DES
OURAGANS COMME DES MESSAGERS DE DIEU De
plus en plus de cyclones.
Au cours de la saison des ouragans de 1998, de nombreux cyclones ont causé des dégâts qui se chiffrent en milliards, bien plus que la moyenne. D'après les estimations du groupe des plus grandes compagnies d'assurances mondiales, «Rück» de Munich, les dommages au plan économique du seul typhon «Georges» s'élèvent à plus de dix milliards de dollars. «Georges» a déferlé sur les Caraïbes jusqu'au continent américain il y a trois semaines. Les dégâts couverts par les assurances sont en tout de l'ordre de trois à quatre milliards de dollars. Douze cyclones tropicaux, d'«Alex» jusqu'à «Lisa», ont fait rage de juin à la fin octobre, & passant ainsi la moyenne annuelle de dix. Le groupe d'assurances craint que dans le pire des cas, un cyclone sur la côte orientale des USA pourrait causer des dommages de l'ordre de 80 milliards de dollars. En Europe, il s'agirait au maximum de 30 milliards pour un ouragan. (Z 0, 14.10.1998) Nous pouvons voir dans ces ouragans, cyclones et inondations catastrophiques de plus en plus nombreux un discours spécial de Dieu pour notre époque. Il est écrit au Psaume 148, 8: «Feu et grêle, neige et brouillards, vents impétueux qui exécutez ses ordres ...» En un temps où les individus ne veulent plus prêter attention à la Parole de Dieu, le Seigneur parle de plus en plus par des catastrophes naturelles en accomplissement de Ses prophéties: «Il dit, et il fit souffler la tempête, qui souleva les flots de la mer» (Ps. 107, 25). Si l'Éternel se tut lors de la fuite de Jonas vers Tarsis, Il tint cependant un langage clair à travers la tempête: (Mais l'Éternel fit souffler sur la mer un vent impétueux, et il s'éleva sur la mer une grande tempête. Le navire menaçait de faire naufrage» (Jonas 1, 4). Ce message divin par le moyen d'un ouragan incita les hommes du navire, des païens, à se poser des questions concernant Dieu et contraignit Jonas à se rendre à Ninive, le but de son voyage. Le Seigneur Jésus a dit clairement à Ses disciples que les catastrophes naturelles de plus en plus nombreuses constitueront un signe divin du temps de la fin annonciateur, entre autres, de Son retour en gloire: «Il y aura des signes dans le soleil, dans la lune et dans les étoiles. Et sur la terre, il y aura de l'angoisse chez les nations qui ne sauront que faire, au bruit de la mer et des flots, les hommes rendant l'âme de terreur dans l'attente de ce qui surviendra pour la terre; car les puissances des cieux seront ébranlées. Alors on verra le Fils de l'homme venant sur une nuée avec puissance et une grande gloire. Quand ces choses commenceront à arriver, redressez-vous et levez vos têtes, parce que votre délivrance approche» (Luc 21, 25-28). Il est impératif que nous écoutions Celui à qui a été donnée la domination tant au ciel que sur la terre, qui tient les vents dans Sa main, car les signes précurseurs de la grande tribulation et des événements apocalyptiques du temps de la fin parlent un langage non équivoque. N.L. © Appel de Minuit 01 / 1999 Retour------------------------------------------------------------ |
À la mi-mai, les ménagères israéliennes sont montées au grenier, ont ouvert leurs armoires et ont ressorti – pour la troisième fois – les grosses chaussettes d'hiver. Un froid soudain et une vague de pluie les y avaient contraintes. Ce temps inhabituel a duré plusieurs jours. Ce froid glacial (température nocturne de 4' au-dessus de zéro à Jérusalem) au beau milieu du mois de mai, qui marque théoriquement la fin du printemps, n'avait plus été observé depuis cinquante ans. Un autre exemple des conditions météorologiques exceptionnelles de cette année: l'hiver 1991/92 a été le plus pluvieux de l'histoire d'Israël depuis 146 ans. Ce fut aussi l'un des hivers les plus froids et les plus neigeux, si l'on s'en réfère à l'ensemble des mesures consignées par écrit. Durant certains jours de cet hiver, on aurait pu croire au retour du déluge. Au début décembre, la pluviosité enregistrée dans certaines localités dont Jérusalem était supérieure