTAIRE, L'OFFENSIVE DE BUSH CONTRE LES CHERCHEURS


Aux États-Unis, il ne fait pas bon remettre en question les thèses du président sur le climat. L'un des scientifiques les plus brillants de la planète vient d'être renvoyé à ses études. L'Américain Robert Watson, président du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (Giec) depuis cinq ans, a été remplacé par l'ingénieur indien Rajendra Pachauri parce qu'il irritait les industriels du pétrole et de l'automobile. 

Cette éviction s'est faite juste avant la ratification à New York du protocole de Kyoto, qui limite les émissions responsables du réchauffement climatique, par une vingtaine de pays développés, dont les 15 de l'Union européenne. Les États-Unis, eux, continuent de refuser cet engagement. Pour le président Bush, les scientifiques n'ont pas apporté assez de preuves sur l'ampleur et les causes du dérèglement. Un argument que Watson réfutait. Chiffres à la clef. 

Mise en place d'un protocole rigoureux

Toucher au Giec, c'est nier l'extraordinaire travail accompli depuis les années 1980 par une institution unique au monde. Succédant au Programme mondial d'études sur le climat, créé par le grand climatologue suédois Bert Bolin, ce groupe publie, avant le Sommet de la Terre de Rio, en 1992, un rapport sur les indices d'un changement de climat. Dans l'enthousiasme, les gouvernements s'engagent à y remédier. Les scientifiques accumulent les données et les moulinent dans leurs ordinateurs pour évaluer la gravité de la situation et trouver les responsables. 

Verdict: le réchauffement serait de 1 à 5 degrés d'ici au siècle prochain. Les coupables sont les industries qui émettent du gaz carbonique, celles qui utilisent du charbon et des hydrocarbures. Bob Watson, un physicien de l'atmosphère qui a mesuré le trou dans la couche d'ozone, mène ses 2 500 chercheurs à la baguette. Un protocole très rigoureux préside aux travaux et à leur publication. Chaque phrase publiée est passée au crible, critiquée, polie, jusqu'à obtenir l'accord de tous les experts et de leurs gouvernements. 

Sous la pression de ses «amis» pétroliers, notamment ceux d'Exxon, George W. Bush a voulu mettre à bas ce bel édifice. Atteindra-t-il son objectif? Son entourage a dû penser que Rajendra Pachauri serait plus malléable. Ingénieur des chemins de fer de formation, patron du centre de recherches du conglomérat indien Tata, administrateur de la compagnie pétrolière de son pays, Pachauri pourra-t-il publier à temps le quatrième rapport, qui doit être terminé pour 2007? Il lui faudra résister à la guérilla que mène le président américain contre les scientifiques, avec l'espoir de bloquer le protocole de Kyoto, qui oblige à revoir le fonctionnement des industries et des villes. 

(L'Express/Transnationale) ajouté le 8/6/2002

© Voxdei 08-06-2002

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RIO: LE SOMMET DE LA TERREUR

Depuis que le génie technologique humain a réussi l'exploit d'envoyer des caméras dans l'espace, deux évidences sont apparues:

– la Terre, cette magnifique boule bleue qui nous porte, est l'unique monde vivant du système solaire.

– au-delà, on n'a pas découvert, à ce jour, d'autres planètes habitables et, s'il en existe, elles nous resteront à jamais inaccessibles en raison de leur éloignement.

L'idée de fuir une catastrophe terrestre majeure en s'évadant vers le cosmos n'a plus de fondement. Nous sommes voués à vivre et à mourir sur notre «vaisseau spatial» naturel, avec les ressources limitées, fragiles et périssables qu'il renferme.

Or, l'explosion démographique actuelle, jointe au développement effréné de la technologie, menacent dangereusement le système vivant dont dépend notre existence à tous. Des «clignotants rouges» s'allument ça et là. Les fameux «trous d'ozone» qui affectent la haute atmosphère laissent passer certains rayonnements «durs» et nuisibles du soleil. En Patagonie (pointe terminale de l'Amérique du Sud), des brebis et autres animaux en sont devenus aveugles. Les autorités australiennes avertissent que «deux citoyens sur trois» habitant leur continent seront, pour la même raison, atteints de cancers de la peau au cours de leur vie. Par ailleurs, chaque jour qui passe, 25 000 personnes meurent dans le monde à cause de la pollution de l'eau. Et l'on évalue à 500 millions le nombre de «déracinés écologiques», de toutes nationalités, condamnés à l'errance.

Devant la montée impressionnante des périls, l'ONU a pris une initiative sans précédent: l'organisation, à Rio de Janeiro, du 3 au 14 Juin prochains, d'une «Conférence des Nations Unies sur l'Environnement et le Développement» (U.N.C.E.D.). Cette rencontre exceptionnelle et fort coûteuse, baptisée «Sommet de la Terre» ou «Eco 92», se propose d'étudier le problème et, si possible, de prendre des dispositions internationales propres à sauvegarder la vie sur la planète. Elle sera ouverte à tous les pays membres. On y attend 75 chefs d'État et une centaine de chefs de gouvernements. En parallèle, quelque 3 000 groupes de pression, la plupart écologistes, essaieront, de l'extérieur, de peser sur les résolutions. Parmi eux, on annonce la présence d'organisations indigènes d'Afrique, d'Asie, du Pacifique et d'Amérique (en particulier des tribus indiennes), ethnies ayant été dépossédées par les Blancs, de diverses façons, depuis l'époque coloniale. Leur but commun: porter à la connaissance des instances internationales leurs propres Chartes de la Terre et, si possible, les faire ratifier.

