Il est écrit: TA PAROLE EST LA VERITE(Jean 17.17)... cela me suffit !

Environnement

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ÉTATS-UNIS: LE DR ZAVOS COMPTE IMPLANTER UN EMBRYON HUMAIN OBTENU PAR CLONAGE

L'andrologue américain Panayiotis Zavos a obtenu un embryon humain par la technique du clonage et compte l'implanter dans l'utérus d'une femme dans «les semaines à venir», a-t-il indiqué lundi.

L'embryon, créé à partir de cellules d'une Américaine de 45 ans, a été cultivé pendant 92 heures, jusqu'au stade de «huit à dix» cellules, avant d'être congelé pour des tests génétiques, a précisé le Dr Zavos, lors d'un entretien téléphonique depuis Lexington (Kentucky, centre-est).

L'obtention par clonage de cet embryon humain, le premier obtenu par son équipe à des fins de reproduction, fait l'objet d'une publication scientifique en ligne sur le site Reproductive Bio-Medecine (RBM online), dirigée par Robert Edwards, le «père» du premier «bébé-éprouvette» conçu par fertilisation in vitro en 1978.

«L'embryon est congelé pour l'instant mais pas pour très longtemps», a-t-il affirmé, en invoquant la nécessité de s'assurer de la viabilité de l'embryon. 

Les tests génétiques ont été confiés à des scientifiques indépendants, dont il n'a pas voulu révéler le nom. «Nous allons tout faire pour étudier sa stabilité génétique et son état biologique et sa capacité à donner naissance à un enfant en bonne santé. Nous prendrons alors une décision médicale, scientifique, pour déterminer si cet embryon vaut la peine d'être implanté», a-t-il poursuivi.

L'expérience s'est déroulée dans un laboratoire secret hors des États-Unis, dans un pays que le Dr Zavos n'a pas voulu dévoiler. Sa tentative est filmée par un réalisateur britannique, Peter Williams, et un premier film doit être diffusé samedi prochain sur la chaîne britannique Channel 4, a précisé l'andrologue américain. 

La chimiste française Brigitte Boisselier de la secte des raéliens avait annoncé fin décembre, sans aucune preuve à l'appui, la naissance du soit-disant premier bébé conçu par clonage, puis d'autres naissances un peu partout dans le monde dans les semaines qui ont suivi.

La communauté scientifique a accueilli avec le plus grand scepticisme ces annonces non prouvées de clonage humain, d'autant qu'elles proviennent d'une secte versée dans la science-fiction. La plupart des chercheurs ont même crié à la supercherie, accusant les raéliens de vouloir se faire de la publicité à bon compte. Le Dr Zavos a regretté l'opprobe créée par cette controverse. «En allant si loin, en faisant autant et en montrant si peu, elle a fait, au monde et à nous, beaucoup de tort», a-t-il dit.

(AFP/ SOS-Planète/ CPDH) ajouté le 13/5/2003

© Voxdei 13-05-2003

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DES MÉDECINS CHINOIS CULTIVENT DES COEURS DE BÉBÉS AVORTÉS

NDLR: Sans commentaire devant cet acte d'une horreur pis qu'abominable.

Des médecins chinois se vantent d'avoir prélevé des coeurs de bébés pendant l'avortement et ensuite d'avoir conservé vivants les coeurs dans une culture fluide. 

Le docteur Wang Gong, médecin assistant au laboratoire de procréation à l'hôpital des Femmes et Enfants à la ville de Shengyang a déclaré qu'un de ces coeurs humains a survécu pendant 13 jours, et un autre pendant 9 jours. 

Le premier coeur venait d'un bébé avorté le 5 juin 2003, âgé de 7,5 semaines. 

Wang dit qu'il a prélevé le coeur, qu'il l'a déposé dans la culture et qu'il était heureux de le trouver en vie le lendemain. 

Au microscope il a observé que les cellules du coeur, encore palpitant, étaient en train de se diviser. 

«Ceci prouve qu'il grandissait», dit il tout excité.

(UNEC) ajouté le 24/6/2003

©  Voxdei 24-06-2003


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CRÉATION DU PREMIER EMBRYON HUMAIN BISEXUÉ

NDLR: Au delà de l'horreur contre-nature du mariage homo, voici l'étape suivante de «l'évolution génétique»: l'être humain à la fois homme et femme...

Le Centre de Reproduction Humaine de Chicago a profité du congrès annuel de la Société européenne de reproduction humaine et d'embryologie pour présenter leurs expériences: ils ont créé un embryon bisexué. Plus exactement, ils ont injecté des cellules masculines dans un embryon féminin aboutissant à la formation d'un embryon bisexué. L'embryon ainsi transformé a été détruit à quelques jours. 