de 400 % à la moyenne. Les fortes précipitations des mois suivants occasionnèrent d'énormes dommages: des champs furent inondés, des récoltes pourrirent, des maisons furent immergées jusqu'au plafond du premier étage. Le phénomène le plus impressionnant de cet hiver fut le niveau extraordinairement élevé des eaux du lac de Tibériade. À la fin de l'été dernier, il était dangereusement bas (moins 213 m), ce qui constituait une grave menace pour l'écologie, la faune aquatique et le régime des eaux en Israël. D'énormes quantités d'eau – environ 700 millions de m3 – étaient indispensables pour revenir au niveau maximal de 208,9 m. Même les experts les plus optimistes pensaient qu'il faudrait quatre années de fortes pluies pour remplir le lac. C'est alors que débuta le «déluge». En février, le niveau du lac monta de 50 cm en quatre jours! À titre de comparaison: durant tous les hivers «normaux» qui avaient précédé, la montée des eaux n'avait été que d'un mètre en tout. Mais il continua à pleuvoir et le niveau des eaux du lac grimpa tellement que les maisons situées en bordure de celui-ci furent inondées. Les barrages du lac furent ouverts, car on n'entrevoyait aucune autre possibilité. C'est ainsi que 200 millions de m3 de cette eau si précieuse s'écoulèrent (en vue d'éviter des inondations) du lac vers des réservoirs souterrains et vers la mer Morte. Que s'est-il produit cette année? Pourquoi ce «déluge» et ces vagues de froid? Comment en est-on arrivé à ce miracle qui a sauvé les réservoirs d'eau qui se tarissaient en Israël? Les scientifiques ont fourni une réponse à ces diverses questions: ils établissent un parallèle entre cette situation et la violente éruption du volcan Pinatubo aux Philippines durant l'été 91. L'éruption a donné naissance à un nuage de gaz et de poussières dans l'atmosphère. Ce nuage a arrêté les rayons du soleil, conduisant ainsi à un rafraîchissement de l'atmosphère. Étant donné que la mer se refroidit plus lentement, il en a résulté des écarts de température qui ont provoqué des pluies abondantes. À l'Université hébraïque de Jérusalem, deux chercheurs ont découvert qu'il existe un lien évident entre l'éruption d'un volcan et les chutes de pluies en Israël. MM. Na'ama Gazit-Yeari et Daniel Rosenfeld ont établi que depuis 1946, huit des neuf années les plus pluvieuses en Israël étaient en relation directe avec une éruption volcanique survenue en un point quelconque du globe. L'abondance des précipitations de cette année s'explique non seulement par le dégagement de gaz et de poussières du Pinatubo, mais aussi par un autre facteur: des centaines de puits de pétrole en feu au Koweït dans le golfe Persique. Peut-être faut-il y voir une nouvelle fois la main de Dieu: Saddam Hussein, tout comme Balaam dans la bible, voulait maudire Israël, mais finalement c'est lui qui déclencha la «pluie salvatrice». (ZL) © Nouvelles d'Israël 07 / 1992 Retour |
Queue de comète, phénomène météo ou largage intempestif d'un avion de ligne. Aucune des hypothèses avancées pour expliquer la pluie de blocs de glace qui frappe l'Espagne depuis dix jours ne résiste aux analyses des experts. Un premier élément réponse devrait être apporté vendredi avec les résultats des analyses chimiques et biologiques de ces blocs de glace, d'une taille atteignant celle d'un ballon de basket et pesant jusqu'à quatre kilos. Depuis le 8 janvier, dix-huit de ces glaçons géants se sont abattus sur l'Espagne, dans la région de Valence, mais aussi près de Saragosse et de Madrid. L'Institut national de Météorologie écarte formellement toute origine atmosphérique: les cieux étaient bleus et dégagés lors de la chute des glaçons et aucun phénomène météo ne donne lieu à des chutes solitaires de blocs de glace de cette taille, assure l'INM. «Il n'y a aucun exemple historique de grêlon pesant plus d'un kilo, parce que les courants d'air ascendants soutenant les grêlons dans les nuages ne dépassent pas 100 k/heure et ne peuvent soutenir plus que ce poids», explique Jeroni Lorente du département de physique de l'air de l'université de Barcelone. Alors est apparu la comète: le très sérieux Centre supérieur de recherches scientifiques (CSCI) a émis lundi l'hypothèse de la chute de glace provenant d'une queue de comète. L'hypothèse s'évapore totalement si l'on considère que les températures de rentrée dans l'atmosphère (800 à 1000 degrés centigrades) viendraient à bout en quelques secondes d'un iceberg venu de l'espace. /ats-afp © L'Impartial du 19 janvier 2000 Retour------------------------------------------------------------