Un millier de pages de projets inventorient les diverses questions que devrait aborder le «Sommet de Rio». Parmi les plus importantes: suppression et remplacement des gaz CFC destructeurs d'ozone; limitation d'émission du dioxyde de carbone facteur du réchauffement catastrophique de l'atmosphère; protection des forêts tropicales, véritables «poumons de la Terre» production, dépôt et élimination des déchets de toutes natures; contrôle et précautions d'emploi, stockage et mise hors d'état de nuire des substances radioactives; maîtrise et sécurité de l'énergie nucléaire; gestion, préservation et assainissement de l'eau; réduction maximale et neutralisation des fumées industrielles; sauvegarde des espèces animales et végétales menacées ou en voie de disparition etc. Le tout devrait se concrétiser par une série de mesures à prendre pour protéger l'environnement au cours du siècle prochain (le XXIe). D'où le nom du document qui les réunira: «Agenda 21». Deux conventions fondamentales, concernant les modifications climatiques et la diversité biologique viendront en complément.

Hélas, la conférence préparatoire, qui a réuni 160 pays à New-York et s'est close le 4 Avril 92, n'incite guère à l'optimisme. Un seul accord de principe en est sorti: les nations industrialisées reconnaissent la nécessité d'aider celles qui ne le sont pas à développer des technologies inoffensives pour l'environnement. En revanche, personne n'est prêt à financer les projets vitaux de protection de la forêt et de dépollutions diverses, dont le montant global minimum, chiffré par l'ONU, s'élèverait à 125 milliards de dollars.

Maurice Strong, secrétaire général d'«ECO 92», prévient: «notre modèle de développement, qui conduit à la destruction des ressources naturelles, n'est pas viable; nous devons le changer». Qui l'entend? Les États-Unis, quant à eux, restent sourds. La Super-puissance qui entend organiser «un nouvel ordre mondial» refuse catégoriquement de limiter ses émissions de gaz carbonique, l'un des principaux responsables de «l'effet de serre». Et le Président Bush annonce qu'il n'ira pas à Rio «si cela nuisait à sa campagne électorale» (sic).

En réalité, un face à face conflictuel se dessine entre le Nord industrialisé et le Sud sous-développé. Les intérêts divergent et s'opposent. Une guerre économique, qui ne dit pas son nom, déchire l'humanité à l'échelle planétaire. Dans la course aveugle à la croissance, les nantis pillent les ressources naturelles, sans scrupules pour les frontières. Les nécessiteux, à la démographie galopante, sont impuissants et saccagent les leurs. Indira Gandhi constatait: «le pire ennemi de l'environnement, c'est la pauvreté». Mais c'est aussi la richesse! On est effaré par la teneur d'une note que Laurence Summers (éminent économiste américain) vient d'adresser à la Banque Mondiale. Il incite celle-ci «à encourager une migration plus importante des industries polluantes vers les pays moins avancés, la logique économique voulant que des masses de déchets toxiques soient déversées là où les salaires sont les plus bas». Pour ce technocrate de haut rang, «le calcul du coût d'une pollution dangereuse pour la santé dépend des profits absorbés par l'accroissement de la morbidité et de la mortalité». Par ailleurs, «l'exigence d'un environnement propre pour des raisons d'esthétique et de santé dépend du niveau de vie»... Là où 200 enfants sur 1000 meurent avant l'âge de 5 ans, selon Summers, on se préoccupera moins du facteur écologique qu'en Occident! Le Nord est encombré de déchets. Alors, il transforme les pays du Sud en poubelles, contre «monnaie de singe». L'Europe n'échappe pas à cette stratégie suicidaire. La Roumanie et les États baltes sont visés. Ainsi, l'Allemagne envisage l'envoi de 3 millions de tonnes de voitures concassées dans les décharges roumaines. L'Italie, l'Autriche et la Suisse proposent à la Lituanie de recevoir des centaines de milliers de tonnes de produits contaminés et les Pays-Bas souhaitent voir l'Estonie devenir également leur poubelle.

Que sortira-t-il du «Sommet de Rio»? Cette conférence a la valeur d'un S.O.S. Mais le secours ne peut venir de l'initiative des hommes. La pollution physique va de pair avec la pollution morale, et la cause profonde de celle-ci est de nature spirituelle. Adam, sitôt créé, avait reçu de Dieu une mission écologique: cultiver et garder la terre (Gen. 2, 15). Par suite de la désobéissance initiale du premier couple humain, le péché est entré dans le monde et, avec lui, la mort. Du même coup, le sol s'est trouvé maudit (Gen. 3, 17). La pollution et les parasites qui affectent la nature procèdent de ce jugement. C'est pourquoi «la nature entière soupire et souffre» (Rom. 8, 22). Lors du rétablissement de toutes choses, quand Jésus, enfin, aura restauré l'ordre divin ici-bas, «les montagnes et les collines éclateront d'allégresse et tous les arbres de la campagne battront des mains»! (Es. 55, 12).

Si tout se dégrade et meurt, c'est que l'égoïsme, la recherche du profit immédiat par tous les moyens aveuglent les hommes. Et Mamon, l'argent, est un maître cruel.

Tout changerait vraiment si l'on appliquait tant soit peu le nouveau commandement de Jésus-Christ: «Aimez-vous les uns les autres» et l'exhortation connue mais si peu pratiquée de l'Apôtre: «que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres» (Phil. 2, 4). 

Un «Sommet de la Terre» fondant ses travaux sur une telle «Charte» serait, lui, assuré d'un mémorable succès!

Henri Gras

© AVÈNEMENT Juin 1992 No 46 


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