Le Dr Norbert Gliecher, directeur de la recherche, a expliqué que le but de cette expérience serait thérapeutique puisqu'il s'agirait d'injecter chez un embryon malade les cellules d'un embryon sain. 

Cette annonce a suscité beaucoup de réactions chez les scientifiques. Le Pr australien Alan Trounson, connu pourtant pour ses expériences controversées sur les embryons humains (cf. revue de presse du 28/01/03), a clairement exprimé son opposition: «je ne trouve aucune logique à ce qu'ils veulent faire, cela me semble complètement défectueux».

(BBC News/ The Independant) ajouté le 3/7/2003

© Voxdei 03-07-2003


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À L'ORIGINE, LES SERPENTS AVAIENT DES PATTES

Un détail du récit biblique de la chute a été confirmé par la science.

Des chercheurs de l'université hébraïque de Jérusalem ont trouvé la preuve que les serpents préhistoriques étaient des animaux rampants dotés de minuscules pattes. À proximité de Ramallah, ces chercheurs ont découvert trois fossiles de serpents avec de petites pattes.

La Bible raconte comment le serpent a séduit Ève pour qu'elle mange du fruit défendu. Pour ce méfait, Dieu l'a puni en lui disant (Gen. 3, 14): «Puisque tu as fait cela, tu seras maudit entre tout le bétail et entre tous les animaux des champs, tu marcheras sur ton ventre, et tu mangeras de la poussière tous les jours de ta vie.» (Ethos n° 2/ 1998)

Voilà une autre preuve que la Bible n'est pas un livre d'invention d'humaine, mais l'oeuvre et la révélation de Dieu, Quelle idée, n'est-ce pas, de prétendre que les serpents avaient à l'origine des pattes! L'auteur du texte aurait quand même pu inventer autre chose!

Cela n'aurait en effet pas de sens, s'il ne s'y cachait pas une vérité profonde, Si les Saintes Ecritures ont affirmé, voici plusieurs milliers d'années, des choses qui sont actuellement prouvées par la science, Dieu veut nous montrer ainsi que la création n'est pas le résultat d'une évolution, mais de Sa parole. A propos de la révélation divine que nous trouvons dans la Bible, quelqu'un a dit: «La Bible est une source intarissable de révélations de la vérité. Comme un télescope, elle sonde l'univers depuis la hauteur du ciel jusqu'à la profondeur de l'enfer et elle observe les oeuvres de Dieu du début jusqu'à la fin. Tel un microscope, elle dévoile les détails les plus anodins du plan et des intentions de Dieu, ainsi que la perfection de Sa création. Comme un stéréoscope, elle établit les rapports exacts entre tous les êtres vivants et toutes les choses du ciel et de la terre. Bien que beaucoup de livres de la Bible aient été écrits à l'aube de la science humaine et sans que les auteurs n'aient connaissance des découvertes de notre époque, rien de ce qu'ils ont écrit n'est en contradiction avec les découvertes postérieures. On est surpris par la concordance des vieux livres de la Bible avec les situations modernes. Il n'existe dans le monde entier nul autre livre qui essaie seulement de présenter la vérité universelle de la façon dont la Bible le fait. »

Nous sommes tout à fait d'accord avec la parole du Psaume 119, 160:

«Le principe de ta parole est la vérité, et toute ordonnance de ta justice est éternelle.»

N.L.  

© Appel de Minuit MAI 1998


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L'ANCIEN TESTAMENT, MANUEL D'ÉCOLOGIE

La Bible comme une source de conseils spécialisés dans les questions d'environnement

Aloys Hüttermann (55 ans) est professeur de botanique à l'Université de Göttingen et catholique pratiquant. Pendant ses loisirs, il se penche sur le judaïsme et étudie intensivement la Bible. Il a fait une découverte étonnante: il a découvert dans l'Ancien Testament des connaissances écologiques parfaitement fondées. Après avoir quitté l'Égypte, les Juifs se rendirent en Palestine. Ils durent séjourner dans des contrées inhospitalières. Les terres fertiles étaient occupées par les Philistins.

La plupart des lieux mentionnés dans l'Ancien Testament se trouvent dans des massifs montagneux pauvres où seul un type d'épineux, la macchia, croissait à l'origine. «Les hommes qui y vivaient étaient en permanence au bord de la catastrophe écologique», explique Hüttermann. «Pour survivre, ils étaient contraints d'observer minutieusement la nature.» En conséquence, des règles écologiques strictes virent le jour. La consommation de viande de porc est strictement interdite aux Juifs. «L'élevage des porcins est un pur luxe», explique Hüttermann. «Pour obtenir un kilo de viande de porc, il faut trois fois plus de nourriture que pour le boeuf.» Par contre, les boeufs étaient les animaux les mieux à même d'exploiter les ressources disponibles, et étaient connus comme gros producteurs de protéines.