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LE
CHANGEMENT CLIMATIQUE A TUÉ 150.000 PERSONNES EN L'AN 2000
Le changement climatique est à l'origine de 150.000 décès en l'an 2000, selon une étude parrainée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et présentée jeudi à Milan en Italie à la conférence de l'ONU sur le climat. Le document tente de cerner de manière exhaustive l'impact actuel et à venir des changements sans précédent du climat du globe sur la santé humaine. Il aborde notamment les impacts sanitaires de l'élévation d'environ 0,4 degré Celsius des températures depuis les années 1970, et les réponses à apporter par les pouvoirs publics pour surveiller cette évolution et la prévenir. Il relève que la fréquence des catastrophes naturelles a triplé dans la décennie 1990 par rapport aux années 1960, avec son cortège de victimes, selon le résumé distribué à la presse. L'étude souligne aussi l'importance déterminante des changements climatiques dans l'extension de maladies infectieuses comme la malaria, notamment à la suite d'inondations, de pluies torrentielles ou à la faveur de températures plus élevées (hivers plus doux, étés plus chauds). Le changement climatique a été ainsi responsable de 2,4% des cas de diarrhées et 2% des cas de malaria dans le monde en 2002, selon l'étude. L'étude aborde aussi les différentes maladies liées au trou de la couche d'ozone, à l'intensification de l'agriculture, l'urbanisation croissante, la déforestation, la pollution de l'air, des aliments et de l'eau ou le réchauffement des océans. Le volume a été rédigé en collaboration avec l'Organisation météorologique mondiale (WMO), le Programme des Nations Unies pour l'Environnement (PNUE) avec le soutien de l'Agence américaine pour la protection de l'Environnement (EPA). (AFP) ajouté le 11-12-2003 dans Phénomènes naturels © Voxdei 11-12-2003
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INDE:
UN PUISSANT SÉISME AURAIT FAIT PLUS D'UN MILLIER DE MORTS
Le 51e anniversaire de la République indienne a tourné vendredi à la tragédie: une heure avant le début des célébrations, un violent séisme a secoué une grande partie du pays, en particulier l'État occidental du Gujarat, où plus d'un millier de personnes pourraient avoir été tuées, selon un ministre. Le tremblement de terre en Inde -- le plus puissant depuis 50 ans -- a également touché le Pakistan et le Népal voisins. Il était 8 h 46 locales (3 h 16 GMT) lorsque les premières secousses ont été ressenties dans plusieurs grandes villes indiennes, dont Bombay et New Delhi, la capitale, qui se préparait à célébrer en grande pompe le «Jour de la République». Des scènes de panique ont été signalées un peu partout mais l'État frappé de plein fouet par le séisme a été celui du Gujarat, sur la côte occidentale du pays, où ont été dénombrées toutes les victimes indiennes. Le bureau de sismologie de New Delhi a déclaré que le tremblement de terre avait mesuré 6,9 sur l'échelle de Richter. D'autres observatoires en Chine, en France et aux États-Unis ont fait état de magnitudes variant entre 7,6 et 7,9. Le dernier tremblement de terre important enregistré en Inde remonte à mars 1999. (ED/AFP) ajouté le 26/01/2001 © Voxdei 26-01-2001
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MISE
EN GARDE DE L'ONU SUR LES RISQUES CLIMATIQUES À VENIR
Faute
de mesures volontaristes pour enrayer le réchauffement de la
Terre, la planète – pays riches et pauvres confondus –
s'expose dans les décennies à venir à des inondations,
famines, épidémies et autres catastrophes «naturelles».