La liste des animaux interdits jouait pour ainsi dire un rôle de «liste rouge» motivée par l'écologie. Tritons, crapauds et grenouilles étaient considérés comme impurs. Ces mesures ont permis de lutter contre la malaria dans l'Israël antique. Les grenouilles sont les principaux prédateurs de l'anophèle, moustique agent de transmission du paludisme. Les vautours, corbeaux et corneilles étaient sous protection: c'était la police sanitaire. L'ensemble des oiseaux de proie ne pouvaient être chassés, car ils limitaient le nombre de souris. Les hérons et les ibis étaient les prédateurs privilégiés des sauterelles, forme antique de lutte biologique contre les nuisibles. «Non seulement les Juifs de l'Antiquité connaissaient le concept de la conservation des espèces, mais en outre, ils préservaient déjà le biotope», constate Hüttermann.

Dans le livre d'Ésaïe, chapitre 5,8-10, il est écrit: «Malheur à ceux qui ajoutent maison à maison, et qui joignent champ à champ, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus d'espace, et qu'ils habitent seuls au milieu du pays! Voici ce que m'a révélé l'Éternel des armées, Certainement, ces maisons nombreuses seront dévastées, ces grandes et belles maisons n'auront plus d'habitants. Même dix arpents de vigne ne produiront qu'un bath, et un homer de semence ne produira qu'un épha» «C'est un avertissement», prévient Hüttermann: «Une exploitation intensive des surfaces arables prive d'espace vital les prédateurs naturels des nuisibles.» La succession des plaies d'Égypte traduit également, selon Hüttermann, une connaissance approfondie de l'écologie: le Nil commence par se transformer en sang (1ère plaie)... du sang qui, en réalité, est une invasion d'algues. Le manque d'oxygène qui en résulte fait sortir les grenouilles de l'eau (2ème plaie).

En l'absence de leurs ennemis naturels, les moustiques et taons (3ème et 4ème plaie) peuvent proliférer et transmettre les épidémies aux humains et aux animaux (5ème et 6ème plaie); enfin, les sauterelles s'abattent sur le pays (8ème plaie). Selon Hüttermann «les auteurs de la Bible avaient certainement connaissance des rapports de cause à effet». Les lois écologiques étaient strictement respectées, même si cela présupposait de nombreux inconvénients économiques. Ainsi, après la fin de la Révolte contre Rome (70 après J.C.), il fut interdit aux Juifs de posséder des moutons et des chèvres afin de ne pas dévaster davantage encore le pays détruit. Dans le Nouveau Testament, l'écologie ne joue plus aucun rôle. «Le judaïsme ainsi que le christianisme étaient des religions purement urbaines». Ce n'est qu'aux Xllème et XIIIème siècles que les théologiens chrétiens redécouvriront la nature. «Mais ils y ont eu accès par le philosophe grec Aristote», commente Hüttermann, «et non par la Bible». Hüttermann est le seul citoyen allemand à avoir été cité à l'International Council for Thora and Science pour ses recherches sur la Bible. (DW)

©  Nouvelles d'Israël 02 / 1994


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CHARME NATUREL: L’HOMME APPREND DES ANIMAUX

La découverte est exceptionnelle: en forant un plateau calcaire, en Roumanie, es ingénieurs viennent de trouver une grotte entièrement fermée et sans lumière, où se sont développés, depuis plusieurs milliers d'années, des êtres vivants particuliers parmi lesquels 27 espèces animales jusqu'alors inconnues. Des araignées, des sangsues, des mollusques, des crustacés et un insecte carnassier d'une taille impressionnante (une nèpe) se sont adaptés à cet espace fermé, hostile à l'homme.

En cette fin de XXe siècle, l'homme ne connaît qu'un million et demi d'espèces vivantes; les spécialistes estiment qu'il pourrait en exister quelque 30 millions: nous n'en connaîtrions donc que 20%! Mais ce que nous en savons donne déjà le vertige et confirme l'affirmation de l'apôtre Paul: «les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient comme à l'oeil nu, depuis la création du monde, quand on les considère dans ses ouvrages» (Rom. 1, 20).

Si l'on prend l'exemple des insectes (qui représentent les 4 cinquièmes des espèces vivantes), on peut s'attarder sur les tardigrades dont la taille ne dépasse pas quelques millimètres. Répartis sur toute la surface du globe, ces animaux supportent aussi bien la proximité des sources chaudes, où la température de l'eau atteint 44°, qu'un froid de l'ordre de - 250' dans l'Antarctique.

L'observation scientifique peut aussi aller à l'encontre des «idées reçues». On croit, par exemple, que, comme le serpent maudit par Dieu (Genèse 3, 14), les vers et autres vermisseaux sans pattes sont condamnés à ramper sur le sol. Et bien non! Un entomologiste Sud-africain a découvert une exception d'environ 9 millimètres: la larve de la mouche méditerranéenne «fruitfly» réussit à exécuter des bonds de 20 centimètres en s'arc-boutant pour accumuler sur tout son corps l'énergie nécessaire à ce saut prodigieux.

Les abeilles, pour leur part, ont élaboré l'un des systèmes de communication social les plus développés: par une danse au code ingénieux, les abeilles dites «éclaireuses» indiquent aux butineuses les sites riches en pollen qu'elles ont découvert; mais ce n'est pas tout: plus le «filon» découvert est riche, plus les éclaireuses élèvent la température de leur corps; des spécialistes autrichiens ont constaté que les insectes faisaient passer leur température thoracique de 35' (température normale) à 38,3° si on leur présentait une solution sucrée à 17%, à 40' pour une solution sucrée à 51%, cette température pouvant atteindre 43°!

Ces découvertes, toutes récentes forcent d'autant plus l'admiration qu'elles peuvent ouvrir de fantastiques perspectives.

Les spécialistes des maladies osseuses attendent ainsi beaucoup de l'observation des ours: ceux-ci arrivent en effet à rester en état de somnolence pendant les trois mois d'hiver sans que leur corps n'ait à souffrir de l'accumulation de l'urée qui aurait dû être filtrée par les reins et éliminée dans l'urine si l'animal n'avait pas dormi. Des lésions osseuses et organiques seraient inévitables chez l'homme. Comment sont-elles évitées chez l'ours? Le rythme et les ressources biologiques de ce cher plantigrade sont donc l'objet d'examens minutieux! Dans un autre domaine, des chercheurs de Tucson, aux États-Unis, étudient attentivement le tilapia: ce petit poisson a en effet la particularité de grossir de 10 grammes quand on lui donne 15 grammes d'aliments aussi «ordinaires» que des algues; pour prendre 10 grammes supplémentaires, un thon, lui, exigerait de manger 120 grammes de petits poissons qui eux-mêmes auraient dû se nourrir de 10 kilos de plancton végétal. Les qualités du tilapia sont donc appelées à être développées dans le cadre des programmes de recherche contre la faim dans le monde.

Mais là réside le danger: jusqu'où peut-on aller? Si les études scientifiques sont d'un grand intérêt pour comprendre notre monde et notre environnement, le Seigneur nous a donné une intelligence pour bien «canaliser» nos découvertes (Dan. 2, 21: «c'est lui qui donne la science à ceux qui ont l'intelligence»). S'émerveiller de la nature qui s'offre à nous de nos jours n'autorise pas forcément les manipulations pour l'avenir.

Michel Béghin

©  AVENEMENT Octobre 1992 No 52 


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DARWIN REMERCIÉ

Le conseil de l'éducation de l'État du Kansas a décidé de supprimer des programmes d'examens scolaires des écoles publiques toute référence à la théorie sur l'évolution des espèces. Si les professeurs de sciences sont libres de continuer à l'enseigner, elle ne sera plus un sujet d'examen. Un sondage récent établit que 44% des Américains croient que l'homme a été créé pratiquement dans sa forme actuelle en une seule fois. 

© La Bonne Nouvelle No 2 / 2000

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DÉMOGRAPHIE: LES COMPTES DÉFAITS 1992

Il y a 5 ans, pendant l'été 1987, les médias du monde entier relayèrent la nouvelle: le 11 juillet 1987 (!) naîtrait le 5 milliardième homme sur notre planète, certains précisaient même que ce serait en Yougoslavie! Lorsqu'on sait que nos pays occidentaux, eux-mêmes, s'accordent une marge d'erreur de 2% lors des recensements (soit près d'un million d'habitants pour un pays comme la France), que l'on ne peut anticiper le nombre de décès, et que le nombre de naissances lui-même est approximatif, de telles extrapolations feraient sourire si elles ne véhiculaient pas des idées dont la portée est beaucoup plus grave pour l'humanité toute entière.

Surpopulation, explosion démographique, faim dans le monde font régulièrement la une des médias et semblent faire peser des menaces «apocalyptiques» sur notre planète.

Le sujet n'est pas nouveau. Déjà dans la Grèce antique, Platon développait cette idée: «les richesses ne sont pas extensibles et il faut fixer un nombre maximum d'hommes libres» allant jusqu'à fixer à 5040 le nombre de foyers par cité. Théoricien d'une société étatique où le pouvoir central évacue la famille et impose un ordre démographique, il évoquera l'eugénisme même si c'est Aristote qui le développera: «on prendra des mesures pour que les qualités physiques des enfants puissent répondre aux voeux du législateur» (in «La Politique»). L'étatisme démographique vient donc de loin et si l'histoire en démontre le mythe par l'exemple de la Grèce, d'autres allaient prendre la relève. L'école anglaise, dès le XVIe siècle, fut particulièrement féconde. Par la suite, des hommes comme Thomas Moore (1779-1852) proposèrent un certain nombre de méthodes pour empêcher la population de trop croître.