Déjà
irréversibles
L'Afrique
en première ligne
© Voxdei 21-02-2001
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AU
MOINS 173 MORTS DANS UN NOUVEAU SÉISME AU SALVADOR Au moins 173 personnes sont mortes et 1.557 ont été blessées dans le séisme de magnitude 6,1 sur l'échelle ouverte de Richter qui a secoué le Salvador mardi à 8 h 22 locales (14 h 22 GMT), selon le dernier bilan provisoire communiqué par les autorités. Survenue un mois jour pour jour après le tremblement de terre du 13 janvier qui avait fait 827 morts, 4.520 blessés et quelque 2.000 disparus, la secousse qui a duré une dizaine de secondes a touché cette fois les départements de La Paz, San Vicente et Cuscatlan, dans le centre du pays, le long d'une chaîne de volcans. Devant l'intensité de la secousse, la population a été prise de panique dans la capitale où quatre personnes sont mortes. Les parents se sont précipités dans les écoles afin de chercher leurs enfants. Le séisme précédent qui avait détruit quelque 224.000 habitations et bâtiments publics, causant un milliard de dollars de dégâts, avait eu lieu un samedi matin (11 h 34 locales) alors que les écoles étaient fermées. Dans plusieurs communes du centre du pays, les dégâts ont été qualifiés «de considérables» par le président Francisco Florès qui a lancé un appel à l'aide internationale notamment pour disposer d'équipes médicales. Parmi les victimes, une institutrice et une vingtaine d'enfants sont morts dans l'effondrement de leur école à Candelaria, une petite commune située à 40 km à l'est de la capitale. 25 élèves de cette école ont été également blessés sérieusement. «Cette secousse n'est pas une réplique au précédent tremblement de terre du 13 janvier mais bien un nouveau séisme dont l'origine est une faille locale», a expliqué le président Florès. Malgré la fragilité de certains bâtiments et la multiplication des répliques au tremblement de terre du mois dernier – quelques 3.400 répliques ont été enregistrées dans le pays en 30 jours --, le ministère de l'Éducation avait depuis deux semaines ordonné la réouverture des écoles. Comme lors du précédent séisme, les communications téléphoniques et la distribution d'eau et d'électricité ont été totalement coupées dans les zones les plus touchées. Les routes ont été également endommagées par des glissements de terrain, obligeant les premiers secours à rejoindre les zones sinistrées en hélicoptère. Les autorités salvadoriennes qui avaient maintenu l'état d'urgence nationale depuis un mois, ont décidé de créer une cellule spéciale pour organiser les secours et acheminer les produits de première nécessité dans les zones sinistrées. «Comme il n'est pas question de faire appel aux équipes qui sont mobilisées depuis un mois dans les zones les plus touchées par le précédent séisme il nous avons formé de nouvelles équipes», a expliqué Francisco Florès qui a rappelé que la quasi totalité des secours arrivés de l'étranger au lendemain du précédent séisme pour venir en aide au millions de personnes sinistrées, avait quitté le pays depuis une dizaine de jours. Très rapidement dans la matinée, devant l'ampleur de la catastrophe, les autorités ont mis en place un pont aérien afin d'évacuer les blessés vers les hôpitaux de la capitale. Des campements ont été dressés dans les communes principales afin d'héberger les milliers de personnes sans abri. Toutefois, une grande majorité des sinistrés a préféré dresser des abris de fortune dans les ruines de leur maison, dans l'espoir de récupérer quelques objets personnels. Traumatisée après ce nouveau séisme, la population salvadorienne s'apprêtaient mardi soir à passer la nuit dans la peur de nouvelles secousses, portes et fenêtres ouvertes afin de pouvoir évacuer le plus rapidement possible leur maison. (AFP) ajouté le 14/02/2001 © Voxdei 14 -02 - 2001 Retour------------------------------------------------------------ |
SAN
SALVADOR: UN FORT SÉISME SECOUE LE CENTRE DU PAYS Un fort séisme, d'une magnitude de 5,4 sur l'échelle ouverte de Richter, a secoué le Salvador jeudi, mais aucun blessé ni dégât n'a été signalé pour l'instant, selon la Commission nationale d'urgence. Le tremblement de terre, dont l'épicentre était situé dans la province de La Paz (centre), s'est produit juste après minuit et a été ressenti dans tout le pays. Deux puissants séismes, survenus le 13 janvier et le 13 février, ont fait au moins 1.246 morts et 8.000 blessés. Le premier tremblement de terre avait une magnitude de 7,6, le second de 6,6. Depuis, le Salvador a été secoué par plus de 7.000 répliques de magnitudes diverses. (AP)
ajouté le 1/04/2001 © Voxdei 01-04-2001
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NOUVEAU
SÉISME DANS LA RÉGION DE TOKYO Un séisme d'une magnitude de 4,7 sur l'échelle de Richter a secoué mardi la région de Tokyo mais aucun blessé n'a été signalé pour l'heure. Le tremblement de terre, dont l'épicentre était localisé à 100 kilomètres sous terre à l'est de la capitale japonaise, a été suffisamment puissant pour faire trembler les immeubles du centre-ville de Tokyo. La secousse ne semble toutefois pas avoir perturbé les moyens de communication, l'alimentation en électricité ou la circulation des transports. Aucun tsunami - sorte de raz-de-marée provoqué par une activité sismique - n'est prévu par l'agence météorologique japonaise. (AP) ajouté le 10/04/2001
© Voxdei 10-04-2001 Retour |
APRÈS
UN SÉISME DE 7,2 SAMEDI EN AFGANISTAN, VOICI UN 6,8 AU SUD
DES PHILIPPINES NDLR : Certes il y eut les effets de marées dûs à la très grande proximité de la pleine Lune, mais ces séismes interviennent dans des secteurs voisins de zones de combat entre Américains et Musulmans. Il y a 13 mois environ le tremblement de terre du Gujara (Inde), avait étés suivi d'un début d'ouverture pour l'Évangile. Prémices de Matthieu 24? Un violent séisme a secoué tôt mercredi matin le sud des Philippines provoquant la mort de huit personnes et de nombreux dégâts matériels dans la ville de General Santos, à un millier de kilomètres de la capitale, Manille. Quatre personnes ont été tuées par la chute de débris, tandis que deux autres sont mortes d'un arrêt cardiaque. Par ailleurs, deux autres personnes ont été tuées par des balles perdues en raison d'une superstition locale qui veut que tirer des coups de feu en l'air effraie les esprits qui causent les tremblements de terre. Au moins quinze personnes ont été soignées à l'hôpital après avoir été blessées par la chute d'objets dans leur maison, a déclaré le chef de la police régionale Bartolome Baluyot. Le tremblement de terre, d'une magnitude de 6,8 sur l'échelle de Richter, a secoué General Santos mercredi vers 5 h du matin (locales). Il a brisé les fenêtres de nombreuses maisons et provoqué la chute du réservoir d'eau de la ville. Plus de 5.000 personnes ont dû être évacuées dans des zones moins dangereuses. Dans la province de Cotabato, un glissement de terrain a détruit une école élémentaire, tandis que le séisme détruisait deux églises, un petit centre médical et un magasin proches de là. L'épicentre du tremblement de terre a été localisé à quelque 235 kilomètres au sud-ouest de General Santos et à 15 kilomètres sous le niveau de la mer, a expliqué Mylene Carlos de l'Institut philippin chargé de l'étude des volcans et des séismes. Dans la ville voisine de Zamboanga, située à 300 kilomètres à l'ouest de General Santos, aucun blessé n'a été signalé. Au nord, à Iligan, une panne de courant a plongé la ville dans le noir.