Plus près de nous, Francis Bacon ou Thomas Hops développèrent ces idées par rapport aux ressources supposées de la terre. Les intellectuels français restèrent, par contre, plutôt natalistes: «bien cultivée, la terre nourrirait 100 fois plus d'hommes qu'elle n'en nourrit» (Fénelon, en 1699, dans «Télémaque»).

Mais c'est, sans conteste possible, Thomas Robert Malthus, pasteur anglican et économiste anglais (1766-1834) qui développa et institua la doctrine qui allait porter son nom et qui aujourd'hui marque profondément notre mentalité. Dans son «Essai sur le principe de population» (1798), il défendit la thèse selon laquelle la pauvreté de la population ne peut être combattue que par une limitation démographique des classes défavorisées et conclut à la nécessité de combattre la natalité dans ces milieux. «Dans le grand banquet de la nature, il n'y a pas de couverts vacants pour eux et la nature leur donne l'ordre de s'en aller».

Plus près de nous, c'est la même idéologie qui anima les travaux du Club de Rome. Dès sa création, en 1968, il afficha clairement sa pensée malthusienne: «la croissance exponentielle est une caractéristique intrinsèque de la population et du capital industriels, mais non point de la technologie. Il s'agit là non point d'une hypothèse arbitraire mais d'un fait établi par les données empiriques (citées nulle part!) et la connaissance des causes sous-jacentes». Ce sommet de la «langue de bois» illustre parfaitement le malthusianisme technocratique qui régit la plupart des grands organismes internationaux officiels comme l'ONU ou plus occultes comme la Trilatérale et le Bilderberg Group: cet organisme est notamment contrôlé par le groupe Rockfeller, par ailleurs inspirateur et financier direct du Planning familial américain, de la Commission nationale américaine pour l'UNESCO, de l'Association américaine pour l'étude de l'avortement, du Comité d'étude de la crise démographique et de milliers d'autres associations, fondations, académies, organes de presse et ONG (Organisations non gouvernementales), tissant une toile couvrant la totalité de la planète.

«Il y a une explosion démographique massive. Ceux d'entre nous qui décident de ne pas avoir d'enfants sont vraiment des citoyens modèles» déclarait dernièrement Carol Thatcher, fille de l'ancien Premier ministre britannique à l'Evening Standard.

Pourtant, de plus en plus de démographes, d'économistes et de sociologues remettent ce dogme en question même si la pression idéologique et médiatique reste grande. Des hommes comme Pierre Chaunu ou Gérard François Dumont dénoncent depuis longtemps ce mythe de la surpopulation. Preuves à l'appui.

L'Histoire du monde, tout d'abord, est un démenti constant des théories de Malthus. C'est là le grand paradoxe: ses ressources augmentent au fur et à mesure que l'humanité avance.

Colbert disait: «la France périra par manque de bois» et, à l'époque, la courbe de la déforestation conduisait à la disparition des forêts du pays. Le besoin, et c'est ainsi depuis les origines de l'homme, engendra un mécanisme de créativité avec l'utilisation du charbon. Même si, là aussi, certains prédirent comme un économiste anglais du XIXe siècle, que l'industrie anglaise devrait s'arrêter vers 1900 pour cause de pénurie de charbon. Nous connaissons la suite. Il y a une vingtaine d'années, le Club de Rome annonçait lui aussi la pénurie de pétrole. Rappelons qu'aujourd'hui, le prix du pétrole brut (en Francs constants) est inférieur au prix du pétrole brut tel qu'il était avant le premier choc pétrolier, en 1973.

La croissance des besoins suscite des solutions nouvelles. Il y a aujourd'hui sur la terre plus de ressources qu'il y en a jamais eu. Depuis deux siècles, les hommes sont de plus en plus nombreux et consomment de plus en plus d'énergie et pourtant les ressources connues dépassent toujours les besoins. Ainsi, l'homme, avant d'être un facteur de consommation, est d'abord un outil de production. Le bébé ne serait-il qu'un consommateur passif qui vient prélever les ressources de la terre, un danger, une menace pour la survie de l'humanité?

C'est dans ces thèses que viennent puiser les tenants de l'avortement et de l'euthanasie, oubliant, là encore, les leçons de l'Histoire. La venue de l'enfant stimule au contraire les adultes à devenir novateurs pour accueillir dans les meilleures conditions ce petit homme. La famille, la commune et l'État doivent s'adapter et innover pour accueillir les enfants: ceux-ci sont donc bien des éléments actifs de la population. C'est vrai dans les ressources énergétiques comme pour les ressources alimentaires. Jean-Claude Chesnais, directeur de l'INED (Institut national des études démographiques) de Paris, confirmait, à la suite de nombreux experts en techniques de l'alimentation, que la planète a une «capacité porteuse» de 40 à 50 milliards d'êtres humains.


Alors, que dire d'un problème comme la faim dans le monde?

«40 000 enfants meurent de faim chaque jour» slogan choc mais faux! Cela signifierait que la faim «tue» 15 milliards d'enfants par an. Or, on estime les décès annuels d'enfants de moins de 4 ans, toutes causes confondues, à 9 millions.

Il est connu que certains organismes qui luttent contre la misère gonflent les chiffres pour des motifs politiques ou financiers (collecte de fonds) même si, cela est vrai, les enfants sont les premières victimes de la famine. Les statistiques concernant les êtres humains qui n'ont pas une alimentation suffisante varient énormément selon les organisations internationales. Pour la FAO (Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture), 512 millions d'hommes souffriraient de malnutrition alors que, selon la banque mondiale, il y en aurait 730 millions. Les affamés et «malnutris» ne se font pas recenser!

On évalue leur nombre en divisant la quantité de nourriture disponible (convertie en calories) par le nombre d'habitants du pays concerné. Ce sont les gouvernements de chaque pays qui fournissent ces chiffres, et ils n'ont pas toujours d'outils statistiques très précis, exagérant même la gravité de la situation pour recevoir plus d'aide de l'étranger... Il y a 30 ans, on disait que l'Afrique avait des chances de se développer alors que l'Asie était vouée à la surpopulation, à la malnutrition et à la famine du fait d'un double handicap:

1) une densité de population largement supérieure à celle de l'Afrique

2) une densité rapportée à ses terres arables deux fois supérieure à celle du continent africain.

Or, c'est exactement l'inverse qui s'est produit: l'Asie, d'une façon générale, s'en est mieux sortie!

D'une part, parce que la pression démographique a imposé à la plupart des pays concernés plus d'efforts et de rigueur: ils n'ont pas fait certains choix économiques erronés comme certains pays africains qui, au contraire, ont développé des industries de prestige, lourdes, qui ne répondaient pas aux besoins des populations. Sans parler des problèmes de corruption, gabegie, et racisme inter-ethnique.

D'autre part, certains choix politiques ont ruiné plus sûrement ces pays africains qu'une démographie importante, certes, mais qui aurait pu, là aussi, être facteur de développement: problèmes démographiques au Soudan qui compte moins de 10 habitants au km2 ou en Angola avec 8 habitants au km2? L'Éthiopie, qui était le grenier de l'Afrique? Etc...

Selon le dernier rapport de l'UNICEF sur la situation des enfants dans le monde, les 46 pays les plus pauvres du monde consacrent presque autant de ressources à leurs armées qu'à la santé et à l'éducation réunies...


Dieu a-t-il réellement dit: «croissez et multipliez»? L'enfant, de bénédiction serait-il devenu malédiction? La tentation malthusienne est très présente dans nos églises qui risquent de subir le même vieillissement que nos pays occidentaux. Avoir des enfants aujourd'hui (et pas seulement 1, 2 ou 3 comme le monde autour de nous) peut être un signe: signe d'espérance, non en l'homme mais en Dieu. N'aurait-il pas prévu ces questions démographiques? Dieu serait-il irresponsable?

En mettant les 5 milliards d'hommes de la planète en Amérique du Nord, la densité de la population aurait celle de l'Allemagne de l'Ouest. Si toute la nourriture produite aujourd'hui dans le monde était équitablement distribuée, chaque individu disposerait d'environ 2600 calories/jour, soit plus que le minimum nécessaire.

Oui, Dieu avait tout prévu. Mais le problème est dans le coeur de l'homme et il est tortueux.

Daniel Rivaud

© AVÈNEMENT Juin 1992 No 48 / P 11


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L'ÉVOLUTION: UNE THEORIE EN CRISE.

Depuis 1859, année où Darwin publia son ouvrage «De l'Origine des Espèces», la théorie de l'Évolution est enseignée dans nos écoles et nos universités, non pas comme une théorie, mais comme un fait scientifique avéré. 

Seuls quelques chrétiens «fondamentalistes» attachés aux Saintes Écritures voulaient encore croire à une Création à partir de rien (ex nihilo) par le Dieu de la Bible. Ils sont la risée de tous, méprisés comme de pauvres naïfs refusant de voir l'évidence de l'évolution de l'homme... 