Le séisme s'est produit sur la faille de Cotabato où un tremblement de terre avait provoqué un raz-de-marée qui avait fait plus de 5.000 morts dans la région du Golfe de Moro au nord-ouest de General Santos en août 1976. (AP) ajouté le 6/3/2002 ©Voxdei 06 -03 - 2002 Retour------------------------------------------------------------ |
33
000 MORTS ET ACCROISSEMENTS DES DÉGÂTS PAR DIVERS
DÉSASTRES EN 2001 Plus de 33.000 personnes ont péri en 2001 lors de sinistres majeurs, catastrophes naturelles ou causées par l'homme, provoquant des dommages matériels couverts à hauteur de 34,4 milliards de dollars par les assureurs, dont 19 mds à la suite des attentats du 11 septembre, selon la compagnie suisse de réassurance Swiss Re. «Après l'événement du 11 septembre, le secteur de l'assurance doit faire face à une menace d'une nouvelle ampleur. Jusqu'alors, seules des catastrophes naturelles avaient provoqué des dommages aussi élevés», a relevé la compagnie de réassurance, dans son communiqué publié à Zurich rendant compte d'une étude annuelle. Concernant les attentats du 11 septembre aux États-Unis, outre les 19 mds de dollars de dommages matériels et pertes d'exploitation, les assureurs doivent aussi couvrir des dommages supplémentaires estimés entre 16 et 39 milliards au titre de l'assurance responsabilité civile et assurance-vie, a précisé Swiss Re. D'après son étude, «l'année 2001 aurait été une année moyenne si elle n'avait pas connu l'évènement du 11 septembre». Sur les 33.000 décès, 15.500 ont été provoqués par le tremblement de terre survenu le 26 janvier 2001 dans le Gujarat, en Inde. 3.300 personnes ont péri lors des attentats du 11 septembre. Les autres catastrophes les plus meurtrières ont été les pluies diluviennes et inondations en Algérie (886 morts en novembre), le tremblement de terre en Amérique centrale (844 morts en janvier) et les inondations du Mékong au Vietnam et au Cambodge (Paris: 7965.PA – actualité) (396 morts en août), selon Swiss Re. Sur la charge de 34,4 milliards de dollars supportée par les assureurs en 2001, 10 mds sont imputables aux catastrophes naturelles, et 24,4 mds à des catastrophes dites «techniques», attentats ou sinistres industriels. Malgré les nouvelles menaces terroristes, «ce sont surtout les catastrophes naturelles, à savoir tempêtes, inondations et tremblements de terre qui représentent à long terme la plus lourde charge pour les assureurs», affirme Swiss Re. En 2001, les dommages causés par les tempêtes ont atteint 7,2 mds de dollars, les tremblements de terre 600 millions et les inondations 70 millions. Hors actes terroristes, les sinistres imputables aux grands incendies et aux explosions ont atteint 3,7 mds de dollars, les accidents d'avions ou spatiaux, 1,1 milliard. Après les attentats de New York, les autres sinistres les plus coûteux ont été la tempête tropicale Allison aux États-Unis (juin, 3,2 milliards), des inondations et tornades toujours aux États-Unis (avril, 1,9 md), l'explosion d'une usine chimique à Toulouse (France, le 21 septembre, 1,4 md) et le typhon Nari au Japon (septembre, 600 millions). En 2000, les catastrophes dans le monde entier avaient coûté la vie à 17.400 personnes et causé des dommages financiers totaux d'environ 50 mds de dollars dont 10,6 mds couverts par les compagnies d'assurances, selon une précédente étude de Swiss Re. Swiss Re avait alors noté que ce tribut de 10,6 mds payé par les assureurs en 2000 était «relativement bas» comparé au chiffre de l'année précédente (32,9 mds de dollars). (AFP) ajouté le 14/3/2002 © Voxdei 14 – 03 – 2002