En réalité, les évidences sont minces, pour ne pas dire inexistantes. Les plus grands scientifiques de notre ère, tous évolutionnistes à quelques exceptions près sont en train de réaliser que la théorie de l'Évolution est un produit de l'athéisme de la fin du XIXe siècle et non une explication scientifique véritable de ce qu'on observe dans la nature. Le physicien anglais H.S. Lipson, dans le Physics Bulletin de mai 1980 a fait part, également, de ses conclusions, à son propre étonnement. Il écrit: «En fait, l'Évolution est devenue en quelque sorte une religion scientifique; presque tous les savants l'ont accepté et beaucoup furent prêts à «tordre» leurs observations pour qu'elles correspondent à cette théorie, mais pour moi, la théorie de l'Évolution ne tient pas debout. Si la matière vivante n'est pas le produit de l'interaction entre les atomes, les forces naturelles et les radiations, alors comment est-elle apparue? Je pense que la seule explication acceptable est la création. Je sais que cette idée est taboue parmi les physiciens, comme elle l'était jusque-là pour moi, mais on ne doit pas rejeter une théorie que nous n'aimons pas si l'évidence expérimentale est en sa faveur.» 

Mais dès 1967, une conférence de mathématiciens au Wistar Institute avait prouvé avec certitude que la sélection naturelle et les mutations génétiques ne pouvaient en aucun cas amener une évolution des espèces. Jacques Monod, le Prix Nobel français de biologie moléculaire, avait démontré dans son livre «Le Hasard et la Nécessité» que l'Évolution était impossible d'un point de vue biologique. En 1980, une conférence de savants évolutionnistes du monde entier, s'est réunie à Chicago (USA) pour déterminer si les petits changements au sein d'une même espèce (appelés «mutations») peuvent, avec le temps et la chance, mener à une évolution de l'espèce. La conclusion, impensable il y a encore quelques années, fut que NON (les résultats de cette conférence ont été résumés dans le magazine Newsweek pour les profanes et le magazine Science de novembre 1980 pour les professionnels). 

Pierre Grasse, par exemple, considéré comme le porte-parole des zoologistes français, avoue que les mutations ne font que modifier ce qui existait déjà et ne créent rien de nouveau. Les paléontologues (qui s'occupent des fossiles) ont déclaré que les évidences fossiles révèlent que la réalité est bien loin du Darwinisme classique, tel qu'il est enseigné dans les écoles américaines (article de Newsweek). Stephen Gould ajouta: Toute trace d'évolution est absente des roches. Newsweek fait remarquer que le chaînon manquant entre l'homme et le singe est le plus prestigieux de toute une hiérarchie de créatures fantômes. Dans le monde fossile, les chaînons manquants sont la règle.   Plus les scientifiques ont cherché des formes de transition entre espèces et plus ils ont été frustrés.   

Deux autres savants, astronomes et mathématiciens, Sir Fred Hoyle et Chandra Wickramasinghe, ont défrayé la chronique en novembre 1981 par leur révélation. Sir Fred Hoyle, considéré comme l'un des plus éminents astronomes au monde, et jusque-là évolutionniste convaincu, a publié un article dans le magazine Nature sous ce titre: Il doit y avoir un Dieu. Les deux savants ont travaillé chacun de leur côté pour arriver aux mêmes conclusions: la vie n'est pas le résultat du temps, du hasard et des propriétés de la matière, mais d'une action délibérée. Hoyle était un agnostique et Wickramasinghe un bouddhiste athée qui, selon ses propres mots, avait subi un lavage de cerveau l'amenant à penser que la Science s'opposait totalement à tout acte de création. 

Un autre savant éminent, le Prix Nobel Szent-Gyorgyi, a déclaré, après avoir étudié un oiseau comme le pivert, que la probabilité pour que des mutations aient produit une coordination si parfaite pour creuser le bois est nulle. Tout cela a dû apparaître au même moment. C'est bien sûr ce que le récit biblique décrit depuis toujours. «Au commencement, Dieu créa le ciel et la terre» (Genèse 1:1). L'homme essaye de fuir cette vérité parce qu'il refuse de se soumettre à son Créateur. 

Mais la réalité d'un Créateur intelligent et aimant est trop évidente pour rester cachée plus longtemps: «Les perfections invisibles de Dieu, sa puissance éternelle et sa divinité se voient comme à l'oeil nu depuis la création du monde, quand on les considère dans Ses ouvrages.» (Romains 1: 20). 

© Source: Bibliste

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FLORE ET FAUNE BIBLIQUES VIVANTES ET PROSPÈRES EN ISRAËL

La sauge, l'olivier et la rose du Saron

«Mon bien-aimé est semblable à la gazelle» (Cantique des Cantiques 2, 9). 

«Je poussais des cris comme une hirondelle en voltigeant, je gémissais comme une colombe» (Ésaïe 38,14).

«... «Ses rameaux étaient comme des cèdres de Dieu; elle étendait ses branches jusqu'à la mer et ses rejetons jusqu'au fleuve» (Ps. 80, 11-12).

 

La Bible contient beaucoup de passages semblables, animés d'une profonde connaissance du pays et de son – écologie. En gros, plus de 220 espèces de plantes et d'animaux y sont citées. Bien des exemples sont descriptifs et à prendre au mot. D'autres par contre sont symboliques, mais tous ont un lien précis avec le peuple, le pays et le Créateur de toute vie. De nombreuses caractéristiques de cette écologie biblique forment encore aujourd'hui une partie de ce pays, depuis la Galilée dans le nord jusqu'au Negev dans le sud. Le retour du peuple juif dans cette région a occasionné un sentiment d'inspiration biblique de relation avec le pays, et conduit à une étude approfondie de la flore et la faune si familières aux patriarches et aux prophètes. On trouve parmi les résultats de ces recherches deux plans de protection incomparables:Ne'ot Kedumim, «les jardins d'Israël», et Chai-Bar, la réserve de la faune biblique.


La sauge, l'olivier et la rose du Saron

Ne'ot Kedumim, oeuvre du botaniste Noga Hare'uveni, s'étend sur plus de 200 hectares au travers d'un paysage montagneux, à mi-chemin entre Jérusalem et Tel Aviv. Quelques parcelles de cette superficie sont boisées et présentent pratiquement toutes les plantes, arbrisseaux et arbres. Il existe aussi des modèles spécifiques décrits par le prophète Ésaïe et d'autres.

Au moyen de textes et de schémas le long des sentiers, ainsi que d'objets d'exposition au centre d'étude richement aménagé de Ne'ot Kedumim, on donne au visiteur une idée de ce qui a permis aux divers aspects de la flore de devenir partie intégrante de la culture et de l'expression juive. Le parallèle impressionnant entre la formation de la branche d'une certaine espèce de sauge – en hébreu «Moriah»

– et le chandelier à sept branches ou la Menorah, est un exemple remarquable. La Menorah avait d'abord sa place dans la tente d'assignation, plus tard dans le temple à Jérusalem. Aujourd'hui elle est l'emblème de l'État d'Israël. Le livre de l'Exode utilise généralement des expressions botaniques pour la description de la Menorah: «... sa tige, ses calices, ses pommes et ses fleurs...» (Ex. 37,17).

La directrice de Ne'ot Kedumim, Helen Frenkley, démontre l'effet que le vent provoque dans les arbres d'une oliveraie. Comme l'envers des feuilles d'olivier est argenté, les arbres donnent l'impression d'être illuminés aussitôt que le vent retourne les feuilles. Elle remarque que «la colombe mentionnée dans le récit de l'arche de Noé avait porté une feuille d'olivier dans son bec». Mlle Frenkley fait observer que la Bible est pleine d'informations pratiques en ce qui concerne le pays.

Le livre d'Ésaïe, par exemple, donne une description précise de tous les détails de la construction des terrasses, qui sont une condition pour l'aménagement d'un terrain montagneux. «Ici, nous cultivons un vignoble en suivant exactement la description du prophète Ésaïe», raconte-t-elle. «Nous avons construit des terrasses, planté des sarments et entouré les terrasses de petits buissons piquants – haies d'Ésaïe – pour empêcher les gazelles de pénétrer dans le vignoble et de dévorer les jeunes vignes.»

Cependant, avant que l'association d'étude Ne'ot Kedumim atteigne ce stade, elle avait à affronter des problèmes écologiques inconnus au temps biblique. Helen Frenkley dit: «La négligence au travers des siècles ainsi que les érosions, ont privé ces collines autrefois fertiles de toute végétation et les a appauvries du terrain nécessaire. Nous avons monté de la bonne terre au haut des pentes et réinstallé les talus en pierre, en nous servant du plan original vieux de 3000 ans.» 

Aujourd'hui, Ne'ot Kedumim forme un microcosme de l'écologie biblique et un centre de recherche important dans ce domaine. Les visiteurs qui se promènent le long des sentiers découvrent beaucoup de nouvelles choses. Savaient-ils, par exemple, que la célèbre «rose du Saron» est en réalité une tulipe? Ou que la Bible parle de la graine du caroubier comme étant la plus légère? En effet, cette graine correspond presque au poids des normes actuelles de la joaillerie (0,0069 once ou env. 0,2 gr.). Son nom hébreu nous a fourni le mot international «carat».


© Nouvelles d'Israël 03 / 1984

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NAISSANCE D'UNE NOUVELLE ÎLE 1995

Tonga: L'éruption d'un volcan sous-marin a donné naissance à une nouvelle île dans l'archipel de Tonga. Cette 152 ème île occupe environ 1 hectare et culmine à une hauteur de 15 m.

Elle sera peut-être baptisée du nom de Jonah, en référence à une vedette de rugby des All Blacks (NZ) dont la famille est originaire du Tonga.

© AVÈNEMENT Août-septembre 1995 No 86-87

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