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VACHE
FOLLE: TOUS RESPONSABLES! Géants de l'agroalimentaire comme petits consommateurs cautionnent la même logique de déni de la vie animale. C'est toute la copie qu'il faut revoir La crise de la vache folle: un problème de santé publique, mais aussi d'éthique. Après les OGM, les marées noires, le réchauffement climatique, revoilà l'ESB (l'encéphalopathie spongiforme bovine). Plus qu'un accident, qu'un dérapage de l'industrie agroalimentaire, faut-il y voir le symptôme d'une responsabilité humaine défaillante? «Tchernobyl alimentaire», s'indigne l'hebdomadaire Marianne. Et le magazine de stigmatiser les vrais coupables: le tout-puissant syndicat agricole FNSEA, qui pousse les agriculteurs au productivisme; la grande distribution, qui tire les prix et donc la qualité vers le bas, et bien sûr l'agro-industrie britannique, qui a empoisonné l'Europe. Il y a aussi, à des degrés divers, les gouvernements européens avec leurs multiples hésitations et leurs considérations, parfois plus démagogiques qu'éthiques. Les théologiens Louis Schweizer et Michel Johner ainsi que Dr. Anne Vonesch, médecin et théolgoienne s'expriment sur le problème de la vache folle. Réflexion développée dans L'Avènement version magazine. LA MONTÉE DE LA PSYCHOSE 1979: Un scientifique britannique prévient le ministère de l'agriculture des risques liés à l'introduction des farines carnées dans l'alimentation bovine. 1980: Des fabricants anglais de farines animales diminuent le temps de chauffage des carcasses pour obtenir un produit plus performant. 1985: Les premiers cas d'ESB sont décelés au Royaume-Uni. 1988: Les autorités britanniques interdisent l'utilisation de farines animales dans l'alimentation des bovins. 1989: La France interdit l'importation de farines animales en provenance de Grande-Bretagne. 1990: Les farines animales sont interdites dans l'alimentation des bovins et ovins français. 1991: Cinq cas d'ESB sont décelés en France. 1993: 100 000 cas en Grande-Bretagne. 1993-96: Consommation frauduleuse de farines animales en France. 1996: Embargo européen sur la viande de buf britannique dont l'exportation se poursuit illégalement vers la France, l'Espagne et les Pays-Bas. Le ministre britannique de la santé reconnaît la transmission possible de l'ESB à l'homme (maladie de Creutzfeldt-Jakob). 1999: Levée de l'embargo européen sur le buf britannique, excepté en France. 2000: 129 nouveaux cas d'ESB relevés en France. Octobre: Vente dans la grande distribution française d'une tonne de viandes suspectes. Les bovins français continuent à consommer des farines «faiblement dosées en viande» en raison «d'une marge d'erreur». Interdiction des intestins de bovins et suspicion autour de la côte de buf. Novembre: De nombreuses cantines scolaires boycottent la viande de buf. La Russie, la Pologne et la Hongrie décrètent l'embargo sur la viande bovine française. L'Espagne, l'Autriche, les Pays-Bas, l'Italie et la Grèce se prononcent pour un embargo partiel. Crise sans précédent de la filière bovine française. Interdiction des farines carnées dans toutes les filières d'élevage par le gouvernement français, puis par les quinze. © Avènement 2002 Retour |